« Une étude de l’Institut Watson de l’Université Brown datant de 2023 montre clairement que depuis le 11 septembre les guerres américaines ont coûté la vie à 4,5 millions de personnes. (…)
Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut grade Gioele Magaldi, on sait que presque toute l’équipe gouvernementale était au même moment initiée à la franc-maçonnerie. Les membres de la super-loge Hathor Pentalpha sont George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice. Le président américain suivant, Barack Obama, qui a continué à promouvoir la guerre contre la terreur, est également membre de la super-loge Maat, tout comme l’actuel président américain Joe Biden ainsi que Bill et Hillary Clinton. Ces super-loges, au sein desquelles la franc-maçonnerie de haut niveau est organisée, poursuivent également la mise en place d’un « gouvernement mondial unique ». »
Le 11 septembre 2001, les événements autour du World Trade Center à New York et du Pentagone ont bouleversé la population mondiale. Un événement qui continue de marquer le monde. Ce jour, également appelé Nine Eleven, a entraîné de nombreuses guerres et a permis aux gouvernements du monde entier d’étendre massivement le contrôle de leur propre population.
Selon le récit officiel du gouvernement américain et des médias mainstream, 19 terroristes ont détourné quatre avions le matin du 11 septembre. Deux avions se sont écrasés sur les tours jumelles du World Trade Center à New York, qui se sont effondrées peu de temps après. Un troisième avion s’est écrasé sur le Pentagone, le siège du ministère américain de la Défense. Un quatrième avion s’est écrasé près de Pittsburgh. Les attentats ont coûté la vie à 2 989 personnes. Immédiatement après les attentats, le gouvernement américain et les médias ont présenté Oussama ben Laden et l’organisation terroriste Al-Qaïda comme les auteurs des attentats.
1. Cette version officielle du gouvernement américain et des médias mainstream résiste-t-elle à un examen minutieux ?
De nombreux faits, avis d’experts, enquêtes et témoignages oculaires ébranlent très fortement la crédibilité de la version officielle du gouvernement.
Effondrement des tours jumelles par démolition contrôlée ? De nombreux résultats d’enquête et d’autres facteurs indiquent que l’explosion a été contrôlée. Par exemple, une équipe internationale de chercheurs dirigée par un chimiste, le Dr Niels Harrit de l’université de Copenhague, a trouvé, au cours d’une étude scientifique, de grandes quantités de nanothermite, un explosif, dans les décombres des tours jumelles. Dans un article scientifique sur leurs recherches, les chercheurs concluent que les deux avions détournés n’ont pas provoqué les effondrements, mais que des explosifs ont été placés à l’avance dans les bâtiments.
Témoignage du Dr Niels Harrit :
« Nous avons trouvé de la nanothermite dans les débris. […] Elle peut faire exploser des choses et elle peut faire fondre des choses. Ces deux attributs ont probablement été utilisés, d’après ce que je vois. Du métal en fusion s’écoule de la tour sud quelques minutes avant l’effondrement. »
Le concierge du World Trade Center William Rodriguez a fait cette déclaration frappante :
« La première explosion s’est produite au sous-sol B2. Il y avait six sous-sols dans le bâtiment. Avant même que l’avion ne frappe le bâtiment. […] J’étais là, j’ai sauvé des gens que j’ai aussi présentés à la Commission du 11 septembre, c’est la commission qui a été créée pour enquêter sur tout ça. Mais ils n’ont pas été entendus une seule fois. […] J’ai été concierge pendant 20 ans et le 11 septembre, j’avais l’unique passe-partout. »
Les pompiers et les centaines de témoins oculaires qui ont fait état de dynamitages et d’explosions n’ont pas été pris en compte dans le rapport officiel du gouvernement :
« Quand je suis arrivé dans le hall, on a entendu comme des coups de feu, puis il y a eu trois énormes explosions. »
« Quand nous sommes entrés dans le hall, il était complètement détruit. Je pense qu’une bombe a explosé avant même que l’avion ne s’écrase sur le bâtiment. »
« Sur le chemin du 8e étage, il y a eu une énorme explosion qui nous a fait reculer. »
« Nous étions dans la cage d’escalier avec notre matériel. Et là, il y a eu une énorme explosion. »
Dans la version officielle du gouvernement, le fait que le béton des tours jumelles ait été pulvérisé (!) par l’effondrement reste inexpliqué.
Témoignage de Peter Ketcham :
« Regardez les débris qui sont restés. Ce ne sont pas de gros morceaux d’acier ou de gros morceaux de béton. Ce sont de fines particules. »
Témoins oculaires :
« Où sont passés tous les débris ? Le béton a été pulvérisé. J’étais ici mardi et c’était comme si j’étais sur une planète étrangère. […] Le béton était tout simplement pulvérisé. […] Nous avons ici des immeubles de bureaux de 210 étages. On ne trouve pas de bureau ici, on ne trouve pas de chaise, pas de téléphone, pas d’ordinateur. Le plus gros morceau de téléphone que j’ai trouvé était la moitié du clavier – il faisait à peu près cette taille. Le bâtiment s’est effondré en poussière. »
Ground Zero désigne le site du World Trade Center détruit lors des attentats terroristes du 11 septembre 2001. Ce terme est utilisé dans le langage militaire pour désigner le lieu d’explosion en surface d’une bombe atomique ou d’un missile.
WTC 7
Le World Trade Center 7 ne se trouvait pas directement sur Ground Zero, mais au nord, à l’extérieur du site.
Très peu de gens savent que ce gratte-ciel s’est également effondré le 11 septembre, bien qu’il n’ait été touché par aucun avion. Il s’est effondré verticalement, comme il est d’usage lors d’une démolition.
Le « National Institute of Standards and Technology », en abrégé NIST, financé par le gouvernement américain, a mené l’enquête officielle sur l’effondrement du WTC 7.
Le rapport du NIST a étayé la version officielle du gouvernement : selon lui, le WTC 7 a pris feu et s’est effondré en raison de la chute de débris des tours jumelles.
L’historien suisse Daniele Ganser s’exprime à ce sujet :
« Comment un bâtiment avec 81 colonnes en acier peut-il s’effondrer en chute libre à cause d’un incendie ? Car lors d’une chute libre, les 81 colonnes en acier doivent disparaître à la même seconde. […] Jusqu’à présent, dans l’histoire, jamais, vraiment jamais, un bâtiment ne s’est effondré à cause d’un incendie, un bâtiment à ossature d’acier. »
En 2019, une étude indépendante sur le WTC 7 a été publiée aux États-Unis. Elle a été présentée par l’Université d’Alaska Fairbanks. La principale conclusion de cette étude est que le feu n’a pas causé l’effondrement du WTC 7 le 11 septembre.
Le Dr Daniele Ganser s’est exprimé comme suit sur les résultats de cette étude :
« Elle dit que les 81 colonnes d’acier ont dû perdre leur stabilité à la même seconde. Et c’est en fait une autre façon de parler de dynamitage. »
En 2017, Peter Ketcham, employé de longue date du NIST, a accusé l’institut d’avoir falsifié le rapport d’enquête en faveur de la version gouvernementale :
« Le rôle du NIST, si je comprends bien, était d’enquêter sur les effondrements des trois tours du Word Trade Center. Et par là, je veux dire déterminer pourquoi les tours 1, 2 et 7 se sont effondrées. […] En très peu de temps, j’ai compris que l’étude du NIST sur les effondrements du World Trade Center n’était pas une étude sérieuse et réelle. […] J’avais toujours cru que les recherches du NIST étaient des plus sérieuses. Maintenant, voir ce qu’ils avaient fait de l’étude et du rapport sur le World Trade Center m’a décontenancé. […] J’ai tout de suite compris qu’il y avait des preuves accablantes que les trois tours, 1, 2 et 7, s’étaient effondrées suite à des dynamitages contrôlés. […] J’ai vu que le dynamitage contrôlé n’avait pas du tout été étudié comme la cause la plus évidente. En fait, cela a été traité en une ou deux phrases dans le rapport. »
Couverture médiatique du jour du 11 septembre
La BBC a diffusé en direct un reportage sur l’effondrement du WTC 7 alors que le bâtiment était encore debout. En réalité, l’effondrement de la tour n’a eu lieu que vingt minutes plus tard. Outre la chaîne de télévision britannique, CNN avait également annoncé trop tôt l’effondrement. Ce fait indique que certains médias étaient pré-informés.
2. Compte tenu de ces faits, qui plaident en faveur d’une démolition contrôlée, les questions suivantes se posent inévitablement :
Qui est le propriétaire du World Trade Center ?
Qui était responsable de la sécurité de ce complexe de bâtiments ?
Existe-t-il des preuves que les gens étaient au courant à l’avance de ces événements ?
Construction du World Trade Center à New York
A la fin des années 1950, le banquier et stratège global David Rockefeller s’est engagé pour la construction du World Trade Center. En 1958, Rockefeller a fondé la Downtown-Lower Manhattan Association et en a pris la présidence. Son frère Nelson Rockefeller, qui était à l’époque gouverneur de New York, l’a beaucoup aidé dans cette entreprise. C’est pour cette raison que les tabloïds new-yorkais ont appelé les tours jumelles « Nelson » et « David ».
Le CFR a été fondé en 1921 par des banquiers connus comme John D. Rockefeller Junior, le père de David et Nelson Rockefeller, et est depuis lors financé en grande partie par la famille Rockefeller.
Une première piste sur les commanditaires du 11 septembre est fournie par le témoignage remarquable du réalisateur américain primé Aaron Russo en 2009, peu avant sa mort : « J’avais un ami, Nick Rockefeller. […] Lorsque je me suis présenté au poste de gouverneur du Nevada, il m’a contacté par l’intermédiaire d’une avocate et nous sommes devenus amis. […] C’est lui qui m’avait dit – onze mois avant le 11 septembre – qu’il y aurait un événement. Il ne m’a jamais dit ce que serait cet événement. Mais cet événement devait être suivi d’une invasion de l’Afghanistan par l’Amérique pour construire des pipelines depuis la mer Caspienne. Nous envahirions l’Irak pour prendre les champs de pétrole et établir des bases militaires au Moyen-Orient – pour faire de tout cela une partie du Nouvel Ordre Mondial. […] Je me souviens qu’il m’a dit que nous verrions des soldats chercher des personnes dans les grottes d’Afghanistan et du Pakistan. Il y aura cette guerre contre le terrorisme, dans laquelle il n’y a pas de véritable ennemi. Tout cela ne sera qu’une gigantesque escroquerie ; un prétexte pour le gouvernement pour contrôler le peuple américain. […] Toute la guerre contre le terrorisme est une escroquerie, une farce. […] L’objectif final que ces gens ont en tête est la création d’un gouvernement mondial – dirigé par l’industrie bancaire, par les banquiers. […] L’agenda est de créer un gouvernement mondial et d’implanter une puce RFID dans chaque citoyen. Tout l’argent ne doit plus se trouver que dans ces puces. Il n’y aura plus d’argent liquide. Et Rockefeller m’a dit lui-même qu’ils voulaient y arriver. »
Comment Nick Rockefeller était-il au courant du 11 septembre et des plans de guerre qui ont suivi ? Nick Rockefeller est également membre du CFR.
Qui était responsable de la sécurité du World Trade Center ?
La sécurité de ce complexe de bâtiments a été confiée à l’entreprise Stratesec de 1993 jusqu’aux événements du 11 septembre. Il s’est avéré par la suite que Marvin Bush, le frère du président américain de l’époque George W. Bush, a fait partie du conseil d’administration de cette entreprise de 1993 à 2000.
Qui est le propriétaire du World Trade Center ?
Dans les années 1980, le milliardaire Larry Silverstein a loué un terrain en face du complexe du World Trade Center et y a construit la tour WTC 7, inaugurée en 1987.
Silverstein a également signé un contrat de location pour 99 ans pour les deux tours jumelles du World Trade Center six semaines avant le 11 septembre 2001.
Parallèlement, il a souscrit une assurance qui s’appliquait également en cas d’attentats terroristes. Finalement, il a profité du 11 septembre puisqu’il a reçu 1,1 milliard de dollars supplémentaires en plus de la somme d’assurance convenue de 3,5 milliards de dollars.
Comment cela s’est-il passé ? Silverstein a réclamé deux fois à l’assurance la somme d’assurance convenue, car les tours jumelles avaient été détruites par deux avions – donc, selon Silverstein, par deux événements indépendants. La somme qu’il a reçue de l’assurance a pu être utilisée pour la construction du nouveau World Trade Center.
La société d’investissement américaine Blackstone-Group est un partenaire d’affaires de Larry Silverstein. Elle a pris en charge l’hypothèque du WTC 7 l’année précédant les attentats. Le Blackstone-Group a été fondé par Peter George Peterson et Stephan Allen Schwarzman. Peterson était non seulement le président exécutif du Blackstone Group au moment du 11 septembre, mais aussi le président du CFR. Schwarzman est également membre du CFR.
Larry Silverstein est également un grand ami de David Rubenstein, l’actuel président du CFR. On voit ici David Rubenstein lors d’une conférence en ligne avec Silverstein : « C’est un grand honneur pour moi d’avoir mon ami Larry ici. »
Le nouveau WTC 7 a été inauguré en 2006. Silverstein a fait construire sur le parvis du nouveau bâtiment un parc appelé « Silverstein Park ». Ce parc est une représentation de l’œil qui voit tout – le même symbolisme que l’on retrouve sur le billet de dollar américain au sommet de la pyramide. Elle symbolise l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial sous la domination de Lucifer.
En 2021, à la demande de Larry Silverstein, une œuvre d’art composée de plusieurs pyramides a été installée dans « l’œil » du Silverstein Family Park. Il s’agit également d’une allusion au Nouvel Ordre Mondial auquel aspirent ces cercles.
Le fait suivant laisse supposer que Larry Silverstein avait lui aussi une connaissance préalable des projets liés au 11 septembre :
Dans les interviews, il a toujours déclaré qu’il passait habituellement ses matinées à prendre son petit-déjeuner dans la tour nord du World Trade Center et à rencontrer les nouveaux locataires du bâtiment. Et précisément le matin du 11 septembre 2001, il se trouvait à l’extérieur du World Trade Center.
3. La Commission officielle sur le 11 septembre a enquêté de 2002 à 2004 sur les causes et les arrière-plans du 11 septembre.
Quel est le degré d’indépendance et de fiabilité de cette Commission du 11 septembre ? Y a-t-il des liens entre la Commission du 11 septembre et les cercles de personnes mentionnés ?
En raison de l’énorme pression exercée par le public, le gouvernement américain s’est vu contraint de mener une enquête sur le 11 septembre en 2002. La Commission du 11 septembre qui a été créée par la suite a toujours souligné l’indépendance de son enquête.
Le président américain George W. Bush a d’abord refusé son accord pour une commission indépendante. En novembre 2002, la Maison Blanche a finalement donné son accord, mais en prétextant que Bush lui-même désignerait le président de la commission. Bush a alors nommé l’ancien ministre des Affaires étrangères Henry Kissinger à la présidence de la commission. Ce dernier était l’un des amis les plus proches de David Rockefeller jusqu’à la mort de celui-ci et est considéré comme l’un des principaux stratèges mondiaux en ce qui concerne la mise en place d’un nouvel ordre mondial. Kissinger est également membre du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981.
Kissinger a dû démissionner après peu de temps de la présidence de la Commission du 11 septembre, car il ne voulait pas rendre publics les noms des clients de sa société de conseil aux entreprises. Il a également été accusé par les familles des victimes du 11 septembre d’entretenir des liens financiers et politiques avec l’Arabie saoudite, notamment avec la famille ben Laden.
Thomas Kean a alors été nommé nouveau président par le président Bush. Lee Hamilton est devenu le vice-président. Thomas Kean et Lee Hamilton sont tous deux membres du CFR.
La Commission du 11 septembre se chargeait principalement des auditions publiques des témoins et faisait des déclarations sur le déroulement de l’enquête. Le travail concret, à savoir la demande, la collecte et l’évaluation des documents pertinents ainsi que la rédaction du rapport final, incombait à une équipe de 78 personnes. Celle-ci était dirigée par Philip Zelikow, il en était le directeur exécutif. Zelikow a écrit l’histoire officielle du 11 septembre. Et comme on pouvait s’y attendre, Philip Zelikow est lui aussi membre du CFR.
En mars 2004, le journaliste Jim Mann a révélé que Zelikow avait plaidé pour le renversement de Saddam Hussein et qu’il avait rédigé en septembre 2002 le document stratégique par lequel Bush a légitimé la guerre en Irak en 2003. Zelikow a toujours été accusé d’utiliser la Commission du 11 septembre pour justifier la guerre en Irak.
Le Dr Heiko Schöning, écrivain et médecin, a décrit le travail de la Commission du 11 septembre dans son livre « Game Over » de la manière suivante : « Pour tous ceux qui ont conservé un peu de bon sens, il suffit de prendre connaissance d’une seule audition parlementaire. […] celle du lundi 26 janvier 2004. Le directeur exécutif de la commission d’enquête gouvernementale sur le 11 septembre, le Dr Philip Zelikow, et son assistante Susan Ginsburg […] ont montré un passeport prétendument retrouvé, presque intact, d’un […] pirate de l’air qui aurait percuté une tour du World Trade Center à New York. Pourquoi « prétendument » ? Parce que physiquement c’est impossible ! » !
En 2011, le journaliste Paul Craig Roberts est arrivé à la conclusion suivante : « La commission n’a pas convoqué de témoins importants et n’a entendu que des témoins qui confirmaient le point de vue du gouvernement, afin d’occulter politiquement et de manière contrôlée les événements réels. »
La réaction de George W. Bush est également frappante. L’interrogatoire de sa conseillère à la sécurité Condoleezza Rice par la commission du 11 septembre a eu lieu le 8 avril 2004. Cependant, Bush ne l’a autorisée à témoigner qu’à la condition que la commission ne l’interrogerait pas, lui ou le vice-président Dick Cheney, publiquement, et l’interrogerait sans prêter serment et sans enregistrement. L’audition du président Bush et de son vice-président Dick Cheney sur le 11 septembre s’est finalement déroulée à huis clos et sans prestation de serment.
George W. Bush a également longtemps refusé de déclassifier les rapports des services de renseignement qu’il avait reçus dans les semaines précédant les incidents du 11 septembre. En novembre 2003, un compromis a été trouvé. La Maison Blanche n’a autorisé que les deux commissaires Philip Zelikow et Jamie Gorelick à consulter les rapports des services secrets que Bush avait reçus. Outre Zelikow, Jamie Gorelick est également membre du CFR – qui s’en étonnera ?
Le sénateur Max Cleland s’est fermement opposé à cette censure de l’accès aux dossiers et a donc annoncé en décembre 2003 qu’il quittait la commission. Il a été remplacé par Bob Kerry, également membre du CFR.
Outre la Commission du 11 septembre, la CIA et le FBI ont enquêté sur les causes du 11 septembre.
Au moment du 11 septembre, la CIA était dirigée par George Tenet. Il a clairement indiqué qu’il existait des tabous pour les recherches dans certains domaines. George Tenet est également membre du CFR.
Mueller a été directeur du FBI de 2001 à 2013. Il a été nommé à ce poste par le président George W. Bush. Robert Mueller est également très proche du CFR. On le voit ici lors d’une réunion du CFR.
4. Le 11 septembre a été le déclencheur de la « guerre contre le terrorisme ». Ce n’est qu’après avoir suscité la peur du terrorisme parmi la population américaine et le monde occidental que les actions militaires menées par les États-Unis ont été acceptées.
Le 20 septembre 2001, le président américain Bush a annoncé dans un discours la « guerre contre le terrorisme » : « Notre guerre contre le terrorisme commence avec Al-Qaïda, mais elle ne s’arrêtera pas là. […] Les Américains ne doivent pas se préparer à une bataille, mais à une campagne de longue durée comme nous n’en avons jamais connue jusqu’à présent. »
Moins de quatre semaines après le 11 septembre, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont lancé des opérations militaires en Afghanistan. Plusieurs villes ont été attaquées par les airs. 240 000 morts et 5,5 millions de personnes en fuite, tel est le cruel bilan après 20 ans de guerre en Afghanistan.
En 2003 a eu lieu l’attaque contre l’Irak. Le président américain Bush a accusé l’Irak de soutenir des terroristes et de posséder des armes de destruction massive. Cette justification de la guerre en Irak, contraire au droit international, s’est avérée par la suite être un mensonge. L’étude américaine « La guerre en Irak 2003 et les victimes humaines évitables » évalue, dans une faible estimation, que la guerre en Irak a coûté la vie à environ un demi-million de personnes. Pendant la guerre en Irak, les États-Unis ont utilisé mille tonnes de munitions à l’uranium. Les malformations chez les enfants ont augmenté de manière dramatique.
Le président américain Barack Obama a poursuivi la « guerre contre le terrorisme » pendant toute la durée de son mandat.
En 2011, les États-Unis et les pays européens ont bombardé la Libye pendant huit mois sans interruption, dévastant des régions entières. Avec la Libye, c’est le pays avec la meilleure infrastructure sociale et le revenu par habitant le plus élevé d’Afrique qui a été détruit et pillé. Des dizaines de milliers de personnes ont été tuées pendant la guerre, et plusieurs milliers d’autres sont mortes au cours des dix années de guerre civile qui ont suivi.
Le bilan dramatique de la guerre en Syrie : plus de 600.000 personnes ont perdu la vie, dont 55.000 enfants selon les estimations. Jusqu’à 12 millions de Syriens ont perdu leur foyer.
Une étude de l’Institut Watson de l’Université Brown datant de 2023 montre clairement que depuis le 11 septembre les guerres américaines ont coûté la vie à 4,5 millions de personnes.
Les guerres en Afghanistan, en Irak, au Pakistan, au Yémen, en Libye, en Somalie et en Syrie ont en outre déclenché en 2015 un mouvement massif de réfugiés qui se poursuit encore actuellement.
En outre, le 11 septembre a entraîné l’adoption de nouvelles lois de surveillance et de contrôle de la population dans le monde entier.
5. Après le 11 septembre, le cabinet gouvernemental de George W. Bush a mené cette « guerre contre le terrorisme » qui a fait des millions de morts. Les faits permettent d’établir des liens non seulement entre le CFR et la Commission du 11 septembre, mais également entre le CFR et l’administration Bush.
L’équipe gouvernementale rapprochée du président américain George W. Bush a formé l’administration responsable de la guerre contre la terreur. Elle se composait comme suit :
Président : George W. Bush, vice-président : Dick Cheney, secrétaire d’État, Colin Powell, secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, secrétaire adjoint à la Défense et conseiller politique du Président Bush, Paul Wolfowitz ainsi que la Conseillère à la sécurité nationale, Condoleezza Rice.
Parmi ces personnes, quatre étaient membres du CFR à l’époque de leur mandat : Dick Cheney, Colin Powell, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice.
Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut grade Gioele Magaldi, on sait que presque toute l’équipe gouvernementale était au même moment initiée à la franc-maçonnerie. Les membres de la super-loge Hathor Pentalpha sont George W. Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et Condoleezza Rice. Le président américain suivant, Barack Obama, qui a continué à promouvoir la guerre contre la terreur, est également membre de la super-loge Maat, tout comme l’actuel président américain Joe Biden ainsi que Bill et Hillary Clinton. Ces super-loges, au sein desquelles la franc-maçonnerie de haut niveau est organisée, poursuivent également la mise en place d’un « gouvernement mondial unique ».
Le chef terroriste Oussama ben Laden a été présenté comme le principal instigateur des attentats du 11 septembre 2001.
Gioele Magaldi a révélé qu’Oussama ben Laden est également un franc-maçon de haut grade et un membre de la super-loge maçonnique « Hathor Pentalpha » – avec presque tous les politiciens du gouvernement américain au moment du 11 septembre. Ben Laden a été Salim fondée en 1968 par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Outre Oussama ben Laden, George Bush père, Dick Cheney, Condoleezza Rice et Nelson Rockefeller font ou ont fait partie de cette loge secrète. L’actuel président du CFR, David Rubenstein, et le président à long terme du CFR, Richard Haass, font également partie de la super-loge « Three Eyes ».
Dans ce contexte, on comprend mieux le lien entre la famille Bush et la famille ben Laden :
Le père d’Oussama ben Laden s’est hissé au premier rang des entrepreneurs de construction et des multimillionnaires dans le royaume d’Arabie saoudite à partir des années 1950 avec son entreprise Saudi Binladin Group. Salim ben Laden, le demi-frère aîné d’Oussama ben Laden, a dirigé l’entreprise familiale de 1972 jusqu’à sa mort. En tant qu’investisseur, il était étroitement lié à George Bush senior par le biais d’entreprises telles que le Carlyle Group. Avec le fils de ce dernier, George W. Bush, il a fondé en 1978 la société pétrolière Arbusto Energy au Texas.
Dans les jours qui ont suivi le 11 septembre, le trafic aérien a été interdit aux États-Unis. Toutefois, selon des documents internes du gouvernement, le FBI a permis à des proches du chef d’Al-Qaïda, Oussama ben Laden, et à d’autres Saoudiens de quitter rapidement les États-Unis le 13 septembre 2001. La Maison Blanche, sous la présidence de George W. Bush, a donné l’autorisation de faire sortir du pays six jets privés et deux douzaines d’avions de ligne. Les documents qui ont révélé cela ont dû être publiés en 2015, car le groupe de défense des droits civils « Judicial Watch » avait intenté avec succès une action en justice pour les obtenir.
Mais qu’en est-il des messages vidéo de menace d’Oussama ben Laden, diffusés en continu par les médias grand public ? Selon les révélations de Magaldi, ben Laden agissait selon un scénario préétabli.
Même le vérificateur de faits de la radio SWR3 a dû admettre qu’il existe des doutes légitimes sur la version officielle concernant la responsabilité d’Oussama ben Laden :
« Selon la version officielle, 19 terroristes, pour la plupart saoudiens, auraient détourné les avions et provoqué leur crash. […] Le commanditaire aurait été Oussama ben Laden, le chef d’Al-Qaïda. […]. Mais il n’y a pas de preuve irréfutable ! […] Le juge administratif fédéral allemand Dieter Deiseroth a souligné qu’aucun tribunal indépendant n’a jamais pu vérifier les preuves présentées par les services de renseignement sur la culpabilité de ben Laden. »
La mort d’Oussama ben Laden est également très étrange et soulève des questions. Officiellement, le gouvernement américain l’a déclaré mort. Selon cette déclaration, ben Laden a été abattu par l’US Navy. Toutefois aucune photo du corps du « terroriste le plus recherché au monde » n’a été prise. Selon les informations officielles, le corps a été jeté à la mer. Il n’y a toutefois aucune preuve de cela.
Conclusion
Lorsqu’on cherche à identifier les véritables responsables, commanditaires et acteurs du 11 septembre, on tombe toujours sur le même groupe de personnes. Après un examen plus approfondi de la commission officielle du 11 septembre et du gouvernement américain en place lors du 11 septembre, le nom de David Rockefeller et du Conseil des relations extérieures qu’il a longtemps dirigé ressortent très fortement. Même dans le cas d’Oussama ben Laden, présenté au monde entier comme l’auteur principal du 11 septembre, les liens avec ces personnes et ces points de contacts sont très visibles.
Afin de ne transmettre que la version officielle aux générations suivantes et d’effacer la trace des cercles de personnes présentés dans cette émission, rien n’a été laissé au hasard par les personnes à la tête de ces réseaux.
En 2014, un mémorial et un musée ont été inaugurés sur le site du World Trade Center.
Le 9/11 Museum raconte l’histoire du 11 septembre et est, selon ses propres déclarations, la plus importante institution consacrée à l’étude de cet attentat.
David Rockefeller était membre d’honneur du jury qui a choisi l’architecture du mémorial du World Trade Center. Il était également membre du conseil d’administration de la World Trade Center Memorial Foundation, qui a été chargée de la construction et du financement du mémorial et du musée du 11 septembre. Au total, David Rockefeller a contribué à hauteur de 15 millions de dollars à cette institution. Outre Rockefeller, on trouve également Peter George Peterson au conseil d’administration de cette fondation. Peterson a été président du CFR de 1985 à 2007, c’est-à-dire à l’époque où se sont déroulés les événements du 11 septembre.
Les faits et les liens mis en évidence dans cette émission doivent être examinés de toute urgence par un tribunal indépendant. En particulier, les liens avec le CFR ainsi qu’avec la famille Rockefeller et les crimes de guerre déclenchés par le 11 septembre, qui ont fait des millions de victimes, exigent une enquête et une sanction juste imposée par un tribunal indépendant. Les véritables raisons du 11 septembre seront observées par la population, tout comme le projet d’établir un gouvernement mondial. Ce n’est qu’ainsi qu’il sera possible d’empêcher ces manipulateurs de continuer à soumettre les peuples sans méfiance et que les gens pourront à l’avenir reconnaître à temps leurs plans sournois et les stopper.
[…]
Source : Kla.tv
Kla.TV tient à préciser que les personnes, les contextes et les interdépendances cités […] n’ont pas pour but d’inciter le (lecteur) à porter un jugement antisémite. Même si les personnes mentionnées prétendent être juives, (on) doit garder à l’esprit que dans de nombreux cas, ce n’est pas le cas.
En effet, on constate souvent la chose suivante après une enquête plus approfondie : Les personnes qui se retrouvent sous les projecteurs grâce à un travail de dévoilement et d’information se font volontiers passer pour des juifs afin de stigmatiser immédiatement leurs détracteurs comme antisémites et de bénéficier elles-mêmes d’une protection particulière sous le couvert du judaïsme.
Le fait que, dans de nombreux cas, on n’a pas du tout affaire à de vrais Juifs mais à une idéologie luciférienne […]
Comme le dit aussi la Bible en Apocalypse 2.9 : « … ceux qui se disent juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan ».
Source :