Lâun de nos lecteurs publie sur PG un commentaire qui mĂ©rite de faire lâobjet de la prĂ©sente publication.
Nous le remercions du travail effectué et de la rédaction de cet écrit.
« Nâayez pas peur de la LibertĂ©, car si vous en avez peur, elle se dĂ©tournera de vous. Aimez la et chĂ©rissez la » â Ronald Guillaumont
A DIFFUSER MASSIVEMENT
Oui, les juges devront rendre des comptes un jour sur leur silence et leurs actes concernant :
â la non conformitĂ© des lois quâils appliquent par rapport aux traitĂ©s internationaux sur les droits de lâhomme (PIDCP, PIDESC)
â et sur la non-application de la dĂ©claration des droits de 1789 ayant pleine valeur constitutionnelle depuis la dĂ©cision du conseil constitutionnel du 16 juillet 1971, alors que la constitution est devenue caduque depuis au moins 2008 en application de cette DĂ©claration !
voir https://conseilnational.fr et les références à la fin de ce post.
Car Ă la diffĂ©rence des magistrats sous Vichy, qui ont pu continuer dâappliquer la âLOI » pour exercer leurs fonctions sous le rĂ©gime de lâEtat de Vichy, la situation actuelle des magistrats est bien diffĂ©rente depuis la constitution du 4 octobre 1958 mĂȘme si celle-ci est devenue caduque depuis au moins 2008 :
â sous Vichy et antĂ©rieurement sous la IIIe RĂ©publique, la norme la plus haute Ă©tait la LOI et les magistrats Ă©taient donc « lĂ©galistes », seulement chargĂ©s dâappliquer la loi, norme suprĂȘme, dans le respect des principes de droit, sans Ă©gard pour des droits de lâhomme qui nâexistaient pas encore en droit international ou français,
â toutefois, ils ont Ă©tĂ© parfois trop lĂ©galistes, en appliquant les lois dâexception comme sur le statut des juifs, et des lois rĂ©troactives pour condamner Ă mort des personnes pour des faits dĂ©jĂ jugĂ©s et ayant dĂ©jĂ Ă©tĂ© condamnĂ©esâŠ, en violation totale des principes de droit Ă©lĂ©mentaires.
Certains magistrats du rĂ©gime de Vichy et des Sections SpĂ©ciales crĂ©Ă©es en 1941 ont Ă©tĂ© lourdement punis pour cela Ă la libĂ©ration, et certains mĂȘme directement par la populationâŠ
Aujourdâhui la situation des magistrats est bien diffĂ©rente et leur responsabilitĂ© est encore plus grande face Ă lâoppression dont la population est victime, car :
â la LOI nâest plus la norme la plus haute et incontestable
â il y a des normes plus hautes qui disent le DROIT au-dessus de la LOI,
â il y a dâabord les traitĂ©s internationaux, notamment sur les droits de lâhomme comme les Pactes internationaux des Nations Unis du 16/12/1966 (PIDCP et PIDESC)
â lâarticle 55 de la constitution de 1958 disposait que les traitĂ©s internationaux ont une valeur supĂ©rieure Ă celle des lois
â et le conseil constitutionnel depuis lâarrĂȘt Jacques Vabres en 1975 avait donnĂ© mission aux juges judiciaires, avant dâappliquer une loi, de vĂ©rifier la conformitĂ© des lois avec les traitĂ©s internationaux et donc la constitution, et de mĂȘme depuis 1989 pour les juges administratifs !
â et au-dessus des traitĂ©s internationaux, la norme supĂ©rieure est la constitution,
â et au-dessus de la constitution, la norme supĂ©rieure est le DROIT naturel non Ă©crit qui est la norme la plus haute, tel que traduit et rappelĂ© en droit positif par la DĂ©claration des droits de 1789 qui est supĂ©rieure Ă la constitution elle-mĂȘme et aux traitĂ©s et lois, puisquâelle est visĂ©e au prĂ©ambule de la constitution de 1958 et que le conseil constitutionnel lui a donnĂ© pleine valeur constitutionnelle par dĂ©cision du 16 juillet 1971,
â son article 5 dispose, conformĂ©ment au droit Ă la libertĂ© qui est un droit fondamental et inaliĂ©nable dont les limites sont la libertĂ© dâautrui telles que dĂ©terminĂ©es par la loi selon lâarticle 4, « la loi ne peut dĂ©fendre (interdire) que les actions nuisibles Ă la sociĂ©tĂ© », câest Ă dire les actions dont il serait prouvĂ© (donc scientifiquement) quâelle seraient nuisibles Ă la sociĂ©tĂ©, comme de ne pas respecter les mesures liberticides dites sanitaires anti virus ou climato-rĂ©chauffistes. Or, ce nâest pas prouvĂ© scientifiquement et la loi nâa donc pas le droit dâinterdire des actions aux citoyens sur la base de ces mesures ! La loi nâa PAS le droit dâinterdire la moindre action aux citoyens sous le prĂ©texte de ces mesures sans preuve que ces mesures interdiraient prĂ©tendument « des actions nuisibles Ă la sociĂ©tĂ© ».
â son article 16 dispose aussi quâil nây a plus de constitution si la garantie des droits nâest pas assurĂ©e ni la sĂ©paration des pouvoirs dĂ©terminĂ©e,
â la DĂ©claration des droits de 1789 nâa donc vocation quâĂ rendre caduque une constitution qui en violerait les principes, et non pas Ă disparaĂźtre avec une constitution devenue caduque.
Or, les juges judiciaires ne peuvent pas ignorer :
â que par le referendum de 2005 le peuple souverain a exprimĂ© son refus Ă 54,67% de la constitution instituant lâUnion EuropĂ©enne, utilisant ainsi son droit Ă la souverainetĂ© de la nation (art 3 de la DDHC de 1789) et le droit des citoyens de concourir ensemble Ă la formation de la loi sans passer par ses « reprĂ©sentants », par referendum (art. 6 de la DDHC et art 3 de la constitution),
â alors quâen fĂ©vrier 2008, contrairement Ă la dĂ©cision du peuple souverain quâils reprĂ©sentent soi-disant, les « reprĂ©sentants » traĂźtres au peuple souverain, rĂ©unis en congrĂšs Ă Versailles ont votĂ© une modification de la constitution pour pouvoir autoriser la ratification du traitĂ© de Lisbonne imposant la constitution de lâUnion EuropĂ©enne Ă la nation Ă partir de 2009, et ont ensuite autorisĂ© cette ratification par le prĂ©sident en votant la loi publiĂ©e au Journal Officiel le 13/2/2008, sans avoir reçu le moindre mandat du peuple reprĂ©sentĂ© pour prendre cette dĂ©cision Ă lâencontre sa dĂ©cision souveraine et claire de 2005 !
Cet acte de forfaiture du pouvoir lĂ©gislatif et du pouvoir exĂ©cutif, avec le concours du pouvoir juridictionnel du conseil constitutionnel, chargĂ© de veiller au respect de la constitution, pour modifier la constitution contre lâavis du peuple et pour imposer Ă la nation la tutelle de lâUE, a rendu immĂ©diatement caduque la constitution selon lâarticle 16 de la DDHC de 1789 puisque la garantie des droits Ă la souverainetĂ© et du droit au referendum nâĂ©tait plus assurĂ©e et que les trois pouvoirs Ă©taient ainsi rĂ©unis contre le peuple et non plus sĂ©parĂ©s !
De plus, les magistrats exerçant lâautoritĂ© judiciaire qui auraient pu relever cette forfaiture en refusant immĂ©diatement depuis 2008 dâappliquer toutes les lois et rĂšglements pris Ă partir du 13 fĂ©vrier 2008 nâont toujours pas cru devoir Ă ce jour tirer les consĂ©quences de cette forfaiture, Ă savoir : la NULLITĂ de tous les actes passĂ©s : Ă©lections, entrĂ©e de la nation dans lâUE programmĂ©e pour 2009 selon la ratification du traitĂ© de Lisbonne, entrĂ©e de la nation en 2009 dans le commandement intĂ©grĂ© de lâOTAN par dĂ©cision dâun soi-disant prĂ©sident dâune soi-disant rĂ©publiqueâŠ, toutes les lois et rĂšglements passĂ©s depuis le 13 fĂ©vrier 2008 sans droit ni titre par des usurpateurs de fonctions publiques Ă©lus en vertu dâĂ©lections illĂ©gitimes nulles et non avenues depuis cette dateâŠ
Le pouvoir judiciaire, qui doit appliquer toutes les rÚgles de droit, donc y compris la Déclaration des droits de 1789, aurait pu aussi refuser de juger toutes affaires présentées par les procureurs de la soi-disant « république » concernant des violations des droits et libertés fondamentaux tels que : rassemblements pacifiques des gilets jaunes, mesures sanitaires liberticides anti-covid et injections obligatoires des nouveau-nés et enfants et personnels de santé contre des virus imaginaires, mesures liberticides de climato-réchauffisme sans justification scientifique, rassemblements pacifiques de citoyens opposés à une réforme des retraites par une loi illégitime, etc.
Car, en dĂ©finitive, les magistrats sont tenus dâappliquer TOUTES les rĂšgles de droit, y compris ce qui reste aprĂšs la caducitĂ© de la constitution, Ă savoir la dĂ©claration des droits de 1789, surtout si le conseil dit constitutionnel a failli a sa mission et a disparu juridiquement du fait de la caducitĂ© de la constitution depuis 2008.
Or, les magistrats et les avocats nâont toujours pas cru devoir, depuis 2008, plus de 15 ans plus tardâŠ, soulever ces moyens pourtant dâordre public permettant de ne pas soumettre le peuple Ă lâoppression orchestrĂ©e et exĂ©cutĂ©e selon le plan concertĂ© :
â des usurpateurs de fonctions publiques (art. 433-12 et 13 du code pĂ©nal) par leurs « lois, rĂšglements et commandements » illĂ©gitimes puisque sans constitution,
â qui sont aussi criminels, en bande organisĂ©e :
â du fait de leurs crimes contre lâhumanitĂ© (art 211-1 et suivants du code pĂ©nal)
â et de leurs crimes de trahison (art 410-1 Ă 411-6 du code pĂ©nal) par intelligence avec des puissances Ă©trangĂšres ou des organisations sous contrĂŽle Ă©tranger ou leurs agents (Ukraine, UE, OTAN, OMS, OMC, WEF, B. Gates, M. Zuckerberg, Ursula van der Leyen, cabinet McKinsey, Blackrock, etc. ) de nature Ă susciter des hostilitĂ©s contre la France ou Ă porter atteinte aux intĂ©rĂȘts fondamentaux de la nation !
Et quand bien mĂȘme ces magistrats ou avocats nâauraient pas invoquĂ© le moyen dâordre public de la caducitĂ© de la constitution depuis 2008,
combien dâavocats ou de magistrats ont fait valoir ou jugĂ© au moins depuis 2018 puis 2020 que par exemple, en lâabsence de toute preuve scientifique pour les justifier et donc en ne vĂ©rifiant pas sâil sâagit dâexpĂ©riences mĂ©dicales interdites par le droit international :
â les 11 « vaccins » imposĂ©s en prĂšs de 24 injections aux nouveau-nĂ©s et jeunes enfants,
â le confinement,
â le port du masque,
â les tests intrusifs ou non,
â les passes sanitaires,
â les restrictions de libertĂ© du travail, du commerce, de circulation, de rĂ©union, dâaccĂšs Ă lâenseignement, aux commerces etc.,
â les injections « recommandĂ©es » ou imposĂ©es contre un soi-disant virus quel quâil soit (Sars-cov-2, HPV, hĂ©patite C, etcâŠ),
â ou enfin la suspension des personnels non-injectĂ©s,
sont en rĂ©alitĂ© des mesures liberticides contraires au droit international et constituent des crimes contre lâhumanitĂ© et mĂȘme un gĂ©nocide selon les articles 211-1 Ă 213-4-1 du code pĂ©nal, punis notamment :
â de la rĂ©clusion criminelle Ă perpĂ©tuitĂ© pour les personnes physiques auteurs ou complices, et
â dâune amende de 1 million dâeuros par infraction pour les personne morales auteurs ou complices de ces crimes ?
Aucun !
Combien de magistrats ou avocats ont fait valoir ou jugĂ© que lâimposition des mesures climato-rĂ©chauffistes de lutte prĂ©tendue contre le Co2 est aussi un crime contre lâhumanitĂ© Ă dĂ©faut de toute preuve scientifique pour les justifier ?
Aucun !
Et combien de magistrats ou avocats ont rappelĂ© que les auteurs ou complices de ces crimes contre lâhumanitĂ© ne peuvent PAS sâexonĂ©rer de leur responsabilitĂ© en invoquant le respect des lois, des rĂšglements ou des ordres de la hiĂ©rarchie ?
Aucun !
Pourtant, câest leur mĂ©tier. Ils ne peuvent pas lâignorer ni ne pas se poser la question !
Il est donc clair que contrairement aux juges sous Vichy, les magistrats en France depuis au moins 2008 ont manquĂ© Ă leur serment dont personne ne peut les relever, quelles que soient les circonstances, selon lâarticle 6 de lâordonnance du 22/12/1958, Ă savoir :
« Je jure de bien et fidÚlement remplir mes fonctions, de garder le secret des délibérations et de me conduire en tout comme un digne et loyal magistrat. »
Or, la fonction des magistrats est de rendre leurs dĂ©cisions « au nom du peuple français » (art L 111-1 du code de lâorganisation judiciaire).
DĂšs lors, mĂȘme en lâabsence de constitution, les magistrats, de par leur indĂ©fectibilitĂ© Ă leur serment, doivent bien continuer de rendre leurs dĂ©cisions « au nom du peuple français », et doivent le faire en magistrat « digne et loyal », câest Ă dire :
â loyal envers le peuple notamment, et
â de façon digne câest Ă dire au moins dans le respect de la hiĂ©rarchie des normes, des principes de droit et des droits de lâHommeâŠ
Seront-ils jugĂ©s complices de la forfaiture de 2008 et des crimes contre lâhumanitĂ© commis du fait de leur abstention dâuser de leur autoritĂ© judiciaire pour faire cesser le trouble Ă lâordre public causĂ© par les graves infractions dâusurpation de fonctions publiques, les crimes contre lâhumanitĂ©, le gĂ©nocide et la trahison de certains depuis au moins 2008 ?
Devront-ils alors tous rendre des comptes devant des jurys populaires de cours dâassises du fait de leur responsabilitĂ© comme auteur ou complice de ces crimes et dĂ©lits de droit commun, ou devant des tribunaux populaires spĂ©ciaux constituĂ©s afin dâassurer une bonne administration de la justice sur ces questions particuliĂšrement graves et importantes au plan national ?
QUE POUVONS-NOUS FAIRE ?
INFORMER et diffuser lâinformation est le meilleur moyen pour rĂ©tablir lâEtat de droit en France pacifiquement, par un comportement RESPONSABLE face Ă la situation et non pas par des rĂ©actions irrationnelles et incontrĂŽlables qui ne peuvent quâengendrer le chaos tant souhaitĂ© par les criminels occupant lâappareil dâEtat pour pouvoir se prĂ©senter en sauveurs le moment venuâŠ
Il appartient Ă chaque citoyen, en conscience, de prendre la dĂ©cision de faire ce quâil sait quâil doit faire sâil veut conserver sa dignitĂ© et pouvoir se regarder dans le miroir ou rĂ©pondre Ă ses enfants et/ou petits enfants quand ils lui demanderont ce quâil a fait lorsque la tyrannie sâest imposĂ©e. . .
Le fascisme est selon Mussolini, la rĂ©union des pouvoirs lĂ©gislatifs, exĂ©cutifs, financiers et industriels, symbolisĂ©s par des baguettes ou flĂšches, rĂ©unies en un faisceau symbolisant lâunitĂ© que constitue tous ces pouvoirs ensemble.
Le fascisme actuel paraĂźt Ă©vident au vu des collusions entre les usurpateurs de fonctions publiques et les puissances Ă©trangĂšres ou organisations Ă©trangĂšres dans les domaines de la santĂ©, de la finance, de lâindustrie pharmaceutique et des media.
Les fascistes ne peuvent pas imposer le fascisme. Ils sont trop peu nombreux.
Le fascisme ne peut ĂȘtre imposĂ© que par lâacceptation du fascisme par la population.
Il permet Ă une poignĂ©e dâindividus, par une suite de maillons, dâimposer leur volontĂ© Ă la majoritĂ©. Le dernier maillon de cette chaĂźne est la justice et la force publique.
Les membres de ces institutions sont en partie instrumentalisés et soumis à un management par la terreur les contraignant à la soumission.
DIFFUSER LâINFORMATION PERMET DâINFORMER CEUX QUI PEUVENT AGIR LĂGALEMENT ET PACIFIQUEMENT ET MONTRER LâEXEMPLE.
Dans toute lâhistoire, câest toujours une petite masse critique dâindividus courageux et conscients de leur pouvoir de dire « NON » Ă la tyrannie qui a permis de faire basculer la majoritĂ© et de mettre fin Ă la tyrannie.
Lorsque suffisamment de magistrats et dâavocats et de procureurs et en particulier de citoyens professionnels membres des forces publiques restĂ©s fidĂšles Ă leur mission de sauvegarde des droits et libertĂ©s et de la population :
â SAVENT QUE LE PEUPLE SAIT QUâILS SAVENT eux-mĂȘme clairement quels crimes ont Ă©tĂ© commis, sont en train dâĂȘtre commis et risquent encore dâĂȘtre commis Ă lâavenir si on nâarrĂȘtait pas SANS DĂLAI les criminels, politiciens et hauts fonctionnaires qui organisent tout cela selon leur plan concertĂ© de lois et rĂšglements dans le cadre dâune attaque gĂ©nĂ©ralisĂ©e et systĂ©matique de la population que nul ne peut ignorer depuis des annĂ©es,
â alors ces magistrats, avocats et procureurs et citoyens des forces publiques ont le courage de prendre les dĂ©cisions appropriĂ©es et nĂ©cessaires pour :
â procĂ©der Ă lâARRESTATION SANS DĂLAI des intĂ©ressĂ©s,
â notamment dans le respect des rĂšgles de la FLAGRANCE qui leur permet de sâaffranchir LEGALEMENT des ordres donnĂ©s par leur hiĂ©rarchie qui seraient manifestement illicites et de nature Ă porter gravement atteinte Ă un intĂ©rĂȘt public tel que la libertĂ© en lâoccurrence,
â et ce, non seulement pour FLAGRANT DĂLIT dâ »usurpation de fonctions publiques » (art 433-12 et 13 du code pĂ©nal) puisque les prĂ©sident, ministres et parlementaires et hauts fonctionnaires occupent et utilisent TOUS LES JOURS les palais de la nation et les moyens fournis par lâappareil dâEtat en se prĂ©tendant titulaires de fonctions publiques (Ă moins quâils aient cessĂ© de commettre ces dĂ©lits en flagrance depuis plus de 72 heures en fuyant par hĂ©licoptĂšre privĂ© ou autre moyen privé⊠)
â mais aussi pour FLAGRANT « CRIME contre lâhumanitĂ© » (article 212-1, 6° du code pĂ©nal) par la « TORTURE » mentale quâils exercent sciemment sur la population, TOUS LES JOURS, du fait de la coercition psychologique quâils opĂšrent en engendrant la terreur, la peur, la culpabilisation, la dĂ©sinformation, les mensonges et des menaces, concernant lâexistence dâune soi-disant constitution et dâune soi-disant dĂ©mocratie en France :
â par leurs dĂ©clarations QUOTIDIENNES allĂ©guant de leurs prĂ©tendues fonctions publiques dĂ©mocratiques et de leurs prĂ©tendus titres de prĂ©sident, ministre, dĂ©putĂ©, sĂ©nateur, prĂ©fet, maire, etcâŠ, et sur la soi-disant rĂ©publique, la soi-disant dĂ©mocratie et la soi-disant constitution,
â par leurs menaces, et ordres dâapplication, de sanctions pĂ©nales contre les citoyens qui osent rĂ©sister Ă leur oppression,
â dans le but de faire PRESSION jour aprĂšs jour sur la population pour quâelle croie quâil existerait soi-disant une rĂ©publique, une constitution et une dĂ©mocratie en France et quâelle accepte ainsi lâinacceptable,
â et ce, sciemment et de façon totalement illĂ©gitime puisque la constitution est caduque depuis au moins 2008, ce quâils ne peuvent pas sĂ©rieusement ignorer du fait de leur position,
â et ce avec la COMPLICITĂ active et passive des media, magistrats, avocats et mĂ©decins :
â complices ACTIVEMENT par leurs dĂ©clarations et actes faisant croire :
â- Ă la soi-disant rĂ©publique qui nâest en rĂ©alitĂ© quâune croyance quasi-religieuse et une dĂ©rive sectaire en lâabsence de constitution depuis au moins 2008, et
â- aux soi-disant virus pathogĂšnes contagieux et au prĂ©tendu dĂ©rĂšglement climatique causĂ© par le Co2 et lâactivitĂ© humaine, qui sont en rĂ©alitĂ© imaginaires en lâabsence de toute justification par preuve scientifique,
â- alors quâils ne peuvent ignorer la vĂ©ritĂ© sur ces questions du fait des pouvoirs et obligations dĂ©ontologiques dâinvestigation que leur confĂšrent leurs fonctions, notamment :
1° magistrats et avocats : oeuvrer Ă la manifestation de la vĂ©ritĂ© en matiĂšre judiciaire, veiller au respect des rĂšgles de droit en gĂ©nĂ©ral et donc au moins vĂ©rifier la conformitĂ© des lois avec les traitĂ©s internationaux et, en lâabsence de constitution, avec la DĂ©claration des droits de 1789,
2° mĂ©decins : article R4127-13 du code de la santĂ© publique : dans ses communications avec le public le mĂ©decin ne peut diffuser que des « donnĂ©es confirmĂ©es en faisant preuve de prudence et avec le souci des rĂ©percussions de ses propos auprĂšs du public » : oĂč sont les donnĂ©es confirmĂ©es par la science qui prouveraient dans le respect de la mĂ©thode scientifique lâexistence prĂ©tendue de virus pathogĂšnes contagieux ou lâefficacitĂ© sanitaire et lâinnocuitĂ© des mesures liberticides imposĂ©es pour lutter contre des symptĂŽmes grippaux baptisĂ©s covid 19, puisquâil nây en a aucune dans toute la littĂ©rature scientifique ?
3° journalistes : Charte de dĂ©ontologie de MĂŒnich imposant de : « 1. Respecter la vĂ©ritĂ©, quelles quâen puissent ĂȘtre les consĂ©quences pour lui-mĂȘme, et ce, en raison du droit que le public a de connaĂźtre la vĂ©ritĂ©. », « 6. Rectifier toute information publiĂ©e qui se rĂ©vĂšle inexacte. », « 9. Ne jamais confondre le mĂ©tier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste (âŠ) ». Journalistes : oĂč sont les preuves scientifiques de vos affirmations concernant lâexistence de virus pathogĂšnes contagieux ou dâun dĂ©rĂšglement climatique anthropique liĂ© au Co2, ou lâefficacitĂ© des mesures liberticides sanitaires et climatiques imposĂ©es pour sauver lâhumanitĂ© et la planĂšte ?
â et complices PASSIVEMENT par leur silence assourdissant et donc leur abstention dâuser de leur autoritĂ© judiciaire, mĂ©dicale et/ou mĂ©diatique pour faire cesser les troubles Ă lâordre public causĂ©s tous les jours par :
â- les crimes contre lâhumanitĂ© notamment la torture mentale opĂ©rĂ©e du fait de la coercition psychologique propagandiste quâils laissent perpĂ©trer en taisant la vĂ©ritĂ© et en laissant ainsi la population croire Ă la soi-disant « rĂ©publique », Ă la soi-disant « constitution », Ă la soi-disant « dĂ©mocratie », aux prĂ©tendus virus pathogĂšnes contagieux et au prĂ©tendu climato-rĂ©chauffisme induit par le Co2 et lâactivitĂ© humaine, lui faisant accepter des violations des droits fondamentaux inaliĂ©nables Ă la libertĂ© et Ă la propriĂ©tĂ©,
â- et les crimes de trahison et dĂ©lits dâusurpation de fonctions publiques,
â- commis en bande organisĂ©e par une poignĂ©e dâindividus,
â- alors quâils ne peuvent ignorer ces infractions du fait des connaissances ou des pouvoirs et obligations dĂ©ontologiques dâinvestigation que leur confĂšrent leurs fonctions.
Journalistes : OĂč avez-vous exposĂ© la vĂ©ritĂ© et oĂč sont rectifiĂ©es les informations inexactes niant lâabsence de preuves scientifiques de lâexistence de virus pathogĂšnes contagieux et du prĂ©tendu dĂ©rĂšglement climatique anthropique causĂ© par le Co2 et de lâefficacitĂ© prĂ©tendue des mesures liberticides imposĂ©es pour « sauver lâhumanitĂ© des virus » et « sauver la planĂšte du Co2 » ?
Des silences assourdissant qui demanderont de rendre des comptesâŠ
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Pour en savoir plus :
â sur la caducitĂ© de la constitution : https://conseilnational.fr/wp-content/uploads/2022/08/cnt-que-dit-la-constitution_2021-0720-modif-082022.pdf
â sur la fraude scientifique de la virologie : https://conseilnational.fr/faites-valoir-vos-droits/#fraudescient
â sur la dĂ©rive sectaire de la France par le virologisme, le covido-enfermisme, le climato-rĂ©chauffisme et le rĂ©publicanisme : https://conseilnational.fr/la-france-en-proie-a-de-graves-derives-sectaires/
â sur les crimes contre lâhumanitĂ© commis depuis au moins 2018 et 2020 avec les mesures sanitaires imposĂ©es aux nouveau-nĂ©s et Ă la population : https://conseilnational.fr/sommation-d-octobre-2021/
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