C’est une information très importante : la vaccination antiCovid, surtout quand elle est répétée (rappels et boosters), suscite la production d’immunoglobulines G de type 4 (IgG4).
C’est bien démontrée.
Une revue de cette problématique est publiée en Mai 2023 dans la revue Vaccines dédiée en général à la célébration de la vaccination tout azimut.
Il est étonnant que ça ne soit pas censuré parce que c’est très important et confirme beaucoup de nos observations récentes.
Donc, ce n’est pas anodin.
Pourquoi ?
Explications.
1) Une grande partie de la « méchanceté » du virus est due à une protéine membranaire, la Protéine Spike (ou Protéine S). Elle est d’ailleurs la cible désignée des soignants (et des industriels) via des vaccins ou des anticorps monoclonaux, tous visant une activité anti-Protéine S ;
2) les vaccins antiCovid proposent de susciter la production d’anticorps anti-Protéine S en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. Dit autrement, on nous demande de sécréter le poison (la Protéine S) à l’origine de certaines complications (notamment cardiovasculaires) de l’infection ;
3) mais les vaccins antiCovid (surtout quand les injections sont répétées) suscitent chez certains (outre la production d’IgG1 anti-Protéine S) une production importante d’IgG4 – immunoglobulines G de type 4, dit simplement – qui induisent une tolérance inattendue à la Protéine S du virus Covi-19 [c’est le titre de l’article ci-dessus] et ainsi autoriserait des réinfections par le virus et évidemment des complications (notamment cardiovasculaires) provoquées par la Protéine S.
4) ces auteurs citent de nombreux travaux montrant que la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies auto-immunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés (ci-dessous).
Je pense inutile de traduire ce paragraphe en français, il dit ce que j’ai dit au-dessus.
Nous avons maintenant sous les yeux le mécanisme physiopathologique qui explique de nombreuses questions sans réponse.
Ce qui nous amène au 5ème point.
5) ces complications (myocardites et progression rapide de cancers, notamment, et aussi d’autres) ont été réellement décrites après vaccination antiCovid mais sont systématiquement minimisées par les industriels, les autorités sanitaires et les soignants qui (non alertés) ne les déclarent pas.
6) au-delà du doute, il est clair que le rapport bénéfice/risque de la vaccination antiCovid n’est pas favorable ! Ces vaccins n’empêchent pas la transmission du virus et ne diminuent pas la fréquence des cas graves, c’est désormais une certitude !
7) combien de temps faudra-t-il aux experts connivents (de l’industrie), aux autorités sanitaires et aux gouvernants pour admettre ces évidences ?