C’est le nouveau dada de nos médias soumis à l’agenda du Grand Reset : on est trop sur Terre, on détruit notre Mère à tous, il faut qu’on se dépeuple, faire des enfants c’est grave, et le tiers-monde ils sont trop. Pourquoi pas une petite guerre nucléaire ? Et d’abord, une guerre conventionnelle, par exemple entre la France otanisée jusqu’à l’os et la Russie, avec ce petit convoi de blindés qui remonte vers le nord, ou vers l’est, qui sait…
Le journal des lobbies et des marchés nous avait déjà expliqué qu’on était trop, et que la bonne norme c’était un milliard d’habitants sur Terre. Un premier effort devait permettre de réduire la population de 500 millions d’habitants d’ici à 2050.
La question est devenue récurrente. À tel point que le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l’état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. (Le Monde, 18 janvier 2010)
En 2022, Le Monde récidive :
Soit, mais qui va faire la sélection ? Klaus ? Il risque de mettre tous ses copains dingos sur la liste des Élus, Ursula en premier, et il n’est pas sûr que l’avenir de l’humanité appartienne à ces Illuminatis.
Dans la tête des jeunes écolos de gauche intoxiqués par la doxa schwabienne, le mal est fait : ils ne veulent plus (trop) de gosses, et quand ils en veulent, c’est un, maximum. Après, c’est trop cher, on peut plus sortir au resto ou s’acheter de la coke, entre éduquer un enfant et se divertir en solo, il faut choisir, que diable.
Ce mardi 15 novembre 2022 est à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire de l’humanité, parce que nous venons de fêter le huit milliardième être humain. C’est la fête, sur Terre, bien que personne ne soit capable de nous compter tous : en Inde, par exemple, nos frères sont 1 423 507 775, mais ça change chaque seconde, et la marge d’erreur est énorme, de la taille d’une France, si vous voyez…
En deux titres, France Info, le cœur de la propagande publique, vient mettre la pression sur les « 20-30 » bobos qui sont déjà en quasi burn-out :
Naturellement, pour alimenter cette nouvelle psychose, on trouve les bons témoins. Rions un peu avec Titouan et Clémentine :
Les parents de Titouan l’ont eu à 24 ans, soit l’âge qu’il a aujourd’hui. Vient donc pour lui le moment de décider s’il veut devenir père. Mais la réponse de cet Isérois est déjà toute trouvée : « Je pense que c’est une aberration écologique de faire un enfant. Aujourd’hui, on est trop et faire des enfants, c’est en rajouter du trop par dessus le trop ». Titouan a des convictions écologistes, il vit son choix comme un sacrifice nécessaire. « En vérité, c’est dur de dire que je ne vais pas faire d’enfants alors qu’en vrai j’en ai un peu envie », avoue-t-il.
« J’ai cette envie un peu égocentrique d’avoir mon ’mini-moi’, de voir quelqu’un naître. C’est mystique de créer quelqu’un. Mais je vais m’interdire cette expérience parce que je pense que c’est la meilleure chose à faire. »Clémentine a 26 ans et vit à paris. Comme Titouan, elle n’aura pas d’enfant. Si elle n’en avait pas forcément envie, le changement climatique a fini de la convaincre : « Même en vivant sobrement, les ressources ne sont pas infinies », estime-t-elle. « Et plus il y a de monde, plus c’est de monde à loger, à nourrir, à chauffer. »
« Je ne supporterait pas de créer potentiellement un futur petit super consommateur et un futur petit super pollueur. »
Pour elle, un enfant, ça pollue… Plus que la propagande ne pollue les esprits ?
La solution France Info est plus drastique que la solution Le Monde : pour le SPA (service public audiovisuel), il faut « revenir à 4 milliards d’habitants sur Terre ». Très bien. Mais avec ou sans les bobos ? Titouan et Clémentine se sont auto-écartés du jeu de la Vie, donc on ne les comptera pas dans les survivants du Grand Reset médiatico-politique.
Attention, les écolos complices de cette extermination programmée, ou de cette stérilisation forcée (on stérilise aussi en coupant l’envie d’avoir des mômes, par la peur) ne parlent pas d’élimination physique, ils parlent de « stabilisation ». Tiens, le même terme qu’on utilise dans les HP pour calmer les dingos.
Pour étayer sa démonstration, France Info fait appel à un vrai adepte de la solution finale :
L’impact de l’augmentation de la démographie sur le changement climatique ne fait pas consensus dans la communauté scientifique. Mais il ne fait aucun doute, pour Denis Granier, président de l’association Démographie Reponsable, qui milite pour une autolimitation de la natalité. « Il faudrait faire en sorte que la population se stabilise plus vite que ce qui est prévu », explique Denis Granier. La stabilisation est quand même prévue en 2080… Nous aimerions aussi que la population entame une décroissance pour revenir à un nombre soutenable pour l’environnement. Pour nous, ce nombre se situe à la moitié de ce qu’on est aujourd’hui. Autrement dit : revenir à quatre milliards d’humains sur Terre.
Pour ce faire, Denis Granier attend des mesures politiques plus incitatives, à commencer par « le plafonnement des allocations familiales à deux enfants. Qu’on ait un ou deux enfants, nous trouvons ça très bien. C’est au delà que ça pose des problème »s. En France et quasiment partout dans le monde, le taux de fécondité, c’est-à-dire le nombre de naissances par femme, a tendance à baisser depuis les années 1960, mais pas suffisamment, selon ces décroissants.
Eh bien, on propose à Titouan, Clémentine et Denis de s’auto-éiiminer. Et si Denis a des enfants, à montrer l’exemple. Ceux qui ne tiennent pas à la vie ne doivent pas rester sur Terre : la vie, tu l’aimes ou tu la quittes !
Pour finir sur une note plus sérieuse, dans le second article exterminateur, France Info nous apprend que même un milliard de Terriens, ce serait trop.
« Ce n’est pas une question de démographie. Si nous n’étions qu’un milliard sur Terre et que l’on vivait comme un habitant des pays du Nord, alors ce ne serait pas tenable. »
Gilles Pison, démographe
Finalement, pourquoi ne pas tirer au sort un seul pays, qui aurait le droit d’avoir un petit milliard d’habitants ? Logiquement, ce serait soit la Chine, soit l’Inde. Ces deux géants sont en pleine forme, en pleine croissance, ils sont déjà le monde d’après. L’Amérique, elle, dirigée par un robot commandé à distance par les Fomamour du Pentagone, appartient déjà, alors qu’elle est très jeune (250 ans à peine), au monde d’avant. Paix à son âme.
Quand on écoute ces filles, on a l’impression que mettre un enfant au monde, c’est l’assassiner direct.