C’est pas du slogan NUPES, là. La différence avec les manifs de gauche, c’est que les premières visent les pieds, et ici la tête. Quand on dit viser, ce n’est pas avec un lance-pierres, mais avec un lance-informations. C’était le 15 octobre 2022 à Paris, la veille de la manif des mélenchonistes.
« Rendez-vous compte qu’ils ont fait passer, valider, une AMM conditionnelle qui a fait des milliers, des millions d’effets secondaires graves ! Et des milliers de morts. Donc on sait qui nous dirige, on sait quel est le but, on sait que derrière, il y a une grande réinitialisation. On sait que Klaus Schwab est derrière tout ça, comme Bill Gates, tous ces gens-là, George Soros, Ursula von der Leyen, tous ces gens-là qui font partie d’une mafia, d’une cabale ! Nous sommes bien éveillés, nous sommes bien au courant… »
Une AMM c’est une autorisation de mise sur le marché, en l’occurrence des faux vaccins Bancel & Bourla, dont on apprend aujourd’hui, quasi officiellement, deux ans après les promesses des patrons de multinationales du Big Pharma engagées dans la pseudo-lutte contre le Covid-19, qu’ils n’avaient pas été testés sur la transmission.
Ce que les Français, par exemple, ont pu voir de leurs yeux, quand ils étaient triplement injectés (et non pas vaccinés) et qu’ils refilaient ou se faisaient refiler malgré tout le virus.
Toute la chaîne de commandement de la Santé a menti, sous les « conseils » de Kinsey et la puissance du Big Pharma. Pour comprendre cette nouvelle autorité mondialiste, sachez que l’Union européenne, avec son argent, notre argent, a dépensé 50 milliards pour acheter 2,4 milliards de doses de faux vaccins. L’argument de SuperCorrompue (Ursula von der Leyen) : « Ce sera un atout considérable pour faire face plus tôt et de manière plus efficace aux futures menaces sanitaires. »
Au début de l’opération « p(l)andémie », tout au début, cette critique lucide est sortie sur E&R et France-Soir, puis, les faits venant contredire la propagande, sur des médias plus mainstream
Et maintenant, Libération, dans son encart « Checknews », est obligé de mettre un genou à terre, tout en soutenant que les antivax exagèrent.
L’audition au Parlement européen, le 10 octobre, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, n’en finit pas d’agiter les opposants au vaccin contre le Covid. Interrogée par le député néerlandais Rob Roos (JA21, droite conservatrice) : la responsable du laboratoire avait déclaré : « Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot « transmission », ndlr] avant la mise sur le marché ? Non. » Et de justifier ainsi : Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science », mettant en avant les investissements risqués – à hauteur de 2 milliards – pour la recherche et le développement du vaccin.
Comme CheckNews l’a expliqué dans un article, cette déclaration a été présentée à tort sur les réseaux sociaux comme l’aveu inédit que l’efficacité du vaccin anticovid contre la transmission n’avait pas été évaluée avant sa mise sur le marché. À tort, car ce point n’a jamais fait l’objet d’un mystère. Ainsi, le jour de la publication des résultats des essais du vaccin Pfizer, le 8 décembre 2020, l’administration américaine Food and Drug Administration indiquait, on ne peut plus clairement, que l’effet sur la transmission était une inconnue. « À l’heure actuelle, on ne dispose pas de données permettant de déterminer la durée de la protection conférée par le vaccin, ni de preuves que le vaccin prévient la transmission du SARS-CoV-2 d’une personne à l’autre », écrivait alors l’agence. De fait, comme CheckNews (et de nombreux médias) l’avait largement souligné à l’époque, l’objectif des essais était uniquement d’évaluer l’effet du vaccin sur les infections symptomatiques.
Le malaise du quotidien provax est bien résumé ici :
Tout est en train de se casser la gueule dans la stratégie mondialiste, qui a heureusement pour elle la guerre mondiale sur les rails. Le narratif et la psychose de la Troisième sont là pour effacer les crimes et détourner les yeux du braquage mondial des vaccinateurs.
Comme d’habitude, les complotistes ont deux ans d’avance sur les propagandistes mainstream, qui commencent toujours par mentir, avant de s’aligner sur le réel, mais dans la douleur, et sans reconnaître leurs erreurs, qui n’en sont pas, puisque ce sont des calculs.
Et pendant que Libé ravale sa salive provax, nous sommes déjà plus loin, dans le nouveau conflit mondial généré par une Amérique moralement à l’agonie, une Amérique que Libé soutient mordicus parce que, voyez-vous, Biden c’est mieux que Trump, la pédophilie mieux que le patriotisme.
On ne se refait pas, n’est-ce pas ?