« L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. »
Pixabay
Toutes les décisions de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron ont coûté plus de 600 milliards, pour quel résultat ?
Les coûts de la politique sanitaire
Le confinement des premiers mois a été évalué par Laurent Cappelletti, professeur au CNAM. Dès avril 2020, il l’estimait à un coût mensuel de 150 milliards d’euros. Il avait raison. L’accroissement de l’endettement de la France de 700 milliards résulte bien de cette première folie, même s’il tient marginalement à quelques autres facteurs. L’ardoise sanitaire, c’est environ 600 milliards. En plus du confinement, les vaccinations représentent quelques milliards aussi. 146 millions de doses ont été administrées pour un prix compris en 15 et 20 euros la dose selon les périodes. La seule vaccination a couté entre 2,3 et 2,8 milliards d’euros. Concernant les tests, bien mal nommés anti-Covid, le simple mois de décembre et ses 28 millions de tests ont couté un milliard d’euros à l’assurance maladie. Le ministre des Comptes publics reconnaissait un mois plus tard que les tests anti-Covid coutaient 1,5 milliard pour le mois de janvier. Deux mois de tests ont couté 2,5 milliards, pour quoi faire ? La politique sanitaire représente donc une hystérie de plus de 600 milliards d’euros.
Un ministre des Finances amnésique
Et nous entendons un ministre des Finances parler de « côte d’alerte » avec près de 3 000 milliards d’euros de dette, soit 114,5 % du PIB. Peut-il rendre des comptes sur sa responsabilité et ses résultats puisqu’il a contribué à son accroissement abyssal ? Nous étions en 2017 à 2 200 milliards et 98 % du PIB. Peut-il expliquer le ratio d’efficacité de cette dépense inédite dans l’histoire économique de la France ?
La valeur concrète de cette folle dépense
Prenons la mesure de cette dépense sanitaire faramineuse. Rappelons que le fonctionnement annuel d’un hôpital départemental s’estime dans une fourchette de 250 à 350 millions d’euros. Ce sont donc 2 000 hôpitaux fonctionnant pendant un an où 100 hôpitaux départementaux fonctionnant pendant 20 ans. 600 milliards, c’est 15 ans du budget de la défense (un peu moins de 40 milliards en 2021) ou dix ans du budget de l’éducation nationale (55 milliards en 2021). Un tel sacrifice jamais engagé dans les dépenses publiques de la France exige un résultat rapide et parfait, à la hauteur de la dépense et des promesses exposées comme des certitudes de foi par tous les spécialistes, non ? Nous avons tous en mémoire l’agressivité, le scientisme des certitudes, l’arrogance et le mépris du ministre Véran en particulier. 600 milliards pour quoi faire ?
La nullité du résultat
Or, cette dépense inouïe a-t-elle obtenu un résultat à la hauteur, soit l’éradication rapide du virus ? Non, puisque nous parlons d’une 7e vague, que des personnes meurent encore de cette maladie, même si fort heureusement, ce ne sont pas des milliers par jours. Mais ce confinement initial nous a-t-il libéré de la maladie ? Non. Le 2e confinement ? Non. La vaccination a-t-elle fonctionné ? Non, puisque aujourd’hui les chiffres démontrent que les malades sont des vaccinés ainsi que les hospitalisés. Charlatanisme, escroquerie ? Et les tests ont-ils été utiles ? Non plus, puisque la maladie demeure. Alors à quoi ont servi ces 600 milliards de dépenses publiques ? Et nous n’avons pas aujourd’hui la capacité de mesurer le cout des effets indésirables. Il risque d’être élevé.
La liberté démocratique d’inventaire des responsabilités
Est-il possible dans une société libre et démocratique de demander à nos nouveaux élus d’ouvrir une commission d’enquête transparente, voire populaire, pour exiger des réponses sur les responsabilités de ces engagements de dépenses faramineuses ? Il y a là plusieurs enjeux. Celui de ne jamais reproduire une telle folie. Celui de sanctionner les ministres, voire le Président à la hauteur de cette absolue folie. Celui enfin de solder cette dépense par des mesures et sanctions financières à l’encontre de ceux qui ont profité, voire corrompus : Union européenne, laboratoires, actionnaires des laboratoires, États complices, etc.
L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. Ils ont démontré qu’ils ne savaient rien. Nous avons maintenant la preuve que la dépense était irrationnelle, non pertinente et aujourd’hui sans résultat. Il est urgent de changer radicalement de paradigme. C’est cela le progrès, non ? Du moins, c’est une obligation avant de demander au Français de se sacrifier encore alors qu’il faut solder cette dette en la recouvrant auprès des auteurs de cette hystérie.
***
Les Big Tech ont interdit les allégations selon lesquelles les vaccinés pourraient propager le Covid. Maintenant le gouvernement admet que c’était de « l’espoir » et non de « la science »
Le problème avec les Big Tech qui choisissent les arbitres de la vérité.
Les problèmes liés à la censure des plates-formes Big Tech pour les soi-disant « fausses informations » ont été mis en évidence la semaine dernière lorsque, lors d’un témoignage devant le Congrès, l’ancienne coordinatrice de la réponse au COVID de la Maison Blanche, Deborah Birx, a déclaré que les allégations d’efficacité des vaccins Covid étaient basées sur « l’espoir » et non sur la science réelle.
Pourtant, c’est cette prétendue « science » que les plateformes Big Tech ont utilisée pour censurer les affirmations concernant le vaccin.
Par exemple, Facebook, dans les premiers jours du vaccin Covid, a interdit les affirmations selon lesquelles le vaccin Covid n’empêcherait pas les personnes d’être réellement infectées par le Covid, ce qui signifie que les affirmations selon lesquelles les personnes vaccinées pourraient encore propager le Covid sont devenues une offense sur la plateforme.
Mme Birx a étayé son affirmation en citant des cas de réinfection à la fin de 2020.
« Il y avait des preuves de la pandémie mondiale que la réinfection naturelle se produisait », a déclaré le Dr Birx dans son témoignage.
« Et comme le vaccin était basé sur l’immunité naturelle, on ne peut pas en conclure que le vaccin fera mieux que l’infection naturelle ».
Indépendamment des preuves, les responsables de la santé publique, y compris le Dr Anthony Fauci, ont continué à promouvoir l’idée que les vaccins sont efficaces à 90% pour prévenir les infections et les transmissions, et toute contradiction a été interdite sur certaines plateformes sociales.
« Je savais finalement que l’immunité vaccinale s’affaiblirait comme l’immunité naturelle s’affaiblit. Et il y avait des preuves [que] tous les quatre mois, une réinfection se produisait en Afrique du Sud », a déclaré M. Birx.
Le représentant républicain Jim Jordan a demandé : « Quand le gouvernement nous a dit que les vaccinés ne pouvaient pas transmettre le COVID-19, était-ce un mensonge ou une supposition ? »
« Je pense que c’était un espoir que le vaccin fonctionne de cette façon », a répondu Birx. « Et c’est pourquoi je pense que les scientifiques et les responsables de la santé publique doivent toujours être à la table en étant très clairs sur ce que nous savons et ce que nous ne savons pas ».
Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche
– Source : FranceSoir