Il faut télécharger, traduire et lire le document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech pour trouver l’argument qui commence à circuler sur la toile : le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé « vaccin », ne serait pas concluant durant les essais cliniques à échelle mondiale et ne permettrait pas une mise sur le marché définitive.
Ce document interne à l’entreprise est un outil axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société Allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :
« We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the EuropeanUnion, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »
Traduction :
Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantespour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.
Plus troublant est l’affirmation suivante :
“Significant adverse events may occur during our clinical trials or even after receiving regulatory approval, which could delay or terminate clinical trials, delay or prevent regulatory approval or market acceptance of any of our product candidates.“
Traduction :
Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation réglementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats.
En deux lignes, sur un rapport pierre d’angle d’un groupe qui était en perte (179 millions d’euros en 2019) et boudé par les investisseurs (https://www.lopinion.fr/economie/longtemps-boudees-par-les-investisseurs-les-biotechs-allemandes-profitent-du-succes-de-biontech-avec-son-vaccin-contre-la-covid), il est clairement explicité que :
- Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant
- Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence
- Le produit n’est que expérimental, et les citoyens ont été des cobayes
- « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive
Rappelons que le « vaccin » expérimental a été conçu par une collaboration avec Pfizer qui connaissait aussi des déboires (perte de 11 milliards en 2018).
« Des évènements indésirables » font ils référence sans le dire à tous les effets indésirables (dont ceux sur les jeunes non répertoriés en France depuis juillet 2021) et décès constatés anormalement en surnombre (avec une alerte par pharmacovigilance qui ne chiffre que la partie visible de l’iceberg) ?
Une société allemande avec une société américaine, toutes deux dans le rouge, deviennent subitement la solution miracle de tous les gouvernements occidentaux avec un produit expérimental injecté à des milliards d’individus pour finalement annoncer que ce « vaccin » magique ne serait pas efficace et n’aurait pas de suite, sinon des effets indésirables et irréversibles.
Pour ce qui est de la question franco-française, elle est justement posée aux médias nationaux classiques qui se sont fait les chantres propagandistes du vaccin : RMC, BFM, CNews, groupe TF1, France Télévision, Europe 1, RTL, Radio France.
Aucun (ou presque) n’aura véritablement mis le doigt sur le rapport COVID de Santé Publique France du 1Er avril 2021 (décidément les hauts fonctionnaires ont de l’humour) qui annonce page 42-43 (en texte, en chiffre et en graphiques) qu’il y a eu 14.000 morts direct du coronavirus sur un an (moins que la grippe de 2016) et que les « 110.000 morts » repris en cœur par le gouvernement, la majorité parlementaire et les médias nationaux n’étaient que les déclaration électronique des hôpitaux (santepubliquefrance.fr ). Autrement dit, Santé Publique France dit qu’il n’y a jamais eu d’épidémie.
Aucun (ou presque) non plus n’aura véritablement procédé à approfondir les questions comme « OFF Investigation » a su le faire sur les conflits d’intérêt du fils de Laurent Fabius au sein des cabinets de conseil Mc Kinsey, qui, entre autre, conseilla le Président de la République et le gouvernement pour valider et inciter à l’utilisation du produit de BioNTech-Pfizer.
Pas plus qu’aucun ne traite par le fond les questions de corruption et de pédocriminalité, sauf tous les 40 ans quand surgit l’affaire du petit Grégory ou la jeune Maïlys.
Alors question : faut-il que ce soit à nous, LA CONCORDE, de pousser au crime ces mêmes médias de devoir faire leur travail et de véritablement aborder ce nouveau scandale, ou vont-ils une fois de plus l’étouffer, restant de dociles agneaux obéissant au pouvoir exécutif et les intérêts privés, ne respectant en rien la Charte de déontologie des journalistes signée à Münich en 1971 ?
Hugues Débotte
Rédacteur en chef
Source : laconcordetv.fr