Là où on en est du bilan « coronavirus », j’espère que tout le monde a enfin compris le sens des mesures dites « sanitaires » qui ont été décidées par la mafia McKinsey & Company, s’étant bien engraissée sur le dos des moutons qui ont fidèlement bêlé en chœur au rythme de cette escroquerie monumentale cherchant chaque jour un moyen nouveau de se moquer du monde, en le faisant payer, de surcroît, pour le mal qu’elle se donnait à l’humilier copieusement !
Tout le monde a-t-il capté et imprimé l’info : qu’il n’existe pas de consensus scientifique prouvant que le port du masque dans la population générale réduirait la propagation des virus ? Tout le monde a-t-il compris qu’un masque déjà manipulé, touché, rangé dans le sac, devient très rapidement un nid à microbes et que si vous persistez dans cette erreur, vous allez respirer des saloperies en circuit fermé ?
La ministre Buzyn disait en son temps : « Pour la population en général, il n’y a aucune indication à porter le masque aujourd’hui. Le masque bleu ne protège de rien. » (leprogres.fr)
Le fanatique du masque : celui que vous apercevez bâillonné jusqu’aux yeux, seul dans sa voiture, seul sur une plage, seul sur le Mont Blanc, seul dans sa douche et seul sur son vélo, seul dans ses toilettes, debout, assis, couché, à la messe et au bistro, alors même que ces mesures ont été suspendues, tous les fanatiques de la muselière inconditionnelle savent-ils qu’il y a 3,4 milliards de masques qui sont jetés chaque jour, jonchant les rues, les trottoirs, les fossés, les champs, les plages, les rivières, la mer !? Non, ce n’est pas leur problème, ils sont la « conscience » incarnée de la responsabilité qui fait très attention à « ne pas contaminer les autres », eux qui condamnent les « égoïstes » inconscients, menaçant de mort « des millions de personnes », comme cela a été dit par le directeur du laboratoire Pfizer, concernant les « non-vaxx » associés aux « non-mascarillés », avec leur négligence impardonnable ! (Cf., Benson NU, et al. COVID pollution: impact of COVID-19 pandemic on global plastic waste footprint. Heliyon. 2021)
Les masques chirurgicaux sont en polypropylène, un matériau plastique issu de la pétro chimie, qui n’est pas biodégradable. Ces milliards de masques vont donc se détériorer dans la nature, notamment dans l’eau, en petites particules qui vont ensuite pénétrer dans la chaîne alimentaire et au final dans nos assiettes, avec un impact sur l’ensemble des écosystèmes. Voilà la responsabilité des « masquetards » !
L’OMS, elle-même, l’un des principaux coupables de ce gâchis irresponsable, tire hypocritement la sonnette d’alarme concernant les emballages de vaccins et autres tests qui contribuent aussi à l’amoncellement des déchets médicaux intraitables !
Même si des analyses ont montré que le virus pouvait demeurer intact sur certaines surfaces, jusqu’à 28 jours, une récente étude parue dans le journal ACS Central Science démontre que ce type de transmission est improbable.
(Cf., Aboubakr HA, et al. Stability of SARS-CoV-2 and other coronaviruses in the environment and on common touch surfaces and the influence of climatic conditions: A review. Transbound Emerg Dis. 2021.
Wardzala CL, et al. Mucins Inhibit Coronavirus Infection in a Glycan-Dependent Manner. ACS Cent Sci. 2022)
Ces autres fanatiques de « la geste jaculatoire », associée aux flacons de gel hydroalcoolique composé pour l’essentiel d’alcool éthylique, d’eau oxygénée, de glycérol et d’eau purifiée, réduisent à néant, par cet acte compulsif, le microbiote cutané vivant sur nos mains et nous protègeant de nombreux agents pathogènes. Des mains ainsi désinfectées peuvent facilement être surinfectées par des bactéries telles que le streptocoque du groupe A ou le staphylocoque, sans compter les phénomènes d’allergies. (mediachimie.org)
De plus, le gel hydroalcoolique favorise l’absorption par notre peau de Bisphénol A, un perturbateur endocrinien. Le lavage des mains à l’eau et au savon nous protège mieux que ce produit dont le coût représente lui aussi un gâchis extraordinaire doublement inutile, sauf pour les laboratoires pharmaceutiques et leur compte en banque.
(Cf., Hormann AM, et al. Holding thermal receipt paper and eating food after using hand sanitizer results in high serum bioactive and urine total levels of bisphenol A (BPA). PLoS One. 2014)
Ségolène Maps, psychologue clinicienne de la santé, s’exprime dans les colonnes de La Dépêche du Midi :
« Peur de mourir, peur de sortir, angoisse, l’impact psychologique de cette situation de crise n’est plus à démontrer. Nous avons observé une recrudescence de patients atteints de pathologies mentales directement liées au Covid ou aux restrictions sanitaires. » (ladepeche.fr)
Le discours de terreur diffusé de tous les côtés : dans la pub, dans les faits divers, dans les administrations, dans tous les organismes de santé, dans les abris bus, les gares, les stations de métro, les aéroports, les églises, et sans doute les bordels eux-mêmes, les salles d’attente, les magasins, les restaurants, les bars, les marchés et les kiosques à journaux, a réussi à traumatiser des millions de personnes vulnérables. Toutes les mesures sidérantes, incohérentes, scandaleuses, ajoutées au psittacisme de la terreur ambiante, ont été dictées par une organisation mafieuse grassement payée par nos impôts, pour des motifs clairement non sanitaires !
Cette organisation criminelle a déchiré les familles, opposé les personnes les unes aux autres à tous les niveaux de la société ; les rythmes scolaires ont été brisés, le développement des enfants a été perturbé et nous observons aujourd’hui un retard mental des plus jeunes, une baisse considérable de leurs moyens intellectuels, de leurs capacités à apprendre et de leur capacité à vivre la relation sociale…
Une division haineuse a été installée par les « vaccinés » contre les « non-vaccinés ». Un moralisme inquisiteur a revu le jour et les donneurs de leçons se sont faits légions, sur les réseaux sociaux, sur les plateaux de télévision, dans de prestigieux journaux au-dessus de tout soupçon, mais largement financés par l’argent de nos impôts, pour appuyer Macron désireux « d’emmerder » les récalcitrants à l’injection du produit expérimental, truffé de parasites inconnus et d’oxyde de graphène, dont aucun laboratoire n’a encore expliqué la raison de leur présence dans ces produits à ARNm !
Les personnes âgées ont été achevées en masse au Rivotril dans les « EHPAD », sous ordre des ordures du ministère de la santé et de l’ensemble des pouvoirs mafieux aux commandes.
Les faillites d’entreprises ont battu tous les records. On annonçait pour le 1er trimestre 2022 les nouvelles faillites de 10.000 entreprises supplémentaires qui déposaient le bilan en France. Le PIB a plongé de près de 10 % depuis 2020. Selon la société Altares, 32.200 entreprises ont fait l’objet d’une procédure collective en 2020. Après son envol en 2020 du fait de la crise sanitaire, le ratio de dette publique atteignait 112,9% du PIB en 2021, tandis que le déficit public s’est stabilisé à 6,5%, a indiqué l’Insee le mardi 19 avril 2022. En 2020, la dette s’était envolée à 114,6% et le déficit s’était creusé à 8,9%, des niveaux records, selon des chiffres révisés publiés par l’Institut national de la statistique. (lesechos.fr)
Selon le cabinet Altares, le nombre de défaillances d’entreprises a augmenté de 34,6% au premier trimestre 2022,au moment même où Macron, dans le débat du second tour des présidentielles, osait dire avec un aplomb hautement cynique que son bilan avait été exceptionnel pour l’aide aux entreprises !
Les confinements resteront dans la mémoire de l’histoire, comme une gigantesque maltraitance imposée arbitrairement aux peuples, puisque tous les scientifiques sérieux, non compromis dans des conflits d’intérêts et libres des menaces sur leur carrière, affirmaient depuis le début cette aberration moyenâgeuse n’ayant même pas été appliquée telle quelle au Moyen-Âge !
Pendant ces cinq dernières années, la France a cumulé 616 milliards de dettes supplémentaires, grâce à la prodigieuse gestion compétente du banquier Macron de Rothschild. Voilà le bilan de son passage à l’Elysée dans lequel il était entré « par effraction », disait-il encore cyniquement en 2017 !
Ce monumental massacre arbitraire de l’économie, au nom d’une fausse crise « sanitaire », n’était qu’une opération de camouflage de la faillite du système capitaliste ultra libéral, comme nous l’avions démontré dans notre article « L’effondrement du capitalisme et le rideau de fumée de la COVID-19 », sur www.mondialisation.ca du 28 mars 2021.
Le bilan de Macron est sans doute le pire de toute la cinquième République, et cela d’autant plus qu’il aura été l’un des plus fervents promoteurs des mesures les plus liberticides de l’histoire de France : censures brutales, arrestations abusives, justice maltraitante, mises à pied des chercheurs, des médecins, des soignants suspendus sans salaires, l’obligation « vaccinale » de fait, sans assurer le « consentement libre et éclairé », l’interdiction faite aux médecins de soigner, de prescrire, d’utiliser des traitements qui marchaient parfaitement, comme une profusion d’études l’a depuis démontré !
Rappelons-nous que des médecins ont été interdits d’exercice de leur métier pour avoir refusé un « vaccin » dont on ne savait rien, comme c’est toujours le cas de la part des laboratoires. Ce que nous savons aujourd’hui, nous le devons à des chercheurs indépendants. D’autres ont été rayés de l’Ordre des médecins pour avoir refusé de se soumettre à un arbitraire anti médical, imposé par les plus hautes autorités de la santé en France !
Non seulement la perversion s’est emparée de toutes ces instances de pouvoir, mais la criminalité les a inspirées sans limites.
Interdire de soigner, interdire d’utiliser des médicaments qui fonctionnent, interdire leur vente en pharmacie du jour au lendemain, afin d’organiser la « vaccination » seule autorisée : cela s’appelle un crime contre l’humanité, un eugénisme explicite programmé, une volonté d’extermination du grand nombre des inutiles qui ne serviraient à rien dans le programme du Great Reset pour l’ère du transhumanisme, permettant de faire des humains des « animaux piratables » à souhait et donc des esclaves rentables pour les prédateurs mondialistes et cyniques du camp des disciples de Léo Strauss !
Il est grand temps d’arrêter de faire les idiots en se soumettant à une telle tyrannie orchestrée par des instituts de « conseil » étranger, mafieux, pratiquant allègrement l’abus de pouvoir et le rackett des peuples, instituts encore récemment condamnés par la justice, et organisant dans l’ombre toutes les falsifications utiles à leurs intérêts obscurs…
Nous votons ou ne votons pas ce dimanche 24 avril : chacun sait-il en toute conscience la raison qui a guidé son choix ?
Jean-Yves Jézéquel
La source originale de cet article est Mondialisation.ca