
Un outil juridique vivant au service de la protection des droits fondamentaux
Depuis plusieurs annĂ©es, une grande partie de la population française â agriculteurs, enseignants, parents, artisans, jeunes ou retraitĂ©s â ressent un sentiment de vide juridique. Entre injonctions arbitraires, dĂ©cisions administratives contestables et une succession de lois dâexception, nombreux sont ceux qui ont eu lâintuition que quelque chose dâessentiel avait Ă©tĂ© suspendu dans les fondements mĂȘme de lâĂtat de droit.
Câest dans ce contexte de confusion institutionnelle et de dĂ©sengagement dĂ©mocratique quâest nĂ©e une initiative citoyenne, sobre et puissante : la Zone Libre â DĂ©claration de Droit Opposable.
Loin dâun texte symbolique ou dâun manifeste militant, ce document se veut avant tout un outil juridique accessible, fondĂ© sur la hiĂ©rarchie des normes reconnue par le droit français lui-mĂȘme. Il sâappuie sur les principes du droit naturel, la DĂ©claration des Droits de lâHomme et du Citoyen de 1789, et des traitĂ©s internationaux comme le PIDCP ou la CEDH â tous supĂ©rieurs aux lois ordinaires selon lâarticle 55 de la Constitution.
LâidĂ©e de « Zone Libre » ne renvoie pas Ă une utopie territoriale mais bien Ă un espace de droit incarnĂ©, que ce soit dans le corps, le domicile, le lieu de travail ou la ferme dâune personne. Un espace dans lequel les droits fondamentaux sont rappelĂ©s, protĂ©gĂ©s, et surtout rendus opposables face aux autoritĂ©s qui nâen garantiraient plus lâapplication.
Car lorsquâun Ătat nâassume plus son rĂŽle de garant des libertĂ©s, alors, selon les principes du droit supĂ©rieur, chaque individu ou groupe humain est lĂ©gitime Ă rappeler la loi vivante â celle qui protĂšge, qui structure, et qui fonde les bases dâun ordre juste.
Depuis 2020, plusieurs dĂ©marches juridiques concrĂštes ont vu le jour : lettres officielles adressĂ©es aux autoritĂ©s, mises en demeure envoyĂ©es aux prĂ©fets, ministres, ARS ou maires, et mĂȘme une lettre formelle transmise Ă lâONU. Ces actions ont rĂ©vĂ©lĂ© une impasse : sans support clair, utilisable, transportable, les citoyens restent souvent seuls, vulnĂ©rables, sans moyen de rĂ©affirmer leurs droits.
Ce document vise Ă combler ce manque. Il peut ĂȘtre affichĂ©, prĂ©sentĂ©, signĂ©, ou annexĂ© Ă toute dĂ©marche administrative ou juridique. Il est pensĂ© pour ĂȘtre activĂ© dans la vie quotidienne.
Face à la multiplication des atteintes aux libertés fondamentales, Zone Libre offre un outil juridique, accessible et opposable, pour toute personne ou tout collectif souhaitant réaffirmer ses droits dans un cadre légitime.
Quâon soit citoyen, professionnel, enseignant, soignant, fonctionnaire, ou membre dâun collectif local⊠chacun peut aujourdâhui revendiquer un espace de souverainetĂ©, de conscience et de responsabilitĂ©.
Zone Libre est un acte de souveraineté individuelle et collective.
Il permet Ă chacun dâaffirmer ses droits fondamentaux dans un cadre clair et pacifique.
Voici les différents profils concernés et les usages concrets de Zone Libre :
â Les parents,
- Pour protéger leurs enfants contre les décisions sanitaires arbitraires,
- Pour refuser des interventions scolaires sans consentement éclairé,
- Pour affirmer leur autorité éducative et leur droit au choix vaccinal,
(notamment face à une 15ᔠobligation vaccinale imposée, alors que les effets secondaires à court et long terme autisme, troubles auto-immuns, cancers précoces sont dramatiquement sous-estimés)
â Les maires, Ă©lus locaux, agents territoriaux,
- Pour refuser lâexĂ©cution de directives contraires au droit supĂ©rieur,
- Pour se protéger face aux injonctions abusives (Union Européenne, préfecture, multinationales, etc.),
- Pour replacer leur mandat sous lâautoritĂ© du peuple et non dâintĂ©rĂȘts extĂ©rieurs
â Les membres des forces publiques, gendarmes, policiers, militaires,
- Pour exercer leur droit de refus dâun ordre manifestement illĂ©gal (Code pĂ©nal, art. 122-4)
- Pour se placer sous la protection de la légalité fondamentale et non du pouvoir arbitraire
- Pour refuser dâobĂ©ir Ă un pouvoir usurpateur, contraire au contrat constitutionnel
â Les habitants,
- Pour dĂ©fendre leur foyer contre les intrusions ou technologies imposĂ©es (Linky, 5G, camĂ©rasâŠ),
- Pour invoquer leur droit à la vie privée (CEDH art.8 )
â Agriculteurs / MaraĂźchers / Ăleveurs
- Pour refuser les normes agricoles imposĂ©es par lâUE sans validation dĂ©mocratique (ex. levĂ©e des droits de douane sur les produits ukrainiens, autorisation du gĂ©nie gĂ©nĂ©tique, etc.)
- Pour défendre la souveraineté alimentaire locale et les circuits courts
- Pour protĂ©ger les terres, les semences paysannes, le vivant et lâautonomie du mĂ©tier
- Pour invoquer leur droit à des choix agricoles respectueux de la santé humaine et environnementale
- Pour se prémunir contre les intrusions sanitaires arbitraires (vaccination animale, restrictions non justifiées, etc.)
- Pour afficher Zone Libre sur leurs fermes comme déclaration de souveraineté territoriale
â Soignants, praticiens, personnels suspendus, patients
- Pour exercer en conscience, sans pression administrative ou injonction contraire Ă lâĂ©thique
- Pour défendre le consentement libre, éclairé et réversible, y compris dans un contexte de protocole expérimental
- Pour protĂ©ger leur droit de prescription, dâalerte et de prĂ©vention, conformĂ©ment Ă la dĂ©ontologie mĂ©dicale
- Pour refuser des ordres manifestement illĂ©gaux, notamment lâobligation vaccinale imposĂ©e sans dĂ©bat ni transparence
- Pour dĂ©noncer un cadre juridique dâexception, conçu pour exclure les soignants non-conformes de leurs droits (suspension sans indemnitĂ©)
- Pour se placer sous la protection du droit supĂ©rieur, face aux violations du serment dâHippocrate ou des droits fondamentaux des patients
â Gendarmes, policiers, pompiers contraints Ă lâobligation vaccinale
- Pour refuser une mesure imposée sans débat, sans preuve de non-contagiosité
- Pour faire valoir leur droit au consentement Ă©clairĂ© et Ă l’intĂ©gritĂ© physique
- Pour se dĂ©fendre contre lâinstrumentalisation politique de leur mission
â Les enseignants et collectifs pĂ©dagogiques,
- Pour préserver la liberté pédagogique
- Pour refuser les contenus intrusifs ou contraires aux convictions éducatives
â Les indĂ©pendants, entrepreneurs, artistes,
- Pour protĂ©ger leur espace de travail, de crĂ©ation, dâinitiative libre
â Les fonctionnaires et agents publics,
- Pour faire valoir la libertĂ© de conscience dans lâexercice de leur fonction
â Les citoyens mobiles,
- Pour se protéger en manifestation, contrÎle abusif, ou déplacement contesté
â Les collectifs locaux, Ă©co-villages, communautĂ©s rurales,
- Pour affirmer une souveraineté territoriale légitime, fondée sur le droit
â Les lanceurs dâalerte, journalistes, syndicalistes,
- Pour encadrer juridiquement leur position et protéger leur parole
â Les justiciables,
- Pour affirmer un cadre de recours supérieur face aux abus de procédure
â Les personnes vulnĂ©rables ou en situation de handicap,
- Pour garantir lâaccĂšs aux droits fondamentaux sans discrimination, sans pression, et sans traitement imposĂ©
Comment utiliser Zone Libre ?
âïž Le signer seul ou collectivement
âïž Lâafficher sur une maison, un terrain, un cabinet, un vĂ©hicule
âïž Le joindre Ă un courrier, une plainte, une mise en demeure
âïž Lâinvoquer en cas de litige, contrĂŽle, procĂ©dure
âïž Le partager pour relier des lieux souverains et conscients
Conçu comme une rĂ©ponse vivante Ă une crise silencieuse, ce texte nâappelle pas Ă la rupture, mais Ă la rĂ©paration. Il ne propose pas dâĂ©chapper Ă la loi, mais dây revenir dans ce quâelle a de plus noble : la dĂ©fense de la libertĂ©, de la dignitĂ©, et de la souverainetĂ© du peuple.
Il sâadresse Ă toutes celles et ceux qui, sans renier leur responsabilitĂ©, souhaitent agir pour se protĂ©ger dans le respect du droit, quâils soient isolĂ©s ou membres dâune communautĂ©. Il peut ĂȘtre utilisĂ© individuellement, dans une ferme, une Ă©cole, un commerce, ou collectivement, dans une commune, une AMAP ou un projet en transition.
Ce texte est appelĂ© Ă vivre, circuler, Ă©voluer. Il est juridiquement fondĂ©, mais aussi politiquement utile : il rappelle aux institutions leurs devoirs, aux citoyens leurs droits, et Ă chacun sa capacitĂ© dâagir dans le cadre dâun droit supĂ©rieur aux abus.
đ Le document est disponible en PDF, prĂȘt Ă ĂȘtre affichĂ© ou signĂ© : https://t.me/droit_en_action/37
đ Une carte des autoritĂ©s dĂ©jĂ mises en demeure est Ă©galement accessible ici :
Lien Framacarte : https://framacarte.org/fr/map/droit-en-action-protection-sante_182256#6/46.769/4.484
đ Rejoindre l’action collective : https://t.me/Relais_info_fr/16288
Cette version 1 est un point de dĂ©part. Elle pourra ĂȘtre adaptĂ©e Ă dâautres territoires (Belgique, Suisse, DROMâŠ), selon leurs fondements juridiques respectifs. Et pour cela, chacun est invitĂ© Ă contribuer Ă son amĂ©lioration et Ă son rayonnement.
Plus quâun texte, câest un acte de conscience, une boussole dans la tempĂȘte, et un outil de souverainetĂ© pour un monde plus juste.
Gabriel R.I
đ„ AccĂ©der au document â Zone Libre
đ TĂ©lĂ©chargez la version complĂšte en PDF (format A4 paysage, prĂȘt Ă imprimer, afficher ou annexer Ă vos dĂ©marches) :
đ Document complet :
đ
đ§Ÿ Aperçu du document :
đž Page 1 â Affiche de Zone Libre (Ă placer sur votre lieu de vie, de travail ou vos espaces communs)

đž Page 2 â Verso explicatif et juridique (Ă prĂ©senter ou annexer Ă toute dĂ©marche)
