Les Sayanim existent, sont infiltrés et font la pluie et le beau temps, je partage ici l’explication de M. Jacob Cohen, juif connaissant parfaitement les coulisses de ce pouvoir occulte.
Zidakani
Auteur(s) : Marcel-M. Monin pour France-Soir
TRIBUNE – Les nominations récentes d’un Premier ministre et de ministres sont, sous un certain rapport, des anecdotes sans grand intérêt. Surtout qu’elles interviennent alors que l’Assemblée nationale n’a pas été renouvelée. Et alors qu’aucun évènement ou « crise » n’exige le remplacement d’individus par d’autres, qui seraient, par exemple, plus compétents, ou qui incarneraient la mise en oeuvre d’une politique différente.
Si l’on s’attache en revanche à certains éléments de la « trajectoire » des personnages de premier plan de l’Etat, on constate que certains ont été gratifiés du label Young global leader. Label décerné par la nébuleuse du Forum de Davos de Klaus Schwab, aux personnes ayant un certain profil et… pouvant être utiles (un peu comme le label Young leaders délivré, lui, par la French American Fondation). Personnes qui adhèrent nécessairement aux conceptions sociétales véhiculées par Schwab (1). Personnes qu’il suffit d’aider à occuper les places de direction de l’Etat, lorsque l’occasion se présente (2).
On ne relève pas que les cas d’Emmanuel Macron (Young Global leader mais également Young leader de la French American Fondation, « parvenu » au poste de président de la République) ou de Gabriel Attal, nouveau Premier ministre (3).
Créer, financer, manipuler
Ainsi, au lieu d’avoir à approcher des individus qui ont derrière eux une carrière assise de personnage politique « qui compte », les détenteurs du pouvoir économique ont compris qu’il leur suffisait de puiser dans leur vivier et de transformer — quand l’opportunité ou le besoin s’en font sentir — des personnes inconnues des citoyens, en personnages politiques de premier plan. En les « créant », en les finançant, et en manipulant suffisamment d’électeurs pour que le nom de ces produits sorte des urnes et que ces derniers puissent, ensuite, de ce fait, jouir (fut-ce de cette manière quelque peu « frauduleuse ») du label de la légitimité démocratique (4).
Avec comme partenaires, des individus jeunes, qui veulent jouir de beaux postes, sans avoir à attendre et sans avoir à faire la preuve de quoi que ce soit (ni de leur compétence et encore moins – ou surtout pas — de leur dévouement à la chose publique). Et qui ont compris qu’il leur fallait tout simplement se mettre en valeur auprès des gens puissants et se faire bien voir par ces derniers qui ont besoin de petites mains (5).
Les commentateurs raisonnent comme si l’on était toujours dans le cadre politique traditionnel. Les textes sont certes inchangés. Mais ils servent d’habillage à de profondes modifications dans la réalité du fonctionnement des institutions. Et servent également au gel de vieux concepts, comme celui du gouvernement « du », « par », « pour » le peuple. Ou comme celui de la « souveraineté » du peuple ou de la nation.
Satisfactions de groupes économiques
Pour le choix des dirigeants : il n’y a plus de lien de fait entre les citoyens ou avec les représentants de ces derniers. Choix qui ne sont plus en réalité le fait des partis ou des électeurs.
Pour l’exercice du pouvoir : les pouvoirs de décision attachés aux postes, sont dorénavant utilisées, non pour la satisfaction de l’intérêt général, mais pour la mise en œuvre mécanique (6) d’intérêts propres aux groupes économico-financiers (en particulier les intérêts des dirigeants de ces derniers).
Dans les rapports entre les gouvernants et les gouvernés : le rôle des gouvernants se borne à faire croire aux gouvernés qu’ils sont à leur écoute (en répétant, par exemple, à toute occasion et en tous lieux, ce que les gouvernés disent et aiment entendre). A raconter, à ces derniers, les histoires qui ont vocation à camoufler leur rôle et l’objectif à la réalisation duquel ils œuvrent. A veiller, à ce que les gouvernés se contentent d’aumônes en contrepartie de ce que les premiers leur font subir. Et, bien évidemment, à dissuader les mécontents de protester en envoyant si besoin (notamment si la manipulation n’a pas suffisamment fonctionné) les forces dites de « l’ordre » (qui ne le font pas régner partout) les estropier pour leur faire passer l’envie de contester.
La classe politique encore en place, qui continue à gagner sa vie après avoir commencé la carrière (qui avec une étiquette « socialiste », qui avec une étiquette « gaulliste ») est ralliée à l’idéologie de la mondialisation. Et œuvrent pour que les institutions de l’Etat soient aux ordres de l’étranger.
Surtout que les techniques d’installation de ce nouveau mode de gouvernance des populations est inscrit dans divers traités. Que les politiciens survivants des anciens temps aiment bien. Avec le coup de 2007 par lequel la classe politique a voté, avec le traité de Lisbonne, la poursuite du processus de transformation de la société. Contre la volonté explicite du peuple et ce, à l’initiative d’un personnage issu de la mouvance gaulliste !
La classe politique ne critique qu’à la marge. Et se chamaille pour la conservation ou l’obtention des postes. Où chacun a fait, fait ou fera nécessairement ce que l’autre a fait ou fera. En tout cas, l’idée de représenter l’intérêt collectif a disparu.
Abrutir les populations
Pour couronner le tout, la haute fonction publique a compris que la carrière était améliorée en pratiquant le pantouflage et le « rétro pantouflage ». Donc, le mélange des genres et la confusion des intérêts possiblement contraires qui ont pu relever jadis du droit pénal. Et cette haute fonction publique serait bien bête de s’en priver puisqu’il suffit que, dans la plus parfaite application formelle des mécanismes des lois, les commissions de déontologie ou les juges, n’y voient — en toute indépendance — aucun mal…
Ce qui fait qu’à partir des textes organisant à l’origine — et en principe — le fonctionnement d’un Etat démocratique, des individus sans limite acceptent de mettre en place progressivement (pour que les gens s’y habituent) un régime qui vise exactement au contraire de la démocratie (7).
Et demain ?
Les idéologues mondialistes savent bien, si on lit leurs écrits (voir notamment les différents documents du Forum économique mondial de Davos), qu’il leur faut, par la manipulation, « abrutir » les populations. Et qu’il leur faut veiller à ce que les « responsables politiques » qui sont leurs petites mains, appartiennent bien à leur sorte de secte.
Ce qui renseigne indirectement sur la première faiblesse du système actuel, tel qu’il fonctionne : si la manipulation ne marche pas, ou — un jour — ne marche plus… le système ne tiendra plus.
Et il vient toujours un moment où les êtres humains se mettent à rejeter le joug qui leur a été imposé de manière inique. Et à ne plus supporter qu’on les prenne pour des imbéciles ou pour des choses.
La deuxième faiblesse réside dans la vulnérabilité de ces gens qui, pour jouir d’une belle carrière, de privilèges, et/ou pour gonfler leur compte en banque, ont fait le choix de se mettre corps et âme au service de la minorité contre l’intérêt général.
Quelle vulnérabilité ?
Individus qui n’ont de cesse de se réclamer de la démocratie, alors qu’ils veillent à gouverner comme mandataires de la minorité détentrice du pouvoir économico-politique. En ignorant le peuple, et agissant s’il le faut contre le peuple.
En quoi, réside leur vulnérabilité ?
En faisant ce qu’ils ont fait, ils ont provoqué des préjudices. Il suffit alors (lorsque le vent tourne) de juger (et quand la roue tourne, il y a toujours des juges volontaires pour participer au nettoyage), que ce qu’ils ont fait, en utilisant leurs fonctions, s’analyse en des faits distincts/dépourvus (8) de liens avec leurs fonctions (9).
Et (indépendamment des immunités et protections juridictionnelles statutaires qui « tombent » alors ipso facto), leur responsabilité pécuniaire personnelle peut être engagée (comme celle des personnes qui auront joué un rôle dans la réalisation du préjudice).
Et ils sont ruinés.
Attendons…
(1) Et que l’on peut, en reprenant les écrits des personnages du Forum de Davos, résumer comme suit : les problèmes de nos sociétés sont tels qu’ils ne peuvent être solutionnés, que par un gouvernement mondial — sous direction américaine — aux mains des milliardaires (banquiers et gros industriels). Avec la disparition des Etats et des principes de fonctionnement de ces derniers (au premier rang desquels la démocratie). Avec la nécessité de tenir en main l’opinion publique pour que les populations n’aient pas l’idée, à l’occasion des élections, de mettre en place des gens qui seraient (à nouveau) des représentants. Et qui ne croiraient pas au dogme de l’installation du paradis sur Terre grâce à des techniques managériales.
On a là en réalité, même si beaucoup n’osent pas le voir, les ingrédients d’une théorie de la dictature et ceux d’une idéologie de l’asservissement des êtres humains (jusqu’à ce que les progrès du suicide, ou de l’euthanasie, permettent de mettre un terme à l’asservissement… )
(2) Un peu comme avec ces sayanim que le Mossad réveille lorsqu’il faut déclencher à l’étranger telle décision, que ces derniers, usant de leur position, par exemple, dans la politique ou les médias, arrivent à provoquer (voir le livre de Jacob Cohen, Le printemps des sayanim, à l’Harmattan). Il n’y a pas que le Mossad qui possède des agents et des relais à l’extérieur : voir, par exemple, le curriculum vitae d’un Jean Monnet.
(3) On trouve aussi dans la liste des personnalités comme Alexander De Croo, Premier ministre de Belgique depuis le 1er octobre 2020 ; SanNa Marin, Premier ministre de Finlande de 2019 à 2023 ; Jens Spahn, ministre de la Santé fédéral allemand, Annalena Baerbock ministre des Affaires étrangères depuis 2021 ; Sebastian Kurtz, chancelier autrichien de 2017 à 2019 et de 2020 à 2021, Marlène Schiappa, Justin Trudeau, Premier ministre canadien depuis le 4 novembre 2015 (voir les détails sur le site du Forum de Davos à la rubrique Young global leaders et sur Wikipédia).
(4) Voir la trajectoire idéale typique — sorte de cas d’école — d’Emmanuel Macron.
(5) Les psychologues ou les psychanalystes pourraient renseigner les politistes (mais c’est un autre sujet potentiel d’étude) sur le fait de savoir si les personnes ayant pu accéder à un poste par le jeu de la séduction (l’esprit courtisan pouvant par ailleurs être un trait de personnalité), ne présentent pas, d’aventure, un « avantage » supplémentaire : celui d’être capable, pour obtenir l’obéissance des autres (d’abord de la « populace » qui a toujours été pour les puissants un sujet de mépris et d’inquiétude) d’user à ces fins de tous les moyens possibles, y compris la force. En effet, faute de pouvoir jouer d’une autorité naturelle tirée de la compétence, du désintéressement ou du souci de l’intérêt général, la soumission à leur personne ne peut être obtenue que dans le cadre d’un rapport de force que leur poste leur permet de provoquer. Parmi les nombreux exemples susceptibles d’entrer dans l’analyse, les psychologues relèveront peut-être les ardeurs — se reporter aux interventions télévisées — mises à « emmerder » les citoyens qui doutaient de ce qui leur était raconté sur les « vaccins » et à punir les agents du service public refusant les injections ; les ordres surréalistes donnés aux citoyens — toujours sous peine de sanctions — comme se rédiger une attestation de sortie de chez soi (à l’encre et sans ratures… La consommation assis ou debout, etc.
(6) Ce qui explique possiblement que les gouvernants sont efficaces pour prendre les décisions techniques — qui ne demandent pas beaucoup d’intelligence ou de connaissances personnelles — de mise en œuvre des instructions qui leur sont données de l’extérieur. Mais ce qui donne aussi une clef d’explication au fait qu’ils paraissent — ou sont — démunis intellectuellement lorsqu’il s’agit de répondre à certains besoins de la population. Population qui constate que tout par à vau-l’eau. Etant entendu, qu’il faut remarquer, à la décharge des gouvernants, qu’ils ne peuvent pas à la fois éviter que les patients meurent en attendant aux urgences et couper les vivres aux hôpitaux publics en préparant leur privatisation (mêmes remarques pour les autres services publics dont on réduit le nombre des agents pour réduire les dépenses et/ou pour offrir à terme l’activité aux entrepreneurs privés).
(7) Quand on regarde les choses de haut, on pourrait dire que les salafistes qui veulent imposer la charia dans la vie de tous les jours, sont des enfants de chœur par rapport à ceux dont on vient de parler. Lesquels imaginent que le paradis sur Terre sera instauré lorsque les populations seront dirigées selon les vues et les techniques managériales des milliardaires.
(8) Les juges ont su le faire avec les fonctionnaires. On peut trouver des exemples concrets dans la jurisprudence citée dans notre recueil Arrêts Fondamentaux du Droit Administratif aux éditions Ellipses). Les mêmes concepts peuvent être mis en oeuvre… jusqu’au président de la République.
(9) Par ailleurs, les juges peuvent « constater » la « nullité » de certains actes (décisions, contrats). Et en tirer diverses conséquences. Pouvant affecter la situation ou le porte-monnaie de certains de ceux qui ont bénéficié de… la nullité.
Marcel-M. Monin est maître de conférences honoraire des universités.
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