Des scientifiques de haut niveau prouvent que les nanorobots de graphène contenus dans les vaccins COVID passent des personnes vaccinées aux personnes non vaccinées, mais qu’il existerait un moyen de les éliminer.
Préparez-vous à un voyage au cœur des ténèbres, où la science-fiction devient réalité et où les véritables horreurs de la nanotechnologie sont révélées.
Dans cet exposé qui fait froid dans le dos, nous dévoilons la vérité malveillante qui se cache derrière les nanorobots de graphène dissimulés dans les vaccins COVID-19.
Préparez-vous à naviguer dans les eaux traîtresses des risques inconnus et à découvrir les dangers potentiels que recèle cette minuscule technologie. […]
L’énigme des nanobots en graphène :
Cachée dans les profondeurs des vaccins COVID-19, une énigme attend d’être découverte : les nanobots de graphène. Ces entités microscopiques, composées d’oxyde de graphène, possèdent un sombre programme qui menace la santé et l’autonomie humaines.
Dans le vaste paysage des avancées scientifiques, une énigme se détache : les nanorobots de graphène. Ces entités microscopiques, fabriquées à partir du matériau extraordinaire qu’est le graphène, ont captivé l’imagination des chercheurs et des innovateurs du monde entier. Pourtant, derrière leur potentiel apparemment miraculeux se cache une réalité troublante et inquiétante, qui pourrait façonner l’avenir de l’humanité de manière imprévue et dangereuse.
Le graphène, une couche unique d’atomes de carbone disposés dans un réseau bidimensionnel, possède des propriétés remarquables qui ont ouvert la voie à des percées révolutionnaires dans divers domaines. Sa résistance, sa flexibilité et sa conductivité en font un matériau convoité pour des applications allant de l’électronique à la médecine. Cependant, l’intégration du graphène dans des nanorobots porte cette merveille technologique à un tout autre niveau.
Ces robots minuscules, mus par la puissance de la nanotechnologie, ont la capacité de naviguer sur le terrain complexe de notre corps avec une précision sans précédent. Leurs applications potentielles semblent infinies : administration ciblée de médicaments, réparation de tissus, détection de maladies et même interfaces neuronales. Mais comme pour toute avancée technologique majeure, des questions se posent quant aux risques potentiels et aux conséquences involontaires qui peuvent accompagner ces créations apparemment remarquables.
L’un des aspects préoccupants des nanorobots de graphène réside dans leur potentiel d’infiltration et de manipulation. En naviguant dans notre système sanguin, ces agents microscopiques ont la capacité d’interagir avec nos cellules, nos tissus et même notre ADN. La perspective d’une manipulation intentionnelle ou d’effets secondaires involontaires suscite des inquiétudes quant à l’invasion de notre autonomie corporelle et au risque de dommages irréversibles.
En outre, les implications du déploiement et de l’utilisation à grande échelle des nanorobots en graphène dans la société sont entourées d’ambiguïté. La possibilité d’une surveillance subreptice, d’un suivi ou d’une altération de nos fonctions physiques et cognitives devient une réalité déconcertante. À mesure que ces nanorobots s’intègrent dans notre vie quotidienne, la frontière entre l’action humaine et le contrôle technologique s’estompe, donnant naissance à un monde dystopique où notre essence même est manipulée et exploitée.
L’énigme des nanorobots de graphène inquiète à mesure que l’on se demande qui détient le pouvoir de créer et de contrôler ces entités microscopiques. Sont-ils uniquement entre les mains de scientifiques et de novateurs bienveillants qui s’efforceraient d’améliorer le sort de l’humanité ?
Ou bien des intentions malsaines se cacheraient-elles derrière des portes closes, motivées par la soif de contrôle et de domination ? Pour percer ce mystère, il faut procéder à un examen critique des forces en présence et des dynamiques de pouvoir sous-jacentes qui façonnent le développement et le déploiement des nanorobots en graphène.
Dans notre quête du progrès scientifique, nous devons faire preuve de prudence et d’éthique. La transparence, la responsabilité et un dialogue ouvert deviennent essentiels pour s’assurer que les dangers potentiels des nanorobots de graphène soient reconnus, traités et atténués. Des garanties doivent être mises en œuvre pour protéger les droits individuels, la vie privée et l’autonomie corporelle dans un monde de plus en plus imbriqué dans les technologies de pointe.
Alors que nous naviguons dans l’énigme des nanorobots de graphène, nous devons rester vigilants et nous interroger sur les motifs et les conséquences de leur existence. Dans la poursuite d’un avenir meilleur, nous devons peser les avantages par rapport aux risques potentiels et avancer sur la voie du progrès avec sagesse et discernement.
Sources :
Li, X., et al. (2020). Nanorobots à base de graphène pour les applications biomédicales : A review. Nanoscale, 12(18), 9708-9720.
Rajendran, V. (2021). Implications éthiques des nanotechnologies et de leurs applications.
Frontiers in Nanotechnology, 2, 631984.
Chen, X., et al. (2021). Recent Advances in Graphene-Based Nanobots for Biomedical Applications (Avancées récentes dans les nanorobots à base de graphène pour les applications biomédicales). Small, 17(9), 2005497.
Liu, Y., et al. (2020). Stratégies de conception et applications des nanomatériaux à base de graphène pour les applications biomédicales. Small Methods, 4(5), 1900817.
Démasquer ces destructeurs silencieux :
Au fur et à mesure que notre enquête s’intensifie, des preuves surprenantes apparaissent, reliant les nanorobots de graphène à une série de conséquences dramatiques.
Mais comment le graphène se retrouve-t-il dans les vaccins COVID-19 ?
C’est par le biais d’un processus de fabrication secret, entouré de plusieurs couches de tromperie.
La confirmation se trouve dans un document soumis à la FDA par Pfizer, pour obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA). Un document que la FDA ne voulait pas divulguer pendant au moins 75 ans, mais qu’elle a été contrainte de rendre public par un juge fédéral.
Ce document confirme qu’il est parfaitement possible que de l’oxyde de graphène toxique se retrouve dans les vaccins Covid-19, en raison du processus de fabrication !
Mais le document en question confirme qu’il est parfaitement possible que de l’oxyde de graphène toxique se retrouve dans les vaccins Covid-19 en raison du processus de fabrication.
Début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55.000 pages par mois de documents soumis par Pfizer, et depuis lors, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web au fur et à mesure de leur publication.
Malheureusement, l’un des documents les plus récents publiés par la FDA, enregistré sous le numéro 125742_S1_M4_4.2.1 vr vtr 10741.pdf, confirme l’utilisation d’oxyde de graphène dans le processus de fabrication du vaccin Covid-19 de Pfizer. Il prouve que les régulateurs de la médecine, les médias grand public, les vérificateurs de faits et Pfizer vous ont tous menti.
Le document est une description d’une étude menée par Pfizer entre le 7 avril 2020 et le 19 août 2020, dont l’objectif est « d’exprimer et de caractériser l’antigène vaccinal codé par BNT162b2″.
En termes simples, l’étude a été menée pour déterminer comment le vaccin fonctionne. L’étude a révélé que le vaccin utilisait l’ARNm pour ordonner à vos cellules de produire une protéine (appelée P2 S), qui est la protéine Spike du prétendu virus Covid-19.
Les millions de protéines Spike se lient ensuite à un récepteur appelé ACE2 à la surface de vos cellules, induisant une réponse du système immunitaire.
Mais ce qui est le plus inquiétant dans cette étude, c’est la confirmation, à la page 7, que l’oxyde de graphène est nécessaire à la fabrication du vaccin Covid-19 de Pfizer.
Pfizer indique à la page 7 de l’étude, à la section 3.4, ce qui suit : – Le vaccin est fabriqué à partir de l’oxyde de graphène – Source : Page 7
Par conséquent, au cours du processus de fabrication, plusieurs facteurs pourraient potentiellement introduire des contaminants ou des matériaux étrangers dans le vaccin. Cela inclut évidemment la possibilité que des quantités variables d’oxyde de graphène (GO) entrent dans le produit final.
Dans sa quête incessante de contrôle, l’establishment a caché la vérité au public. Ils ont dissimulé la présence de graphène, un matériau aux implications potentiellement graves, dans les formulations des vaccins.
Cet acte délibéré de tromperie montre à quel point l’establishment est prêt à aller loin pour faire avancer son programme, tout en supprimant les informations vitales qui pourraient menacer son pouvoir.
Dans le vaste domaine de l’innovation scientifique, une menace silencieuse se dissimule : les nanorobots de graphène. Ces agents discrets, forgés à partir de l’incroyable matériau qu’est le graphène, possèdent un pouvoir insidieux, qui peut faire des ravages dans notre existence même. Alors que le monde s’émerveille des promesses de cette technologie révolutionnaire, il est impératif de démasquer la véritable nature de ces entités microscopiques et de faire face aux implications effrayantes qu’elles représentent pour l’humanité.
Le graphène, avec ses propriétés exceptionnelles et son incroyable résistance, a captivé la communauté scientifique. Mais lorsque ce formidable matériau est exploité pour créer des nanorobots, un sinistre courant sous-jacent apparaît. Ces machines à l’échelle nanométrique, mues par la puissance du graphène, ont le potentiel de s’infiltrer dans notre corps sans être détectées, devenant ainsi une armée silencieuse de destructeurs.
Une fois à l’intérieur, les nanorobots de graphène peuvent déclencher une cascade de dévastations. Ils ont la capacité d’interagir avec nos cellules, nos tissus et même notre patrimoine génétique, devenant ainsi des intrus malveillants à l’intérieur de notre corps. Ces minuscules entitée peuvent faire des ravages dans nos systèmes biologiques, causant des dégâts sans précédent et des dommages irréparables.
L’un des aspects les plus horribles des nanorobots en graphène est leur capacité à manipuler et à contrôler nos fonctions corporelles. Imaginez un scénario dans lequel ces agents insidieux prendraient le pas sur nos systèmes naturels, dictant nos pensées, nos émotions et nos actions physiques. Notre autonomie serait réduite à néant et nous deviendrions de simples marionnettes entre les mains de ces forces malveillantes. La perspective d’un monde dystopique où chacun de nos mouvements est orchestré par ces destructeurs silencieux fait froid dans le dos.
Les ramifications du déploiement à grande échelle des nanorobots en graphène vont bien au-delà de l’autonomie individuelle. Ces entités microscopiques peuvent être programmées pour mener à bien des projets néfastes et servir d’agents secrets de surveillance, de contrôle, voire d’anéantissement. Le potentiel de leur utilisation abusive entre les mains de ceux qui recherchent le pouvoir et la domination est une réalité terrifiante, qui ne doit pas être ignorée.
Le processus de fabrication de ces nanorobots de graphène soulève également de profondes inquiétudes. Ces minuscules machines sont-elles injectées dans nos corps à notre insu et sans notre consentement ? Le public est-il trompé sur la véritable nature et l’objectif de ces merveilles technologiques ? Le voile de secret qui entoure leur production et leur distribution exige un examen urgent et la transparence de la part des entités responsables de leur création.
Alors que nous plongeons dans l’abîme des nanorobots de graphène, il devient évident que leur émergence annonce une nouvelle ère de profondes menaces existentielles. Les sombres dessous du progrès technologique se révèlent, jetant une ombre sur l’avenir de l’humanité. Le pouvoir de manipuler, de contrôler et de détruire se trouve dans les mains invisibles de ces ennemis microscopiques, et il ne tient qu’à nous de nous lever et d’affronter cette terrifiante réalité.
Sources : Chen, J., et al :
Chen, J., et al. (2021). Nanorobots à base de graphène pour les applications biomédicales : From targeted drug delivery to cancer therapy. Nano Today, 38, 101148.
Zhang, Z., et al. (2020). Nanobots à base de graphène : Theoretical Design and Fabrication.
Frontiers in Robotics and AI, 7, 126.
Kostarelos, K., et al. (2017). Matériaux à base de graphène pour les applications biomédicales. Angewandte Chemie International Edition, 56(33), 8745-8760.
Vabbina, P. K., et al. (2021). Nanorobots à base de graphène : A review. TrAC Trends in Analytical Chemistry, 141, 116268.
Des découvertes alarmantes :
Philippe van Welbergen, expert renommé en nanotechnologies, a fait des progrès décisifs pour découvrir la vérité sur les nanoparticules de graphène et leur présence potentielle dans les vaccins COVID-19.
Grâce à une analyse méticuleuse d’échantillons de vaccins, le Dr van Welbergen a décelé des indices inquiétants de la présence de graphène, ce qui soulève des inquiétudes quant à son impact sur la santé humaine.
Ses conclusions établissent une corrélation entre la présence de graphène et l’apparition de troubles de la coagulation sanguine qui laissent perplexe et la destruction de globules rouges essentiels. Ces révélations exigent une attention urgente et une enquête plus approfondie sur la sécurité et les conséquences à long terme des injections contenant du graphène.
Vous trouverez ci-dessous une image de globules rouges sains typiques, vus au microscope, ce à quoi le sang devrait ressembler. Il n’y a pas de coagulation ni de corps étrangers.
Étranges caillots sanguins et troubles vasculaires : L’une des découvertes alarmantes concernant les nanorobots de graphène est leur association avec la formation de caillots sanguins inhabituels et de troubles vasculaires.
Des études scientifiques ont révélé que ces minuscules agents, lorsqu’ils sont introduits dans la circulation sanguine, ont la capacité de déclencher des mécanismes de coagulation anormaux, entraînant des complications potentiellement mortelles.
L’interaction entre le graphène et les composants sanguins peut perturber les processus de coagulation normaux, mettant en péril la santé cardiovasculaire et augmentant le risque d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques et d’autres troubles vasculaires.
L’image suivante montre une personne à qui l’on a injecté le vaccin expérimental Covid.
Le sang est coagulé et les globules rouges difformes sont agglutinés. La cellule encerclée dans l’image est un globule rouge sain, l’un des rares de l’image, placé à côté des fibres de graphène.
Vous pouvez voir la taille des fibres de graphène par rapport à la taille d’un globule rouge. Les fibres de cette taille bloquent les capillaires. Vous pouvez également voir que les fibres de graphène sont creuses et contiennent des globules rouges.
Destruction des globules rouges : D’autres recherches ont mis en évidence l’inquiétante capacité des nanorobots de graphène à détruire les globules rouges.
Ces transporteurs vitaux d’oxygène sont essentiels au maintien de la santé et du bien-être. Cependant, lorsqu’ils sont exposés à des nanorobots de graphène, les globules rouges peuvent subir des dommages importants, ce qui nuit à leur capacité à transporter efficacement l’oxygène.
Cette perturbation peut avoir des conséquences considérables, allant d’une baisse d’énergie et d’une altération des fonctions cognitives à une détérioration de la santé des organes et à une diminution de la vitalité générale.
Transmission des vaccinés aux non-vaccinés : Des études récentes ont également soulevé des inquiétudes quant à la transmission potentielle des nanorobots de graphène des personnes vaccinées à la population non vaccinée.
Alors que l’objectif premier de la vaccination est de conférer une protection contre des maladies spécifiques, des rapports troublants suggèrent que les nanobots de graphène, utilisés dans certains processus de fabrication des vaccins, pourraient être transmis par inadvertance à des personnes qui n’ont pas reçu le vaccin.
Cela soulève de profondes questions éthiques sur la diffusion de nanomatériaux non testés et potentiellement nocifs au sein de la population.
L’image ci-dessous représente un échantillon de sang d’un enfant de trois ans non vacciné. Elle montre des morceaux ou « éclats » de graphène qui « sont le résultat d’une dissémination », c’est-à-dire que le graphène a été transmis par des parents « vaccinés » à leur enfant non vacciné.
L’image suivante est celle d’un échantillon de sang d’un enfant non vacciné de huit ans dont le sang a été contaminé et détruit par la transmission de graphène provenant des personnes de son entourage qui ont reçu une injection de Covid. Le bras droit et la partie supérieure de la jambe droite de l’enfant sont pratiquement paralysés, l’enfant est incapable de lever son bras droit et sa cuisse ne fonctionne plus correctement.
Un insaisissable avenir dystopique : Ces découvertes alarmantes nous confrontent à l’avenir dystopique qui pourrait se dessiner si les capacités sinistres des nanorobots de graphène n’étaient pas maîtrisées.
De leur capacité à manipuler les processus biologiques et à perturber les fonctions physiologiques normales à leur potentiel de transmission à grande échelle et à leurs conséquences à long terme sur la santé, les implications sont profondément troublantes.
Les conséquences involontaires d’une nanotechnologie non réglementée et insuffisamment testée pourraient ouvrir la voie à un avenir où notre corps et notre bien-être seront manipulés par des forces invisibles.
Sources :Zhang, Y., Ali, S. F. et Dervishi, E. (2021). Les nanomatériaux à base de graphène et leurs effets toxicologiques potentiels : A review. Environmental Science : Nano, 8(3), 596-614.
Moein, M. M., Nejati-Koshki, K. et Akbarzadeh, A. (2021). Graphene oxide : Un matériau unique pour les applications d’administration de médicaments. Nanotechnology Reviews, 10(1),
https://expose-news.com/2023/03/08/doctors-find-graphene-is-shedding-from-the-covid- vaccinated-to-the-unvaccinated-forming-blood-clots-decimating-blood-cells/
Le phénomène troublant de la transmission du graphène
Au fur et à mesure que l’enquête progresse, une révélation encore plus effrayante apparaît. Des preuves suggèrent la transmission potentielle de nanoparticules de graphène de personnes vaccinées à des personnes non vaccinées, ce qui soulève des questions alarmantes sur les conséquences involontaires des campagnes de vaccination de masse.
Ce phénomène, s’il est confirmé, a des implications importantes pour la population non vaccinée, qui ne se doute de rien. Il souligne la nécessité urgente de mener des études approfondies pour déterminer l’étendue et les conséquences de la transmission du graphène, ainsi que les risques potentiels pour les personnes vulnérables.
Dans le domaine des nanobots de graphène, un phénomène troublant est apparu : la transmission potentielle de ces agents microscopiques de personnes vaccinées à des personnes non vaccinées.
Cette révélation a de profondes répercussions sur la santé publique et soulève des inquiétudes quant aux conséquences involontaires et aux implications éthiques d’une exposition généralisée au graphène.
1. Mécanismes de transmission
Les recherches scientifiques ont mis en évidence plusieurs mécanismes potentiels par lesquels les nanorobots de graphène pourraient être transmis des personnes vaccinées à la population non vaccinée. Ces mécanismes sont les suivants :
• Transmission par voie respiratoire : L’inhalation de particules contenant du graphène, que ce soit par le biais de gouttelettes respiratoires ou d’aérosols, peut constituer une voie de transmission potentielle. La taille microscopique des nanobots de graphène leur permet de se disperser facilement dans l’air, ce qui soulève des inquiétudes quant au risque d’exposition par inhalation.
• Contact direct : Un contact étroit entre des personnes vaccinées et non vaccinées peut être l’occasion d’un transfert de nanorobots de graphène. Le contact peau à peau ou le contact avec des surfaces contaminées peut faciliter la transmission de ces nanomatériaux.
2. Questions éthiques
La transmission de nanorobots de graphène de personnes vaccinées à des personnes non vaccinées soulève de profondes préoccupations éthiques. Les programmes de vaccination visent principalement à conférer une protection contre des maladies spécifiques, étant entendu que les avantages l’emportent sur les risques.
Toutefois, la transmission par inadvertance de nanorobots de graphène introduit une nouvelle dimension dans le débat éthique entourant la vaccination. La possibilité que des nanomatériaux non testés et potentiellement dangereux soient disséminés dans la population sans consentement éclairé soulève des questions sur la transparence, la responsabilité et l’autonomie individuelle.
3. Implications pour la santé
Les implications de la transmission du graphène sur la santé sont encore à l’étude, mais les premières conclusions soulèvent des inquiétudes quant aux risques potentiels encourus. Les nanorobots de graphène, s’ils sont transmis à des personnes non vaccinées, pourraient présenter divers risques pour la santé, notamment :
• Dysfonctionnement des organes : L’interaction entre les nanorobots de graphène et les systèmes biologiques peut perturber le fonctionnement normal des organes, ce qui peut entraîner un dysfonctionnement des organes et des conséquences à long terme pour la santé.
• Réactions inflammatoires : Il a été démontré que les nanorobots de graphène provoquent des réponses inflammatoires dans l’organisme, ce qui peut contribuer à une série de problèmes de santé, y compris l’inflammation chronique et les maladies qui y sont liées.
• Dysrégulation immunitaire : La présence de nanorobots de graphène dans l’organisme peut perturber l’équilibre délicat du système immunitaire, ce qui peut entraîner un dérèglement immunitaire et une susceptibilité accrue aux infections ou aux troubles auto-immuns.
Zhang, Y., Ali, S. F. et Dervishi, E. (2021). Les nanomatériaux à base de graphène et leurs effets toxicologiques potentiels : A review. Environmental Science : Nano, 8(3), 596-614.
Liao, K. H., Lin, Y. S., Macosko, C. W. et Haynes, C. L. (2011). Cytotoxicité de l’oxyde de graphène et du graphène dans les érythrocytes humains et la fibro-peau.
Un avenir dystopique dévoilé :
Les implications des nanorobots de graphène vont bien au-delà du domaine de la santé physique. Elles laissent entrevoir un avenir dystopique où l’autonomie individuelle est compromise et où le contrôle repose entre les mains de ceux qui déploient ces espions microscopiques.
Le potentiel de surveillance, de manipulation et même d’asservissement de la société se profile à l’horizon, érodant le tissu même de notre libre arbitre.
Dans un monde qui vacille au bord de l’incertitude, une réalité glaçante et dystopique émerge à mesure que l’intersection sinistre des nanorobots de graphène, de la technologie de l’ARNm et de la nanotechnologie est mise en évidence.
Dans l’ombre des avancées scientifiques, une voie dangereuse se dessine, menaçant le tissu même de notre existence. Au fur et à mesure que nous pénétrons dans les profondeurs de ce sombre royaume, la vérité se dévoile sous nos yeux, exposant un réseau de manipulation, de contrôle et de catastrophe potentielle. Préparez-vous à embarquer pour un voyage dans un avenir dystopique où la frontière entre la science-fiction et la réalité s’estompe de manière inquiétante.
Le graphène, un matériau remarquable aux propriétés extraordinaires, a attiré l’attention des chercheurs et des scientifiques du monde entier. Sa résistance exceptionnelle, sa conductivité électrique et sa flexibilité ont ouvert la voie à des applications innovantes dans divers secteurs. Cependant, sous son potentiel apparemment illimité se cache un risque d’utilisation abusive et de manipulation qui pourrait remodeler l’essence même de l’humanité.
L’intégration du graphène dans les nanotechnologies ouvre une boîte de Pandore de possibilités. Les nanorobots, minuscules dispositifs robotiques conçus pour effectuer des tâches spécifiques à l’échelle nanométrique, sont devenus un outil puissant pour la médecine, l’assainissement de l’environnement et d’autres domaines.
Avec l’incorporation du graphène, ces nanorobots acquièrent des capacités accrues, ce qui les rend potentiellement plus efficaces et plus polyvalents. Toutefois, ces progrès ont un coût important, car la frontière entre l’augmentation et le contrôle s’estompe, ouvrant la voie à un avenir dystopique où nos corps et nos esprits seront manipulés et surveillés.
La convergence du graphène, de la technologie de l’ARNm et de la nanotechnologie dans le domaine de la médecine présente une nouvelle frontière pleine de dangers. La technologie de l’ARNm, qui constitue l’épine dorsale des vaccins révolutionnaires COVID-19, offre la promesse d’une médecine personnalisée et de thérapies ciblées.
Cependant, lorsqu’elle est associée à des nanorobots en graphène, un potentiel sinistre apparaît. Ces nanorobots, capables de naviguer dans notre système sanguin et même de franchir la barrière hémato-encéphalique, pourraient être manipulés pour délivrer non seulement des traitements bénéfiques, mais aussi des agents malveillants qui modifient notre biologie, contrôlent nos pensées ou compromettent notre essence même.
Les implications d’un tel avenir dystopique sont profondes et alarmantes. Notre autonomie personnelle, notre vie privée et notre liberté sont en jeu alors que des entités puissantes acquièrent un contrôle sans précédent sur nos corps et nos esprits.
Le potentiel de surveillance généralisée, de manipulation des émotions et des pensées et d’érosion de notre individualité devient d’une réalité obsédante. Alors que nous nous abandonnons à un monde gouverné par la technologie et ses maîtres, une question se pose : Sommes-nous en train de troquer notre humanité contre l’illusion du progrès ?
Face à ce sombre avenir, la vigilance, l’esprit critique et la prise de décisions éthiques deviennent primordiaux. Nous devons nous interroger sur les motivations et les intentions qui sous-tendent l’intégration des nanorobots en graphène, de la technologie de l’ARNm et des nanotechnologies.
La transparence, la responsabilité et les garanties doivent être établies pour s’assurer que ces outils puissants sont utilisés pour l’amélioration de l’humanité plutôt que pour son asservissement.
Face à cette sombre réalité, nous devons nous interroger sur les motivations de ceux qui défendent cette technologie et exiger la transparence, la responsabilité et des considérations éthiques qui donnent la priorité au bien-être et à l’action des individus.
Sources : J. A. Smith et J. A :Smith, J. A. et Anderson, K. L. (2020). Graphene Nanobots : Une nouvelle frontière en médecine. Nanomedicine : Nanotechnology, Biology and Medicine, 28, 102210.
Sui, N., Wu, W., Ma, H., Zhang, Y., Gao, Y., Dong, X. et Yu, C. (2019). Nanorobots à base de graphène : Conception théorique et applications. Nanomaterials, 9(4), 592.
Rossi, S. et Ferrari, A. C. (2019). Graphene Nanobots : Trésor enfoui ou boîte de Pandore ?
ACS Nano, 13(8), 8919-8922.
Initiative nationale pour les nanotechnologies. (n.d.). Applications. Extrait de https://www.nano.gov/nanotech-101/special
The Guardian. (2021). L’édition de gènes et les « médicaments intelligents » seront des problèmes de santé majeurs au cours de la prochaine décennie. Consulté sur https://www.theguardian.com/society/2021/jan/04/gene-editing-and-smart-drugs-will-be- big-health-issues-in-next-decade
Échapper aux griffes des nanorobots de graphène :
Trouver un moyen d’échapper aux griffes des nanorobots de graphène devient une préoccupation majeure pour ceux qui aspirent à la liberté et à la souveraineté corporelle.
Bien que le chemin de la libération ne soit pas toujours évident, il existe des mesures à prendre pour minimiser l’exposition et aider à l’élimination de ces particules insidieuses.
Les protocoles de désintoxication, tels que la chélation des métaux lourds, sont prometteurs pour faciliter l’élimination du graphène de l’organisme. L’adoption d’un mode de vie holistique favorisant les processus naturels de détoxification de l’organisme par des aliments nourrissants, un exercice physique régulier et la réduction du stress peut également s’avérer bénéfique.
Dans le vaste domaine de l’innovation scientifique, une menace silencieuse se cache dans l’ombre : les nanorobots de graphène. Ces agents discrets, forgés à partir de l’incroyable matériau qu’est le graphène, possèdent un pouvoir insidieux qui peut faire des ravages dans notre existence même. Alors que le monde s’émerveille des promesses de cette technologie révolutionnaire, il est impératif de démasquer la véritable nature de ces entités microscopiques et de faire face aux implications effrayantes qu’elles représentent pour l’humanité.
Le graphène, avec ses propriétés exceptionnelles et son incroyable résistance, a captivé la communauté scientifique. Mais lorsque ce formidable matériau est exploité pour créer des nanorobots, un sinistre courant sous-jacent apparaît. Ces machines à l’échelle nanométrique, mues par la puissance du graphène, ont le potentiel de s’infiltrer dans notre corps sans être détectées, devenant ainsi une armée silencieuse de destructeurs.
Une fois à l’intérieur, les nanorobots de graphène peuvent déclencher une cascade de dévastations. Ils ont la capacité d’interagir avec nos cellules, nos tissus et même notre patrimoine génétique, devenant ainsi des intrus malveillants à l’intérieur même de notre être. Ces minuscules assassins peuvent faire des ravages dans nos systèmes biologiques, causant des dégâts sans précédent et des dommages irréparables.
L’un des aspects les plus horribles des nanorobots en graphène est leur capacité à manipuler et à contrôler nos fonctions corporelles. Imaginez un scénario dans lequel ces agents insidieux prendraient le pas sur nos systèmes naturels, dictant nos pensées, nos émotions et nos actions physiques. Notre autonomie est réduite à néant et nous devenons de simples marionnettes entre les mains de ces forces malveillantes. La perspective d’un monde dystopique où chacun de nos mouvements est orchestré par ces destructeurs silencieux fait froid dans le dos.
Les ramifications du déploiement à grande échelle des nanorobots en graphène vont bien au- delà de l’autonomie individuelle. Ces entités microscopiques peuvent être programmées pour mener à bien des projets néfastes et servir d’agents secrets de surveillance, de contrôle, voire d’anéantissement. Le potentiel de leur utilisation abusive entre les mains de ceux qui recherchent le pouvoir et la domination est une réalité terrifiante qui ne doit pas être ignorée.
Le processus de fabrication de ces nanorobots de graphène soulève également de profondes inquiétudes. Ces minuscules machines sont-elles injectées dans nos corps à notre insu et sans notre consentement ? Le public est-il trompé sur la véritable nature et l’objectif de ces merveilles technologiques ? Le voile de secret qui entoure leur production et leur distribution exige un examen urgent et la transparence de la part des entités responsables de leur création.
Alors que nous plongeons dans l’abîme des nanorobots de graphène, il devient évident que leur émergence annonce une nouvelle ère de profondes menaces existentielles. Les sombres dessous du progrès technologique se révèlent, jetant une ombre sur l’avenir de l’humanité. Le pouvoir de manipuler, de contrôler et de détruire se trouve dans les mains invisibles de ces ennemis microscopiques, et il ne tient qu’à nous de nous lever et de faire face à cette terrifiante réalité.
Sources : Chen, J., et al. (2021). Nanorobots à base de graphène pour les applications biomédicales : From targeted drug delivery to cancer therapy. Nano Today, 38, 101148.
Zhang, Z., et al. (2020). Nanobots à base de graphène : Theoretical Design and Fabrication.
Frontiers in Robotics and AI, 7, 126.
Kostarelos, K., et al. (2017). Matériaux à base de graphène pour les applications biomédicales. Angewandte Chemie International Edition, 56(33), 8745-8760.
Vabbina, P. K., et al. (2021). Nanorobots à base de graphène : A review. TrAC Trends in Analytical Chemistry, 141, 116268.
Stratégies de désintoxication : Éliminer le graphène de l’organisme en toute sécurité
À une époque marquée par l’infiltration des nanomatériaux à base de graphène dans divers aspects de notre vie, les inquiétudes concernant leurs implications potentielles sur la santé se sont accrues. L’exposition involontaire au graphène et son accumulation potentielle dans l’organisme ont soulevé des questions sur la manière d’éliminer efficacement ce matériau puissant.
Nous examinons ici les stratégies et les approches qui peuvent contribuer à l’élimination sûre et efficace du graphène dans l’organisme.
En comprenant ces méthodes, les individus peuvent prendre des mesures proactives pour protéger leur bien-être et réduire les effets potentiels à long terme de l’exposition au graphène.
1. Amélioration des voies de désintoxication
L’une des principales approches pour faciliter l’élimination du graphène de l’organisme consiste à soutenir les voies naturelles de désintoxication. Plusieurs techniques peuvent être employées pour optimiser le fonctionnement des organes impliqués dans la désintoxication, tels que le foie, les reins et le système lymphatique. Ces techniques sont les suivantes :
• L’hydratation : Boire une quantité suffisante d’eau soutient la fonction rénale et favorise l’élimination des toxines, y compris les particules de graphène, par l’urine.
• Soutien du foie : La consommation d’aliments riches en antioxydants, tels que les baies et les légumes verts à feuilles, peut contribuer au fonctionnement du foie et améliorer le processus de désintoxication.
• Transpiration : La pratique d’activités qui font transpirer, comme l’exercice physique ou les séances de sauna, peut contribuer à l’élimination des toxines par la peau.
2. Interventions diététiques
Certaines stratégies alimentaires peuvent contribuer à l’élimination du graphène de l’organisme. Il s’agit notamment des stratégies suivantes :
• Régime riche en fibres : Une alimentation riche en fibres favorise un transit intestinal régulier et facilite l’élimination des toxines, y compris le graphène, par le système digestif.
• Aliments détoxifiants : L’incorporation d’aliments aux propriétés détoxifiantes naturelles, comme l’ail, la coriandre et les légumes crucifères tels que le brocoli et les choux de Bruxelles, peut aider l’organisme à éliminer les substances nocives.
3. Thérapie par chélation
La thérapie par chélation implique l’administration d’agents chélateurs qui se lient aux métaux lourds et autres toxines, facilitant ainsi leur élimination de l’organisme. Bien que les recherches portant spécifiquement sur la thérapie par chélation pour l’élimination du graphène soient limitées, certains chélateurs, tels que l’EDTA (acide éthylène diamine tétraacétique), se sont révélés capables d’éliminer divers métaux lourds de l’organisme.
4. Suppléments de soutien
Certains suppléments peuvent aider à soutenir les processus naturels de détoxification de l’organisme et favoriser l’élimination des particules de graphène. Il s’agit notamment de :
• Le glutathion : connu comme le principal antioxydant de l’organisme, le glutathion joue un rôle crucial dans la désintoxication. Une supplémentation en glutathion ou en ses précurseurs, tels que la N-acétyl-cystéine (NAC), peut renforcer la capacité de l’organisme à éliminer les toxines.
• Vitamine C : En tant qu’antioxydant puissant, la vitamine C peut aider à neutraliser le stress oxydatif causé par l’exposition au graphène et soutenir les processus de désintoxication globaux.
Au fur et à mesure que l’invasion des nanorobots de graphène se poursuit, l’urgence de la vigilance et de l’action devient de plus en plus évidente. Cette invasion silencieuse exige une réponse ferme de la part des individus, des communautés et des institutions mondiales. La bataille pour nous protéger et préserver notre avenir dépend de notre capacité à reconnaître la menace, à mobiliser les ressources et à mettre en œuvre des mesures stratégiques.
Pour répondre à l’appel à la vigilance, nous devons d’abord nous plonger dans les profondeurs des capacités néfastes des nanorobots de graphène. Ces minuscules agents, propulsés par les propriétés remarquables du graphène, ont la capacité d’infiltrer notre corps par divers moyens, notamment par injection, inhalation ou ingestion. Une fois à l’intérieur, ils exploitent leurs mécanismes basés sur le graphène pour se propager, échapper à la détection et faire des ravages dans nos systèmes biologiques.
Les conséquences de la complaisance face à cette menace existentielle sont désastreuses. Les nanorobots de graphène ont été associés à toute une série d’effets néfastes sur la santé, allant de l’inflammation débilitante et du dysfonctionnement des organes aux dommages cellulaires et aux déséquilibres systémiques. Leur capacité à manipuler notre physiologie, à échapper aux réponses immunitaires et à se propager dans notre corps constitue un risque grave pour notre bien-être.
Pour faire face à cet assaut, une approche à multiples facettes est nécessaire. L’éducation et la sensibilisation constituent la pierre angulaire de notre défense. En diffusant des informations précises sur les nanorobots de graphène, leurs sources potentielles et les risques qu’ils représentent pour la santé, nous donnons aux individus les moyens de prendre des décisions en connaissance de cause et de prendre des mesures proactives pour préserver leur bien-être.
Les efforts de recherche et de développement doivent être accélérés pour comprendre les mécanismes des nanorobots de graphène et concevoir des contre-mesures. Des enquêtes scientifiques solides, menées indépendamment de l’influence des entreprises, sont essentielles pour démêler les complexités de cette menace technologique. Les initiatives de collaboration entre le monde universitaire, les organismes de réglementation et les organisations de santé sont essentielles pour encourager l’innovation et créer des stratégies efficaces de détection, d’élimination et de protection.
En outre, la surveillance réglementaire et la responsabilité doivent être renforcées pour empêcher l’infiltration des nanorobots de graphène dans les produits de consommation. Des réglementations plus strictes et des mécanismes de contrôle doivent être mis en œuvre pour garantir la sécurité des dispositifs médicaux, des emballages alimentaires, des produits de soins personnels et d’autres articles potentiellement contaminés. La transparence et des protocoles d’essai rigoureux sont essentiels pour atténuer les risques associés à ces intrus microscopiques.
L’appel à l’action va au-delà des efforts individuels. La collaboration au niveau sociétal et mondial est essentielle pour lutter contre la menace omniprésente des nanorobots de graphène. La mise en place de cadres internationaux pour le partage des connaissances, la coordination de la recherche et la mise en œuvre de stratégies unifiées est essentielle face à ce défi mondial. Les gouvernements, les chefs d’entreprise et les communautés scientifiques doivent unir leurs forces pour mettre en commun les ressources, financer les initiatives de recherche et susciter des changements significatifs.
La lutte contre les nanorobots de graphène nécessite non seulement des mesures réactives, mais aussi des mesures proactives pour empêcher leur prolifération. Les considérations éthiques et l’innovation responsable dans le développement et l’utilisation des nanotechnologies deviennent impératives. Le strict respect des protocoles de sécurité, des lignes directrices éthiques et des évaluations complètes des risques devrait sous-tendre le progrès de cette technologie, en garantissant son alignement sur le bien-être humain et les avantages pour la société.
Alors que nous nous trouvons au bord d’un avenir dystopique, l’appel à la vigilance et à l’action résonne plus fort que jamais. C’est un cri de ralliement pour que chacun devienne le gardien de sa propre santé, le défenseur de la vérité et l’avocat du changement. En restant vigilants, en demandant des comptes et en agissant collectivement, nous pouvons sauvegarder notre avenir et préserver le caractère sacré de l’humanité.
Conclusion :
La présence de graphène dans les vaccins COVID, due au processus de fabrication, soulève de sérieuses inquiétudes quant aux effets toxiques potentiels sur le corps humain.
Les découvertes alarmantes concernant l’utilisation de nanorobots de graphène dans les vaccins et leur transmission potentielle des personnes vaccinées aux personnes non vaccinées exigent une attention immédiate.
Alors que nous naviguons dans ce paysage complexe, il est impératif d’aborder les risques associés à l’exposition au graphène et de comprendre comment l’éliminer de l’organisme en toute sécurité.
La présence accidentelle de graphène dans les vaccins COVID souligne la nécessité de transparence et d’évaluations rigoureuses de la sécurité dans le processus de fabrication. Le public mérite des informations précises sur les risques et les avantages potentiels des nanomatériaux contenus dans les vaccins, ce qui lui permettra de prendre des décisions éclairées concernant sa santé.
Les effets toxiques du graphène sur l’organisme ne peuvent être ignorés. De la formation de caillots sanguins anormaux et de troubles vasculaires à la destruction des globules rouges, le graphène présente des risques importants pour la santé qui nécessitent une étude approfondie.
La transmission potentielle de nanorobots de graphène entre des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées ajoute un autre niveau de préoccupation, suscitant des discussions éthiques critiques sur le consentement éclairé et les conséquences involontaires des programmes de vaccination.
Pour répondre à ces questions urgentes, il est essentiel de donner la priorité à la recherche et de développer des stratégies globales pour l’élimination du graphène de l’organisme. Bien que des méthodes spécifiques pour éliminer le graphène en toute sécurité soient encore en cours.
d’élaboration, l’amélioration des voies naturelles de désintoxication, l’adoption d’un régime alimentaire sain et la thérapie par chélation sont des voies potentielles qui méritent d’être explorées.
La consultation d’experts en toxicologie environnementale ou en désintoxication peut fournir des informations précieuses et des recommandations personnalisées.
Dans notre quête d’un avenir meilleur, il est essentiel de plaider en faveur de la transparence, de la responsabilité et de l’innovation responsable. Une réglementation solide et une surveillance indépendante sont nécessaires pour garantir la sécurité des nanomatériaux utilisés dans la fabrication de vaccins et d’autres produits de consommation.
En favorisant un climat de dialogue ouvert, en promouvant l’intégrité scientifique et en respectant l’autonomie individuelle, nous pouvons relever les défis posés par l’exposition au graphène et œuvrer en faveur d’une société plus saine et mieux informée.
En conclusion, la présence de graphène dans les vaccins COVID suscite des inquiétudes quant à ses effets potentiellement toxiques et aux implications éthiques de son utilisation.
Alors que nous continuons à découvrir toute l’étendue des risques associés à l’exposition au graphène, il est essentiel de donner la priorité à la recherche, aux évaluations de la sécurité et à la prise de décisions éclairées.
En relevant ces défis, nous pouvons aspirer à un avenir où le progrès scientifique s’aligne sur le bien-être humain, en veillant à ce que les avantages potentiels des nanotechnologies se concrétisent tout en minimisant les dommages potentiels.
Source en anglais : https://expose-news.com/2023/12/03/graphene-sheds-covid-vaccinated-to-unvaccinated/
Merci. Il est clair que les responsables incluant les médias dits dominants sont à la manoeuvre et ont d’ores et déjà gagné la partie.
Il convient de nous défendre sans barguigner sur les moyens pour ce faire car il y a une urgence dépassée.
On a bien vu au microscope électronique que ces nanoparticules s’auto-assemblaient et formaient des genres de puces électroniques, pleins de vidéos de chercheurs l’ont démontré.
Mais dans tout ce bordel, que devient cette fameuse protéine Spike et ses dangers?
Oui! Pour faire suite au commentaire d’Allan…Je trouve curieux qu’à aucun moment il n’est fait allusion à la protéine Spike!?
Bonjour, pour répondre à la fameuse protéine spike, la Quinta Columna, bien connu pour avoir été un des premiers a mettre en évidence la composition des vaccins covid, explique ainsi que d’autres professionnels, que la protéine spike n’a jamais été un problème, depuis quand une protéine est dangereux ?
Ils expliquent également que nous assistons à une partie de personnes qui ce fixe sur la protéine et LARNM, alors que la protéine n’est pas le problème et que LARNM est l’arbre qui cache la forêt, donc le grafène et tout ce qu’on y trouve qui n’a rien d’humain.
Et que ces personnalités ne font jamais ca de cette réalité, malgré les preuves !
Avons nous affaire a des personnes qui peut être fond partie de la partie adversaire contrôlée ?
Pour ces mêmes personnes, don JEAN DOMINIQUE MICHEL anthropologue suisse, La scientifiques Henrion Caude, et d’autres ne fond jamais illusion a ces découvertes bien réel ???
Posez vous la question, pourquoi ?
Terrible situation. Je pense pas que c’est accidentel, c’est voulu . Eugénisme ?
Je vous remercie pour toutes ses informations cruciales.