Guerres, inféodation au capital US, Europe totalitaire, vaccins obligatoires, abjection morale et spirituelle, Grand Reset, nazisme numérique : aucune différence entre les partis politiques au pouvoir ou dans l’opposition. La farce des démocraties parlementaires résumée jadis dans mon livre d’histoire (première) :
« Les programmes des deux partis ne différaient guère. Les conservateurs étaient davantage attachés aux traditions, appuyés sur l’Église anglicane. Les libéraux, de tendance plus démocratique, mettaient l’accent sur les valeurs morales. Les deux partis se préoccupaient également de réformes politiques et sociales. Le parti au pouvoir s’emparait souvent du programme de l’adversaire pour le réaliser à son profit. De toute façon, un parti ne revenait jamais sur des réformes faites par l’adversaire; bien au contraire, il cherchait à les compléter. Les électeurs n’étaient d’ailleurs pas attachés de façon durable à un parti, comme dans d’autres pays… »
Le résultat, c’est Armageddon. Autre citations :
« Le parti libéral eut à sa tête Palmerston jusqu’en 1865, date de sa mort. Caustique et brutal, il s’intéressait peu aux problèmes intérieurs, ne voulait pas entendre parler de réformes et consacrait ses soins à une politique extérieure active, souvent agressive, dont les succès le rendaient populaire. Gladstone (1809-1898), qui lui succéda, était au Contraire pacifiste, repoussait 1’emploi de la violence et savait toucher l’idéalisme bri tannique. Ses convictions religieuses et morales, son sens un peu ostentatoire de la Justice un firent de lui un ardent défenseur de toutes les grandes causes humanitaires et il était promoteur des réformes politiques (enseignement, Irlande, réforme électorale). Il était cependant moins ouvert aux questions sociales. »
« Le parti conservateur trouva en Disraeli (1804-1881) un leader prestigieux… capable de réformes politiques et sociales. D’origine juive, l’inverse de Gladstone, des débuts politiques difficiles, Disraeli se faisait le doctrinaire d’une Sorte de conservatisme actif :«Le changement est inévitable… Je suis un conservateur pour changer ce qui est mauvais, et pour garder ce qui est bon ».
Monnier-Duroselle, Histoire de première (1848-1914), p. 263.