Grâce au covidisme, les Français connaissent les liens étroits entre la Santé publique et les grands labos pharmaceutiques privés, et ont découvert toute la duplicité de la hiérarchie sanitaire, dont les noms sont sortis de l’anonymat grâce au travail des résistants à la tyrannie sur les réseaux sociaux (RS).
Le couple Lévy-Buzyn et sa dent contre le prestigieux Pr Raoult, qui perdra finalement son IHU en 2023 ;
Jérôme Salomon à la direction de la Santé qui parlait d’un virus équivalent à la « peste » en 2020 ;
le faux « social » Martin Hirsch à la tête de l’AP-HP qui remettait en cause la gratuite des soins pour les non-vaccinés ;
le Conseil scientifique bidon présidé par le triste Delfraissy et ses décisions scientifiquement infondées aussi secrètes que liberticides ;
le monsieur Vaccin français, Alain Fischer, lié à la maison Rothschild, qui préconisait de vacciner tous les enfants ;
le Conseil de l’Ordre qui a interdit aux médecins de ville de soigner au début de la grippe wuhanaise, et le carnage organisé dans les Ehpad par l’autorisation de l’euthanasie par Rivotril ;
les autorités politiques qui ont réduit le nombre de lits de réanimation pour exacerber la crise de l’hôpital public et favoriser la santé privée aux mains des multinationales (assurances, cliniques) ;
le push marketing de Karine Lacombe en faveur du traitement inutile, dangereux et hors de prix de Gilead (2 000 dollars !) ;
les ARS main dans la main avec les préfets pour forcer les Français à porter un masque inutile et dangereux, à se balader avec un pass sanitaire de taulard – le crédit social à la chinoise – et à se faire injecter une substance inutile et dangereuse dans le sang.
À peine nommés, tous les responsables de la Santé
ont déjà des casseroles au cul
Depuis, Buzyn – qui a accusé ses détracteurs d’être « antisémites » – s’est réfugiée opportunément en suisse à l’OMS de Bill Gates, l’ami du pédocriminel Eptsein, et, après une période test (les RS sont très remontés contre elle depuis son interdiction de l’hydroxychloroquine), elle a été recasée en douce à la Cour des comptes de Moscovici, l’ex-commissaire politique de l’UE.
L’ex-bru de Simone Veil a laissé sa place au ministère à Véran, un ancien du cabinet de Marisol Touraine (PS), et proche du ministre de la Santé Bachelot (UMP) lors de la première tentative de pandémie médiatique au profit du Big Pharma en 2009.
Véran, après une litanie de mensonges lors de ses points presse quotidiens, a été remplacé par Braun, l’homme qui fermera 120 services d’urgence pendant l’été 2022, et le poste sera finalement attribué, après le remaniement de juillet 2023, à Aurélien Rousseau, dont voici le pedigree.
Tout ceci sent le délit d’initié à plein nez, comme pour le couple Buzyn-Lévy, mais le gouvernement s’assoit sur la probité. L’Assurance maladie, c’est la maison Cazeneuve, alors on peut bien blanchir le conjoint !
Le secrétariat général du gouvernement (SSG) estime que Marguerite Cazeneuve, l’épouse du nouveau ministre de la Santé Aurélien Rousseau, peut rester la numéro 2 de l’Assurance maladie, moyennant un « déport » de son mari de toute décision la concernant, a indiqué vendredi l’Assurance maladie. (jeanmarcmorandini.com)
Marguerite, c’est évidemment un passage chez McKinsey en 2013, avant d’entrer, vous avez bien lu, à la tête de la Sécu, qui est la prochaine cible des mondialistes français :
En 2013 à la sortie d’HEC Paris, elle travaille 16 mois au cabinet McKinsey & Company comme consultante junior, où elle est notamment chargée d’auditer les comptes de la Sécurité sociale française.
En décembre 2014, repérée lors de cette mission, elle est recrutée au ministère des Affaires sociales et de la Santé. (…)
En mars 2021, elle est nommée directrice déléguée à la gestion et à l’organisation des soins à la Caisse nationale de l’assurance maladie. (…)
Elle coordonne le programme d’Emmanuel Macron sur la santé, l’autonomie, la protection sociale et les retraites lors de la campagne présidentielle de 2022. (Wikipédia)
La famille Cazeneuve, c’est un peu le calque d’en haut de la famille Traoré : mauvaise pioche à tous les étages. En Macronie, plus rien ne nous étonne.
Dans le même ordre d’idées que la collusion Cazeneuve-Rousseau, on apprend que le nouveau directeur général de la Santé, Christian Rabaud, a touché 33 000 euros sur 10 ans, entre autres du labo Pfizer. Ce n’est pas énorme, mais c’est symbolique. Souvent, les médecins font des « études » pour des multinationales du médicament et sont rémunérés pour ça. C’est Libé qui a sorti l’info en mai 2023.
Et la source poursuit : « au cours de la dernière décennie, l’infectiologue de 60 ans a été rémunéré plus de 33 000 euros par une dizaine de laboratoires, parmi lesquels Pfizer, Moderna ou Johnson & Johnson. Libération a calculé ce montant à partir de EurosForDocs : cet annuaire des liens d’intérêts entre les acteurs de la santé et l’industrie pharmaceutique reprend la base de données publique Transparence santé, créée par la loi du 29 décembre 2011 après le scandale du Mediator, ce coupe-faim déguisé en antidiabétique ». (lecourrier-du-soir.com)
On le voit, la Santé française n’a plus grand-chose de public, elle est fermement entre les griffes du privé, c’est-à-dire des grands groupes qui non seulement peuvent corrompre les États, mais en plus placer des hommes à eux aux postes-clés. Désormais, tout est possible : après les retraites et l’indemnité chômage, au tour de la Sécu de morfler.