Vous savez quand il y a un scandale et que l’on souhaite passer à autre chose, il est toujours utile de changer le nom du machin incriminé. Le Crédit Lyonnais est devenu le LCL, Vivendi et la faillite retentissante des années Messier est devenu Véolia pour sa partie « eaux ». France Telecom est devenue Orange, ou encore après un crash, la Germanwings deviendra Eurowings.
Pour les OGM c’est un peu la même chose.
Les OGM dans l’esprit des gens c’est dangereux et biologiquement risqué! Alors, l’Union Européenne prépare déjà le changement de nom de ces petites plantes et parle désormais de « biotechnologies ».
Ces biotechnologies c’est des NBT pour « new breeding techniques » ou nouvelles techniques génomiques en bon français dans le texte.
« Dans sa proposition présentée mercredi, la Commission suggère de diviser les NGT (ou NBT pour « new breeding techniques ») en deux catégories, en exonérant de la législation sur les OGM les NGT donnant lieu à des modifications pouvant survenir naturellement ou via un processus de sélection traditionnel (mutagénèse, cisgénèse). »
« L’exécutif européen explique que la directive OGM de 2001 n’est plus « adaptée » à ces biotechnologies permettant aux agriculteurs d’avoir accès à des semences plus résistantes en utilisant moins d’engrais ou pesticides. »
« Les écologistes estiment que ces « nouveaux OGM », qui impliquent une modification génétique, devraient rester soumis aux règles actuelles. »
Toujours la même technique itérative.
Et quel que soit le secteur ou le sujet, c’est toujours la même technique itérative qui est utilisée par le système et le pouvoir en place. Ils y vont toujours progressivement.
Après avoir inoculé des centaines de millions de gens aux vaccins ARN Messager qui ne sont jamais rien que des OGM vaccinaux, il est évident, que l’opposition populaire sera infiniment plus faible, surtout quand on expliquera aux masses incultes, que, ce que l’on a fait avec « succès » pour vaincre le Covid, nous pouvons le faire avec les plantes et les graines, pour vaincre la faim dans le monde.
Le moment choisi par l’Union Européenne pour modifier la législation actuelle sur les OGM ne doit strictement rien au hasard.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !