L’ancien président de la LKA Thuringe (Office national de la police criminelle), Uwe G. Kranz, ainsi que la militante civile Marianne Grimmenstein, ont déposé
des accusations criminelles contre les dirigeants politiques de l’Allemagne. Les allégations pèsent lourd : il s’agit de soupçons de tentative de haute trahison, de crimes contre l’humanité et de génocide. Le contexte est le soi-disant traité de l’OMS sur la pandémie et la réforme prévue du RSI, qui, selon de nombreux experts critiques, représentent une attaque contre les principes démocratiques et constitutionnels fondamentaux et les libertés civiles.
L’annonce est dirigée contre :
- Dr. Rolf Heinrich Mützenich, président du groupe parlementaire SPD, Bundestag allemand,Platz der Republik 1, 11011 Berlin
- Mme Katharina Dröge, présidente du groupe parlementaire Alliance 90/Les Verts, Bundestag allemand,Platz der Republik 1, 11011 Berlin
- Mme Britta Haßelmann, présidente du groupe parlementaire Alliance 90/Les Verts,Bundestag allemand, Platz der Republik 1, 11011 Berlin
- M. Christian Dürr, Président du groupe parlementaire FDP, Bundestag allemand, Platz der Republik1, 11011 Berlin
- M. Olaf Scholz, chancelier fédéral, Willy-Brandt-Str. 1, 10557 Berlin
- Prof. Dr. Karl Lauterbach, ministre fédéral de la Santé, Friedrichstr. 108, 10117 Berlinet tous les autres membres du gouvernement fédéral
Les dirigeants sont accusés des infractions pénales suivantes :
- §81 alinéa 1 StGB haute trahison contre le gouvernement fédéral
- Article 83(1) du Code criminel Préparation d’une entreprise hautement trahison
- § 13 alinéa 1 StGB Engagement par omission
- § 7 alinéa 1 n° 2 VStGB crimes contre l’humanité
- Section 6 Paragraphe 1 n° 3 de la CCAIL génocide
L’arrière-plan de l’annonce est le traité international prévu de l’OMS sur la pandémie (CA +) et les modifications prévues du Règlement sanitaire international (RSI), sur leurs graves conséquences pour la souveraineté, la liberté et les droits de l’homme et, enfin et surtout, l’ordre démocratique fondamental de l’Allemagne et d’autres États membres Uwe Kranz et a informé en détail ses collègues militants. L’affichage devrait désormais interpeller la justice sur le plan.
Il est urgent d’agir pour que la République fédérale d’Allemagne ne perde pas sa souveraineté et sa capacité d’action et que la population soit placée dans des conditions de vie propres à entraîner sa destruction totale ou partielle.
Il vous est demandé de commencer les activités d’enquête et de nous informer des résultats de l’enquête.De la plainte pénale contre le gouvernement allemand
Ci-dessous vous pouvez lire le communiqué de presse correspondant du MWGFD du 25 juillet 2023 :
Accusations pénales contre des politiciens de premier plan soupçonnés de tentative de haute trahison
Le membre du MWGFD, Uwe Kranz, ltd Ministerialrat a. D. et l’activiste citoyenne Marianne Grimmenstein, envisagent de porter plainte contre des personnalités politiques de premier plan de la République fédérale d’Allemagne, soupçonnées de (tentative) de haute trahison, de violations du Code international (génocide, crimes contre l’humanité) et de tous les autres le 23 juillet , 2023 faits à venir.
Le comportement du gouvernement fédéral et de la plupart des parlementaires en rapport avec le traitement parlementaire des changements prévus au Règlement sanitaire international de l’OMS et au soi-disant Traité de l’OMS sur la pandémie (CA+) a ignoré des éléments essentiels de notre ordre fondamental libéral-démocratique et a violé le principe de la démocratie, l’État de droit et, avec Regardez les compétences des pays en matière de santé, y compris le principe du fédéralisme. Si les deux instruments juridiques de l’OMS sont adoptés en mai 2024, cela constituera une menace extrême pour nos droits à la souveraineté et à la liberté.
Les autorités démocratiques compétentes ont presque complètement échoué, c’est pourquoi le pouvoir judiciaire doit intervenir.
Vous pouvez lire l’intégralité de la plainte pénale déposée par Uwe Kranz et Marianne Grimmenstein ici ou ci-dessous :