Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces trois grandes religions monothéistes que sont le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam représentent non pas un éveil spirituel des peuples auxquels elles furent destinées, un éveil qui aurait cherché à les libérer d’une soi-disant barbarie païenne, mais en réalité une continuité chronologique dont le rôle fut de préparer un terrain propice au plan multiséculaire du Nouvel Ordre Mondial.
Les peuples dépositaires de ces trois mouvements, ainsi portés à croire en leur salut par un Dieu devenu unique ne furent alors pas en mesure d’appréhender la subtilité et la puissance du carcan mental dans lequel la « parole de Dieu » allait désormais les enfermer. Afin de mieux faire avaler la pilule, les livres sacrés et les Écritures n’eurent de cesse de faire croire aux masses ignares en la bonté du Créateur, un Dieu infiniment bon et donc insurpassable dans ce domaine. En d’autres termes, le monde autour de soi devenait simplement l’œuvre de cette entité merveilleuse dont les actes de bienveillance et de charité représentent le quotidien de la vie de tout un chacun. Pendant que les peuples croulaient sous les guerres, les conflits de toutes sortes, les maladies et autres pandémies, etc., ceux-ci se devaient donc de continuer à croire en un Dieu miséricordieux et plein d’amour. Une grande subtilité de ces religions dites du Livre, c’est-à-dire inspirées par le monothéisme de l’Ancien Testament, fut d’avoir procédé à une inversion de valeurs quant à la notion même du Bien et du Mal. Ainsi, si Dieu représente le Bien absolu, la quintessence universelle de la Bonté et de l’Amour, son grand ennemi, Satan ou le Diable, devient donc le Prince des Ténèbres, quintessence universelle du Mal et de la Haine.
Satan – Sanatan – Satanama – Satyam
En effet, ce personnage de Satan qui apparaît dans les textes des religions abrahamiques et que l’on appelle plus communément le Diable, signifierait en hébreu « ennemi » ou encore « adversaire ». Jusqu’ici rien de trop surprenant. Mais dans cette langue beaucoup plus ancienne que l’hébreu que l’on appelle le sanskrit, langue indo-européenne de la famille indo-aryenne, le terme satan, par sa racine sat, se traduit par « vérité ». Satan se retrouverait encore dans plusieurs mots sanskrits tels que Sanatan (« éternel »), Satanama (« le cycle de la vie, de la mort et de la renaissance »), Satyan (« de la vérité »), etc… L’on peut donc déduire de ce qui précède que le terme sanskrit fut délibérément choisi afin de se voir attribuer une signification inverse et est devenu le Mal par excellence pour les concepteurs des religions susmentionnées qui transmirent alors à leur tour le message à des millions de fidèles avides de salut s’imprégnant alors sans le savoir des schèmes de pensée de leurs maîtres invisibles subtilement dissimulés derrière le concept du Dieu unique. Un Dieu à ce point rempli d’Amour et de Miséricorde que les milliards de futurs croyants ainsi cooptés de par le monde seront forcés à aduler… par la crainte et la terreur. Ainsi, des foules immenses nouvellement acquises à ces crédos religieux tout neufs en vinrent-elles donc à considérer, à l’image des initiateurs hébreux, la vérité comme l’ennemi pur et simple dans le monde des entités incarnées. Si dans l’Ancien Testament, Satan ne semble toutefois jamais représenter une obscure et ténébreuse force du mal, son rôle évoluera quelque peu dans le Nouveau Testament pour devenir un véritable adversaire au Royaume du Seigneur. Les termes Dieu et Diable ont en réalité la même signification, le premier étant en mesure de projeter sur le second la responsabilité de ses actes de destruction et de haine ponctuant l’histoire de l’humanité en poursuivant son travail de leurre des populations ainsi persuadées de vénérer une force authentiquement portée vers le bien d’autrui. C’est alors que, devant le fait accompli des œuvres de « bienfaisance » du Créateur, ces mêmes foules se voient poussées dans les retranchements de l’ESPOIR, autre terme magique qui sera repris à satiété en politique et garant de la poursuite de la croyance en un Dieu infiniment bon ou quelque homme d’État jugé apte à reprendre en mains la destinée humaine.
Nous évoquions plus haut la notion de continuation dans l’établissement de ces grands mouvements monothéistes. En effet, en mettant l’accent sur le matérialisme et l’accaparement de richesses, le Judaïsme chercha à asseoir par-là même le pouvoir matériel et la domination des premiers destinataires de cette trilogie monothéiste notamment avec l’émergence du terme de « Peuple Élu ».
Envahissement calculé de l’Occident
Et puis l’arrivée d’un Messie avec le Christianisme favorisa l’éclosion d’universalisme et de pardon, un abattement des frontières avant l’heure, le tout savamment rehaussé de ce sentiment de culpabilité toujours à l’œuvre aujourd’hui dans cette bonne vieille Europe ainsi bien démunie face à l’envahissement calculé de hordes massives de migrants en provenance surtout d’Afrique et du Proche- et Moyen-Orient. Dans son mouvement de poussée en terre européenne, l’Islam, le 3ème courant monothéiste, voit ainsi les rouages de sa mécanique conquérante bien huilés par un sentiment de résignation et d’abandon de leurs valeurs identitaires d’une grande partie des populations blanches ne sachant plus où donner de la tête afin de recouvrer quelque jouissance pleine et entière de leurs droits de citoyens.
Entités immatérielles
Comme on peut le constater, un tel plan englobant une période de l’histoire aussi longue ne peut émaner d’êtres mortels, c’est-à-dire handicapés par une espérance de vie trop courte, aussi brillants fussent-ils. Une vision multiséculaire aussi nette ne peut provenir que d’êtres non matériels, entités désincarnées, créatures de l’Astral ou forces extérieures aux trois dimensions de la matière. L’argument selon lequel les officiants de la kabbale et autres grands initiés seraient en contact avec ces mêmes forces invisibles par l’entremise de rituels sataniques et magiques reste en revanche tout à fait valide. L’utilisation de sang humain, feu liquide et véhicule de l’âme, dans de tels rituels et accompagnée de diverses formules incantatoires, doit fournir à ces entités immatérielles un point d’ancrage dans la matérialité de ce monde comme il est d’ailleurs stipulé dans les « Tablettes d’Émeraude de Thot » (qui furent traduites par Claude D. Dodgin alias Maurice Doréal).
Kabbale juive La Kabbale, avec un K, est donc devenue entre autres la science ésotérique ouvrant aux Hébreux les portes du pouvoir et de la richesse dans un plan englobant, non pas une période avoisinant la longévité humaine moyenne, mais “des siècles et des siècles”, pour reprendre la fin du célèbre Notre-Père.
Cabale chrétienne
La Cabale chrétienne, avec un C, courant inauguré par le théologien et humaniste juif italien Jean Pic de la Mirandole (répertorié à la JVL), consistait à adapter en particulier au Nouveau Testament les techniques d’interprétation kabbalistique.
Qabbale islamique
Et il y eut bien-sûr la Qabbale islamique, avec un Q, agissant selon les mêmes principes.
Aspect diabolique des ÉcrituresPour en revenir au Christianisme, si la religion du Christ a contribué grandement à l’édification de la société occidentale par l’intronisation de jolis principes de morale et de conduite, il ne faut pas pour autant faire fi de l’époque où la religion de ce même Christ causa des ravages immenses aux quatre coins du monde au nom d’un Dieu plein d’amour. Dans le contexte de cet ouvrage, on se rappellera par exemple les actions « exemplaires » du roi Charlemagne en terre des Saxons, personnage qui fut réhabilité par nul autre que le chef du IIIe Reich. Plus généralement, cet aspect diabolique des Écritures avait été mis en lumière notamment par l’auteur québécois Normand Rousseau dans trois essais, La Bible immorale, La Bible démasquée et « Le Coran démasqué » (les deux premiers étant parus aux éditions Louise Courteau, le 3ème étant toujours en quête d’un éditeur potentiel – cela est-il curieux dans le contexte actuel ?). Quant à ce fatras d’histoires d’acceptation de l’autre, de pardon ou d’humilité, on est en pleine mesure aujourd’hui d’en apprécier les dégâts sur les populations autochtones d’Europe incapables pour la plupart de riposter autrement que passivement contre la menace islamique.
Holocauste hindou
Il ne serait peut-être pas inutile de rappeler ici au lecteur un des plus grands holocaustes de l’histoire, celui du peuple hindou, où plusieurs dizaines de millions d’entre eux furent décimés par les Musulmans sur une période s’échelonnant du 8e siècle au 16e siècle. Tout au long de son ouvrage « La Paix la plus terrifiante de l’histoire« , l’auteur Austin J. App n’a de cesse de répéter ce bon vieux précepte chrétien selon lequel il faut aimer et faire du bien à ses ennemis autant qu’à ses amis de même qu’il ne faut pas faire à ses ennemis ce que l’on ne désire pas qu’ils nous fassent. On peut arguer qu’avec de telles paraboles, l’ennemi reste assuré de pouvoir continuer de danser sur ses deux pieds. On se souviendra à cet égard du 13e épisode de la série « Les Envahisseurs », « La Tornade », où le prêtre, au moment de tirer sur deux envahisseurs, devient paralysé lorsqu’un tel précepte lui est rappelé.
La « bonté » du Créateur
Ce même auteur, cette fois dans « La tragédie des Allemands des Sudètes » (p.92), s’interrogeait pourtant sur la « bonté » du Créateur : “Le fait que, dans son insondable sagesse, notre Dieu de miséricorde ait permis qu’un peuple aussi profondément chrétien, et, d’une manière générale, aussi honnête et vertueux, qui n’a d’égal au monde que les Irlandais, soit exposé à ce qui fut probablement le pire holocauste de notre temps – torture, viol, assassinat et expulsions – restera un divin mystère, comme le fait que Dieu le Père ait permis que son Fils unique meure sur la Croix pour racheter les péchés de toute l’humanité.”
Pourquoi ne pas plutôt expliquer ce “divin mystère” ainsi : « Si le bon Dieu permet autant d’horreurs, c’est peut-être qu’il n’est pas si bon que çà » ? Est-il alors loisible de se demander à quoi pourrait justement ressembler un tel monde si ce Créateur « infiniment miséricordieux » n’était ne serait-ce qu’un chouia moins bon ?
Il ne faut justement pas se fier au caractère antisémite de la Bible et du Coran ; nous l’avons vu, les Juifs ont aussi cette particularité incroyable de dénoncer ce qu’ils ont eux-mêmes créé et par la même occasion, de se pointer du doigt dans la responsabilité des maux de la terre, ce qui tend à donner un caractère authentique aux Saintes Écritures afin de faire passer tous les versets ou sourates pour pareillement authentiques, les croyants et fidèles étant dès lors convaincus de la sainteté de leur religion et appliquant alors sans réflexion aucune les préceptes et dogmes « divins » de leurs crédos respectifs.
Antisémitisme
Nous l’avons encore souligné, l’antisémitisme est une arme terrible, dès lors qu’il reste entre des mains juives et la Bible et le Coran ne font pas exception à la règle. Par exemple, la dépossession de biens matériels telle que prônée par le Christianisme ne servirait-elle pas dans cette optique la cause du Juif accumulateur de richesses ainsi libre de récupérer ce que le Chrétien estimera nuisible à son salut ? Aussi, la prohibition de l’usure ou vente de biens avec intérêts telle que mentionnée dans la Bible et le Coran permit aux Juifs d’en être par conséquent les seuls jouisseurs, renforçant d’autant leur pouvoir et domination inaugurés par la première grande religion du Livre.
Chevaliers usuriers
Un exemple éclatant nous est donné par les Chevaliers Templiers devenus riches et puissants justement grâce à la pratique de cette même usure, ce que s’efforçait de montrer un ouvrage rare de 1938 de Warren Weston intitulé « Father of Lies » (disponible en format électronique sur le site balderexlibris.com). Quand on connaît l’origine juive de cette congrégation dissimulée sous le masque de l’Ordre catholique fondé censément pour la défense des lieux saints, la formidable banque internationale qu’elle devint en cours de route ne devrait plus surprendre outre mesure. Un pouvoir ayant atteint une telle ampleur à l’heure actuelle que la sacro-sainte caste de Juda est en passe de réaliser ce plan multiséculaire devant se substituer définitivement à l’Ordre Ancien avec l’imposition d’un micro-implant aux fins de traçage électronique de tout le cheptel mondial.
Albert Pike
Le grand ponte mondial de la Franc-Maçonnerie, le Juif américain Albert Pike [1809-1891], fils de Ben et Sarah (Andrews) Pike, déclare dans son œuvre phare, « Morals & Dogma« , que la Franc-maçonnerie est un produit de la kabbale. Cela rejoint donc les paroles du Rabbin Isaac Wise qui relèvera plus tard la concordance totale entre la F.˙.M.˙. et les rites juifs.
Source : De La Chesnaie Sigismond, « Malô Lilâk » (Tome II)
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