Hidalgo et sa clique de bien-pensants socialistes peuvent se moquer du vilain Staline, qui écartait régulièrement de la capitale (vers la Sibérie ou le Kazakhstan) les éléments asociaux qui donnaient une mauvaise image du communisme. On apprend que les autorités nationales, qui n’ont pas été critiquées par le staff Paris 2024, ont décidé de déplacer les SDF et migrants locaux en Bretagne pendant la durée des JO !
On n’est ni un 1er avril ni dans la journée de la Vanne. On est bien à l’Hidalgoland, cette enclave du Macronland, avec ses lois LGBT spéciales et ses habitants étranges qui vous insultent en vous frôlant à vélo. Pourtant, on croyait les bobos intersexes gentils, antiracistes… Attention, dégager les SDF en corner à l’Ouest, c’est pas du racisme, c’est une mesure d’hygiène sociale. Mais n’accablons pas Hidalgo, qui a déjà fort à faire avec les pillages de tombes…
Notre anti-hidalguisme primaire nous a aveuglés : c’est bien la Macronie qui est à l’origine de cette idée de regroupement à l’Ouest.
Las, la Bretagne n’était déjà pas très contente de se faire fourrer des migrants par milliers dans le gosier, et voilà que Paris, la capitale honnie, surtout depuis les événements des années 1790 [1], lui envoie ses superpauvres !
Comme toujours, la Bretagne renâcle (alors qu’elle vote Macron en masse), et notamment Bruz, une ville de 18.000 habitants. Son maire argue que l’emplacement prévu (par le préfet) pour les asociaux est « indigne », car il est « pollué par des hydrocarbures et des métaux lourds ». Argument foireux : les SDF parigots vivent bien en deçà de ces normes d’hygiène, donc ça leur ira très bien. Les Bruziens devraient faire la fête aux nouveaux arrivants, comme pour les migrants footballeurs d’Argy.
On rappelle toutefois à la Macronie, à Hidalgo, aux préfets, et surtout aux maires punis par cette décision hiérarchique, que l’édile de Saint-Brévin a connu quelques petits pépins depuis qu’il a voulu accueillir son paquet de migrants. Et que depuis, des croix celtiques fleurissent ici et là, dans le paysage… Le journal L’Humanité s’en émeut :
Notes
[1] Clisson, située sur la rive gauche de la Loire, fait partie de la Vendée militaire.