Union Européene, G20, et OMS, Indentité numérique, mandat numérique international des vaccins, surveillance généralisée, coercition, le tout qui avance masqué, on a des bruits comme quoi un véritable coup d’État mondial serait sur le point de se concrétiser, et ce ne sont pas ces nouvelles confirmations de l’OMS qui balayeront nos inquiétudes.
Lorsque le traité sera approuvé, ce sera la fin… ils pourront vous IMPOSER une ‘vaccination’ (ni vous, ni votre pays n’aura rien à dire), etc. surveiller les gens, combattre les lanceurs d’alerte…
Bref tout est bien ficelé, et comme ce sont de gros vicelard, les éléments importants ne sont pas dans le ‘traité’ à proprement parler, mais dans les amendements,
Macron et consort son complice, on l’a vu il appelle de ses vœux cette réforme de l’OMS
Manquer un jour, c’est manquer beaucoup. Abonnez-vous à l’actualité du jour de The Defender. C’est gratuit.
Deux comités de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se sont récemment réunis pour discuter des amendements proposés au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) et du « projet zéro » d’un nouveau « traité sur les pandémies ».
Les médias se sont principalement intéressés au traité sur les pandémies, l’administration Biden ayant récemment réaffirmé son engagement à le finaliser et l’Associated Press (AP) ayant indiqué que le traité ne menacerait pas la souveraineté nationale.
Toutefois, certains experts estiment que le public devrait s’inquiéter davantage des amendements proposés au RSI – qui ont plus de chances d’être adoptés – car ils donneraient à l’OMS un pouvoir sans précédent sur les gouvernements nationaux et l’emporteraient sur la souveraineté nationale.
Les experts affirment également qu’il existe des différences évidentes entre les amendements proposés au RSI et le traité sur les pandémies, même si les deux sont souvent confondus dans le discours public.
Les versions précédentes du RSI sont en vigueur depuis 1969. La version actuelle a été promulguée pour la première fois en 2005, à la suite de l’épidémie de SRAS-CoV-1.
Les amendements au RSI représentent un « danger clair et présent ».
Selon l’auteur et chercheur James Roguski, « il semble que presque tout le monde ait du mal à faire la distinction entre les amendements proposés au Règlement sanitaire international et le « traité sur les pandémies » proposé ».
M. Roguski, qui a effectué des recherches approfondies sur les deux propositions, a récemment écrit sur son blog que le « projet zéro » du traité sur la pandémie « existe bel et bien », mais qu’il s’agit également d’un « leurre habilement conçu » destiné à détourner l’attention des propositions d’amendements au RSI.
Il a qualifié ces amendements – que le groupe de travail de l’OMS sur les amendements au Règlement sanitaire international (2005) a examinés du 20 au 24 février – de « danger clair et présent ».
Selon Reclaim the Net, l’OMS, par le biais des amendements proposés au RSI, « cherche à étendre considérablement ses pouvoirs de surveillance », notamment en exigeant des États qu’ils mettent en place des « réseaux de surveillance collaboratifs ».
L’agence de santé non élue souhaite également exercer une influence accrue sur le ciblage de la « désinformation » et de la « mésinformation » par le biais des amendements proposés.
Selon le Brownstone Institute, les amendements proposés « élargiraient les définitions des pandémies [et] des urgences sanitaires, y compris l’introduction d’un « potentiel » de préjudice plutôt qu’un préjudice réel » et modifieraient les recommandations du RSI pour les États « de « non contraignantes » à obligatoires ».
Le directeur général de l’OMS serait habilité à « déclarer des situations d’urgence de manière indépendante » et accorderait à l’OMS « le contrôle de certaines ressources nationales ».
Au total, 307 amendements au RSI ont été proposés. Sur son blog, M. Roguski a dressé une liste des dix principales raisons de s’opposer aux amendements. Ces raisons sont les suivantes
– Faire passer l’OMS « d’une organisation consultative […] à un organe directeur dont les proclamations seraient juridiquement contraignantes ». (Articles 1 et 42)
– Supprimer la formulation préservant « le respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes ». (Article 3)
– Donner à l’OMS « le pouvoir d’exiger des examens médicaux, la preuve d’une prophylaxie, la preuve d’un vaccin et de mettre en œuvre la recherche des contacts, la quarantaine et le traitement ». (Article 18)
– Instaurer « un système de certificats de santé mondiaux sous forme numérique ou papier » (plusieurs articles et annexes).
– L’habilitation du comité d’urgence de l’OMS « à passer outre les décisions prises par les nations souveraines en matière de mesures sanitaires ». (Article 43)
Ils veulent vraiment le certificat de santé numérique mondial
Dans une interview accordée au Defender, M. Roguski a souligné la forte pression exercée en faveur des certificats de santé mondiaux dans les propositions soumises pour les amendements au RSI.
Selon lui, les amendements proposés au RSI indiquent que les « pouvoirs en place » cherchent activement à « normaliser » la mise en œuvre d’un certificat de santé numérique mondial.
« Ils veulent vraiment le certificat de santé numérique mondial », a déclaré M. Roguski. Ils veulent vraiment le certificat mondial de santé numérique », a déclaré M. Roguski. « Cela vient principalement de l’Union européenne ».
La République tchèque, au nom de l’UE, a proposé à l’article 23, concernant les « mesures sanitaires à l’arrivée et au départ », des formulaires de localisation des passagers (PLF) « contenant des informations sur la destination du voyageur », de préférence sous forme numérique, « à des fins de recherche des contacts ».
Ils ont également proposé que l’Assemblée de la santé de l’OMS « puisse adopter, en coopération avec l’Organisation de l’aviation civile internationale [OACI] […] et d’autres organisations compétentes, les exigences auxquelles les documents sous forme numérique ou papier doivent satisfaire en ce qui concerne l’interopérabilité des plates-formes de technologie de l’information, les exigences techniques des documents de santé, ainsi que les garanties visant à réduire le risque d’abus et de falsification ».
L’OMS cite l’OACI comme une « partie prenante » officiellement reconnue.
En ce qui concerne l’article 36, relatif aux « certificats de vaccination ou d’autres prophylaxies », la République tchèque et l’UE ont proposé des documents non seulement pour la vaccination, mais aussi des « certificats d’essai et de récupération » dans les cas « où un vaccin ou une prophylaxie n’a pas encore été mis à disposition pour une maladie pour laquelle une urgence de santé publique de portée internationale [PHEIC] a été déclarée ».
Une PHEIC est le nom officiel d’une déclaration de pandémie mondiale par l’OMS. Le RSI (2005) la définit comme « un événement extraordinaire dont il est établi qu’il constitue un risque pour la santé publique d’autres États du fait de la propagation internationale de la maladie et qu’il pourrait nécessiter une réponse internationale coordonnée ».
La Fédération de Russie, à l’article 23, propose des documents contenant « des informations sur l’itinéraire du voyageur afin de vérifier s’il a voyagé dans ou à proximité d’une zone affectée ou s’il a eu d’autres contacts possibles avec l’infection ou la contamination avant son arrivée, ainsi qu’un examen des documents sanitaires du voyageur s’ils sont exigés en vertu du présent règlement ».
Selon la proposition de la Russie, cela inclut « les documents contenant des informations pour un test de laboratoire sous forme numérique ou physique, y compris les documents contenant des informations sur un test de laboratoire pour un agent pathogène et/ou des informations sur la vaccination contre une maladie, y compris ceux fournis à la demande de l’État partie sous forme numérique/électronique ».
L’Uruguay, au nom de l’Argentine, du Paraguay et du Brésil, a proposé « des mécanismes permettant d’élaborer et d’appliquer une déclaration sur la santé des voyageurs en cas d’urgence de santé publique de portée internationale […] afin de fournir de meilleures informations sur l’itinéraire de voyage, les symptômes éventuels qui pourraient se manifester ou les mesures de prévention qui ont été respectées ».
Et l’Indonésie, concernant l’article 31 relatif aux « mesures sanitaires concernant l’entrée des voyageurs », a proposé une réglementation qui n’empêcherait pas les États « d’exiger un examen médical, une vaccination ou une autre prophylaxie ou la preuve d’une vaccination ou d’une autre prophylaxie … lorsque cela est nécessaire pour déterminer s’il existe un risque pour la santé publique » et comme condition d’entrée pour les voyageurs.
En novembre 2022, lors du G20, le ministre indonésien de la Santé, Budi Gunadi Sadikin, a plaidé en faveur d’un « certificat de santé numérique international reconnu par l’OMS » pour permettre au public de « se déplacer« .
Selon M. Roguski, d’autres « amendements vraiment mauvais » ont été proposés :
– L’abandon de la souveraineté à l’OMS, proposé par les États-Unis, le Bangladesh, la Malaisie et les nations de la région africaine.
– Donner à l’OMS le contrôle des « moyens de production du complexe industriel d’urgence de l’hôpital pharmaceutique », proposé par le Bangladesh, la Malaisie et les nations de la région africaine.
– Habiliter le directeur général et les directeurs régionaux de l’OMS à « déclarer des alertes sanitaires intermédiaires, des urgences de santé publique de portée régionale … et des urgences de santé publique de portée internationale de leur seule autorité s’ils déterminent que des événements ont simplement le « potentiel » de provoquer une urgence réelle ». – Cette mesure a été proposée par les États-Unis, l’Union européenne, l’Inde, la Nouvelle-Zélande et la Suisse.
– Autoriser l’OMS à « s’immiscer dans l’élaboration de la législation de pays souverains », comme le propose le Bangladesh.
– Autoriser l’OMS à « censurer l’information », proposition de l’Inde et de la Fédération de Russie.
Le Dr Meryl Nass, membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defense, a écrit que les amendements proposés au RSI permettraient « des déclarations et des renouvellements sans données » des PHEIC.
Se référant au renouvellement par l’OMS, le 9 février, de la PHEIC pour la variole du singe, Mme Nass a déclaré : « C’est un excellent exemple de la façon dont nous serons soumis aux caprices du directeur général de l’OMS dans le cadre du RSI si l’accord proposé [traité sur les pandémies] ou les amendements au RSI sont adoptés ».
Le 27 janvier, l’OMS a décidé de maintenir sa déclaration de PHEIC pour le COVID-19.
Les États-Unis réaffirment leur engagement en faveur d’un « traité sur les pandémies », mais s’agit-il d’un faux-fuyant ?
Après la réunion d’une semaine du groupe de travail sur les amendements au RSI (2005), l’organe international de négociation d’un instrument de l’OMS sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie (INB4) s’est réuni du 27 février au 3 mars pour poursuivre les négociations sur l’adoption d’un traité sur les pandémies.
Selon Reclaim the Net, le « traité international sur les pandémies imposera des conditions juridiquement contraignantes à ses 194 États membres … s’il est finalisé ».
Selon le rapport :
L’article 18 demande aux États membres de l’OMS de « renforcer les systèmes de surveillance multisectoriels, coordonnés, interopérables et intégrés ». One Health est un système que l’OMS s’efforce de développer depuis la pandémie de COVID. Il utilise les liens entre « la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes » pour « créer de nouvelles méthodes de surveillance et de lutte contre les maladies ».
L’article 11 demande aux États membres de renforcer leurs fonctions de surveillance pour « l’investigation et le contrôle des épidémies par le biais de systèmes interopérables d’alerte précoce et d’alerte ».
Le « projet zéro » définit une « pandémie » comme suit :
« La propagation mondiale d’un agent pathogène ou d’une variante qui infecte des populations humaines dont l’immunité est limitée ou inexistante, grâce à une transmissibilité soutenue et élevée d’une personne à l’autre, qui submerge les systèmes de santé par une morbidité grave et une mortalité élevée, et qui provoque des perturbations sociales et économiques, le tout nécessitant une collaboration et une coordination nationales et mondiales efficaces pour le contrôler.
Le traité inviterait les États membres à « accélérer le processus d’approbation et d’homologation des produits liés à la pandémie pour un usage d’urgence en temps opportun » et à partager les ressources et les financements pendant les pandémies.
Selon un communiqué publié le 27 février par le département d’État américain et la principale négociatrice des États-Unis pour le traité sur la pandémie, Pamela Hamamoto – qui était auparavant banquière d’affaires chez Goldman Sachs et Merrill Lynch -, les États-Unis restent déterminés à parvenir à un « accord sur la pandémie » :
« Les États-Unis se sont engagés à ce que l’accord sur la pandémie constitue un élément majeur de l’architecture mondiale de la santé pour les générations à venir. Un engagement, des aspirations et des responsabilités partagés amélioreront considérablement notre système de prévention, de préparation et de réponse aux futures urgences pandémiques.
« Nous recherchons un accord sur la pandémie qui renforce les capacités, réduise les menaces de pandémie posées par les zoonoses, permette des réponses rapides et plus équitables et établisse un financement, une gouvernance et une responsabilité durables afin de rompre le cycle de la panique et de la négligence.
« Enfin, l’accord sur la pandémie doit résister à l’épreuve du temps tout en s’appuyant sur les leçons tirées des pandémies précédentes. En créant des solutions flexibles et adaptables, en définissant des engagements clairs en ce qui concerne les déclencheurs et les responsabilités, et en renforçant la coordination et les capacités, nous pouvons ensemble construire une architecture mondiale de la santé plus solide pour tous.
L’AP a récemment « vérifié les faits » en affirmant que le traité sur la pandémie mettait en péril la souveraineté nationale. Selon l’AP, le traité « n’annule pas la capacité d’un pays à adopter des politiques individuelles en matière de pandémie » et « n’annule pas les politiques nationales ou de santé d’un pays ».
Il n’y aurait « aucune conséquence juridique pour les signataires qui n’adhéreraient pas à l’accord ou en violeraient les termes ».
Le « fact-check » de l’AP ne mentionne pas les amendements proposés au RSI.
M. Roguski a cité cet exemple comme une illustration de l’amalgame fréquent entre le traité sur les pandémies et les amendements au RSI. Selon lui, les termes qui érodent la souveraineté nationale ne se trouvent pas dans le traité sur la pandémie, mais dans les amendements au RSI.
« Tout le monde fait attention au traité », a déclaré M. Roguski. Tout le monde fait attention au traité », a déclaré M. Roguski. « Ils sont en train de croiser les détails qui se trouvent dans les amendements, de les attribuer au traité et de se faire « vérifier les faits » au plus haut point ».
Les négociations se dérouleront probablement en secret
M. Roguski a déclaré au Défenseur qu’il avait suivi les travaux de l’OMS au cours des deux dernières semaines et que « ce qui s’est passé n’était qu’un gros ramassis de rien du tout » – bien que pour chacune des deux séries de réunions, seules 4 des 10 sessions aient été retransmises sur le web.
« Certaines formulations ont donné l’impression que l’on était passé d’une simple collecte de propositions à une véritable négociation », a déclaré M. Roguski. « J’aimerais pouvoir vous dire avec une certitude absolue qu’une telle décision a été prise, mais ils restent très prudents à ce sujet.
« S’ils entament des négociations officielles, elles seront secrètes », a ajouté M. Roguski. Il a ajouté que des désaccords semblaient couver sous la surface lors des dernières réunions.
Par exemple, lors de la quatrième session des discussions sur le traité relatif à la pandémie, la semaine dernière, Precious Matsoso, LLM, directrice générale du ministère sud-africain de la santé et coprésidente de la réunion, a déclaré : « Nous sommes confrontés à des circonstances extraordinaires :
« Nous sommes confrontés à des circonstances extraordinaires. Et ces circonstances extraordinaires vont nous obliger à faire des choses extraordinaires.
« J’aimerais vraiment vous demander à tous de travailler en collaboration et je voudrais également vous encourager à ne pas attendre cette réunion formelle. Essayez, dans la mesure du possible, de vous inviter les uns les autres à prendre un café, d’aplanir les difficultés et de faire le vide, de sorte que, lorsque nous nous retrouverons, nous ayons aplani certaines des zones difficiles ».
Selon M. Roguski, cela peut s’expliquer par le fait que les pays qui participent aux négociations sur les amendements au RSI et sur le traité relatif à la pandémie » souhaitent obtenir ce qu’ils veulent et c’est ce qu’ils obtiennent « , ce qui témoigne d’un manque potentiel de volonté de parvenir à des compromis.
C’est également ce que laisse entendre la déclaration du 27 février du département d’État américain :
« Il y a beaucoup de choses à construire dans ce projet en ce qui concerne ces priorités. Cependant, le projet est déséquilibré en faveur de la réponse au détriment de la prévention et de la préparation.
« Bien que nous devions éviter de dupliquer les éléments substantiels contenus dans le RSI, tels que la surveillance et les alertes, nous devons discuter de la meilleure façon d’aborder la prévention et la préparation à la pandémie ici. Ces efforts devraient se soutenir mutuellement et se compléter.
Selon M. Roguski, certains amendements au RSI ont été adoptés le 27 mai 2022, lors de la 75e Assemblée mondiale de la santé, mais n’ont guère retenu l’attention.
« Il convient de signaler que des amendements ont été adoptés l’année dernière et que personne n’a prêté attention au fait que personne n’a signé quoi que ce soit », a-t-il déclaré.
Le plus grand coup d’État de l’histoire mondiale
M. Roguski a décrit les négociateurs des amendements au RSI et du traité sur les pandémies comme des « bureaucrates non élus, non responsables et largement inconnus » et a déclaré qu' »il s’est avéré assez difficile d’identifier qui représente les différentes nations membres lors des réunions organisées par l’OMS ».
Il a ajouté que ces bureaucrates « conspirent pour remettre la souveraineté de leurs nations à l’Organisation mondiale de la santé dans le cadre du plus grand coup d’État mondial de l’histoire ».
M. Roguski a expliqué au Defender que s’il est de notoriété publique que M. Hamamoto est le principal négociateur américain pour le traité sur les pandémies, il a été plus difficile d’identifier les négociateurs américains pour les amendements au RSI. Il les a finalement identifiés comme étant Mara Burr, JD, LLM et Colin McIff.
Mme Burr est directrice des relations multilatérales au sein du bureau des affaires mondiales du secrétariat du ministère américain de la santé et des services sociaux (HHS) et a travaillé auparavant pour la Food and Drug Administration.
M. McIff est directeur adjoint du bureau des affaires mondiales du ministère de la santé et des services sociaux.
« Ces personnes devraient être appelées à expliquer où se trouve la période de consultation publique, qui est obligatoire dans le manuel des affaires étrangères des États-Unis », a déclaré M. Roguski.
Francis Boyle, J.D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois, auteur de plusieurs manuels de droit international et expert en armes biologiques qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, a déclaré au Defender que les amendements au RSI ou le traité sur les pandémies, une fois finalisés, contourneraient le Congrès des États-Unis.
Qualifiant la situation de « grave », M. Boyle a déclaré :
« Il s’agissait d’une résolution conjointe du Congrès et de la Chambre des représentants :
« C’est une résolution conjointe du Congrès américain qui a permis aux États-Unis de devenir membre de l’OMS et partie à la Constitution de l’OMS. Les articles 19 et 21 de la Constitution de l’OMS confèrent déjà à l’Assemblée mondiale de la santé le pouvoir d’adopter et d’approuver des traités et des règlements.
« Dans le Global Pandemic Prevention and Biosecurity Act de 2022, le Congrès américain, alors sous le contrôle des démocrates et du président Biden, a déjà ouvert la voie pour que soit les amendements, soit le traité, soit les deux, soient promulgués dans le droit national américain dès leur simple signature par le représentant de Biden à l’Assemblée mondiale de la santé, qui se réunira la prochaine fois en mai 2023. »
« La seule alternative dont disposent les Américains pour empêcher les amendements au RSI ou le traité sur les pandémies de devenir une loi nationale, a déclaré M. Boyle, est de se retirer immédiatement de l’OMS et de mettre fin immédiatement à tout financement de l’OMS.
L’INB tiendra sa cinquième réunion du 3 au 6 avril, tandis que le WGIHR tiendra sa troisième réunion du 17 au 21 avril. La 76e assemblée mondiale de la santé de l’OMS, au cours de laquelle les amendements au RSI ou le traité sur les pandémies pourraient être adoptés, se tiendra du 21 au 30 mai.
Toutefois, les décisions finales pourraient ne pas être prises avant 2024, car d’autres réunions des groupes de travail sur les amendements au RSI et sur le traité sur la pandémie sont prévues jusqu’au printemps 2024 et jusqu’à la 77e Assemblée mondiale de la santé en mai de la même année.
Michael Nevradakis, docteur en médecine
Michael Nevradakis, Ph.D., basé à Athènes, en Grèce, est reporter principal pour The Defender et fait partie de la rotation des animateurs de l’émission « Good Morning CHD » de CHD.TV.
Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement les nouvelles et les mises à jour de Robert F. Kennedy, Jr. et de Children’s Health Defense. CHD prévoit de nombreuses stratégies, y compris juridiques, afin de défendre la santé de nos enfants et d’obtenir justice pour ceux qui ont déjà été blessés. Votre soutien est essentiel à la réussite de la mission de CHD.
Source : Michael Nevradakis, Ph.D., The Defender
Via :