Entretien exclusif avec Georg Della Pietra, naturopathe suisse initiateur du réseau mondial Safe Blood pour des transfusions sans risques liés aux effets des vaccins ARNm
Georg Della Pietra, naturopathe suisse, est le co-fondateur du réseau mondial Safe Blood, dont le but est de mettre en relation receveurs et donneurs pour des transfusions sanguines exemptes de risques liés aux effets délétères des vaccins à ARN-messager.
Covidhub l’a reçu pour un entretien exclusif. Il explique la genèse du projet, son parcours, les dons et les transfusions… et comment éviter celles-ci. Il évoque aussi l’influence des milieux qui ont réussi à supprimer le choix du donneur sans changer aucune loi.
Qui est Georg Della Pietra?
Georg Della Pietra avait remis son cabinet de naturopathe en 2000, après avoir accompagné durant deux décennies des patients souffrant de troubles post-vaccinaux. S’ensuivent quelques années en Thaïlande, pour des centres de remises en forme qu’il crée et gère. Également musicien, il revient en Suisse pour se consacrer à sa passion.
Puis arrive le Covid. Choqué par l’état dégradé, observé au microscope, du sang des vaccinés qui lui fait penser à du sang de « patient atteint d’un cancer au dernier stade », constatant qu’il n’est plus possible de choisir librement son donneur, il décide avec un informaticien de créer Safe Blood, un réseau de mise en relation entre receveurs et donneurs non-vaccinés.
- « C’est très difficile à dire… pour être honnête, les médias grand public, malgré toutes ces preuves dans le monde entier, pensent toujours que nous sommes un peu fous. »
Déni des risques
Selon le naturopathe, les autorités auraient reçu « des tonnes de rapports » montrant que ces injections sont dangereuses, avec des morts suspectes, souvent causées par des caillots sanguins qui se forment dans le cœur. Il évoque le cas d’un bébé transfusé aux États-Unis dont le caillot s’étendait de l’aorte à la jambe.
Pourtant le courant dominant continue à dire: « Oh, c’est une coïncidence. » Ou bien: « Désolé, c’est impossible à prouver. » Il déplore l’absence d’approche ouverte et nuancée, consistant par exemple à dire: « Ce n’est pas encore démontré à 100%, mais il y a une forte probabilité vu les indices à disposition.
Liberté de choix en danger
Un phénomène inquiétant observé par le fondateur est la disparition d’une pratique pourtant courante il y a peu sous nos latitudes: le libre choix du donneur. Il y a quelques années en Suisse ou en Allemagne, il était possible de faire prélever du sang sur des membres de sa famille ou choisir son donneur.
Cette pratique a été abandonnée, sans changement législatif, sans explication médicale. Elle a encore cours par exemple aux États-Unis, en Amérique du Sud et en Afrique. La recommandation étant l’auto-transfusion, quand elle est possible, qui permet d’éviter 80 % des prélèvements.
Georg Della Pietra est d’ailleurs d’avis que « la meilleure transfusion est celle qui aura pu être évitée » car elles sont souvent problématiques.
Partir à l’étranger
Les Européens souhaitant pouvoir choisir leur donneur sont donc contraints de s’inscrire dans une clinique en Afrique du Nord. Une solution en Serbie est en préparation, avec la création d’une banque de sang. Safe Blood travaille avec des partenaires mais n’a pas l’intention de gérer une telle banque.
Le succès du réseau est difficilement mesurable car les membres peuvent entrer en contact sans intervention de Safe Blood. Georg Della Pietra reçoit chaque jour 20 à 30 courriels de membres suite à des transfusions réussies.
L’ombre de puissants groupes
Selon son fondateur, Safe Blood permet aux 10 ou 20% de citoyens éveillés sur ces questions de risques sanitaires de « leur assurer un endroit où ils peuvent vivre en toute sécurité ».
Il dénonce la division de la société qui a été véhiculée par les politiciens et « les autres ». Il parle de ces milliardaires qui « pensent qu’ils doivent contrôler le monde », peut-être en pensant que c’est une mission, peut-être en ayant une bonne intention.
Son optimisme s’est étiolé au fil des années, constatant « que tout l’argent est de leur côté » et qu’ils peuvent faire passer leur projet, influençant l’OMS et les gouvernements.
- « Je n’ai pas l’intention de passer mon temps à dire au monde entier ce qui se passe, parce que le monde a choisi de l’ignorer. »
Attitude positive et ouverte
Safe Blood compte parmi ses membres des vaccinés. Ils ne peuvent pas donner mais ils peuvent être receveurs.
Georg Della Pietra ne souhaite juger personne. Très confiant dans le développement du réseau, il conclut: « Pour moi, c’est très important que nous ayons une attitude positive. Alors tout devient possible ».
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