Un dialogue pétillant sur les craquements du vieux monde… et les opportunités pour faire émerger un futur désirable.
Nous avons le plaisir de vous partager notre 4ème production « maison » issue de nos « Rencontres de Cara » du 13 octobre dernier à Genève : « Regards croisés sur la crise en cours », un dialogue passionnant entre Jean-Dominique Michel, expert en santé publique, et Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste.
Cette semaine, le Professeur Perronne a donné une conférence au Parlement Européen, invité par des eurodéputés de plusieurs partis, dans le cadre de la Commission spéciale covid. Nous avons réalisé le compte-rendu de son intervention, que nous vous invitons à lire, si vous n’avez pas le temps de la visionner.
Hier 22 octobre, l’association Bon Sens, dont il est vice-président, a révélé que le Professeur Perronne remporte l’ensemble de ses procédures devant la Chambre Disciplinaire de première instance d’Ile de France de l’ordre des médecins. Celle-ci lui a donné raison et a reconnu qu’au regard de sa qualité d’expert, il avait l’obligation de s’exprimer. Un tournant décisif dans la gestion de cette crise.
Mauvaise nouvelle de la semaine : L’Agence européenne des médicaments (EMA) vient de recommander l’utilisation de l’injection anti-covid Pfizer pour les enfants de 6 mois à 4 ans et Moderna chez les enfants de 6 mois à 5 ans. Ces recommandations ont été transmises à la Commission européenne, qui décidera des règles finalement applicables dans tous les Etats membres de l’UE. Et ce, alors que le nombre d’effets indésirables graves, dont la mort, explose dans les pays les plus vaccinés contre le covid. Plusieurs pays comme la Suède ont levé la recommandation de vaccination pour les moins de 18 ans, le Danemark pour les moins de 50 ans. Le Royaume-Uni a carrément interdit la vaccination des moins de 12 ans.
Aux Etats-Unis, un groupe d’experts du CDC (Centres de contrôle des maladies) recommande d’ajouter les injections Covid au calendrier de vaccination pour les enfants et les adultes !
Nous venons d’apprendre que le nouveau premier ministre de l’Alberta au Canada s’excuse pour les personnes licenciées pour avoir refusé le vaccin covid et leur propose de retrouver leur poste s’ils le souhaitent, en ajoutant qu’elle examinera les aspects juridiques de l’amnistie.
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La rédaction de Covidhub.ch
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