Le blog de Steve Kirsch (en anglais) est une mine d’or. Entrepreneur à succès, ingénieur diplômé du prestigieux MIT, l’auteur a été choqué depuis le début de la « crise sanitaire » par les violations crasses de la science ayant présidé aux choix des autorités de santé à travers le monde. Dans un nouvel article (traduit ici […]Older Newer
Le blog de Steve Kirsch (en anglais) est une mine d’or. Entrepreneur à succès, ingénieur diplômé du prestigieux MIT, l’auteur a été choqué depuis le début de la « crise sanitaire » par les violations crasses de la science ayant présidé aux choix des autorités de santé à travers le monde.
Dans un nouvel article (traduit ici par mes soins), il revient sur l’interdiction du remède dont l’efficacité est la mieux avérée à la faveur d’une nouvelle étude, elle aussi concluante. Remède combattu par l’OMS et les bien mal nommées « autorités de santé »
Rappelons qu’à Genève, le Conseiller d’État « en charge de la santé », Mauro Poggia, a fait envoyer une circulaire aux médecins leur interdisant de prescrire ce remède efficace, ce qui constitue une prise de pouvoir du politique sur la liberté de prescrire des médecins sans précédent dans notre histoire et qu’on n’a jamais vu que sous des dictatures. Avec un nombre de morts évitables à la clé qu’il faudra bien calculer, localement comme globalement.
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Une nouvelle étude montre que l’Ivermectine peut réduire le risque de décès de 92 %
Mais l’OMS, le NIH et la FDA recommandent tous d’éviter de l’utiliser.
Steve Kirsch, 22 juillet
Une nouvelle étude observationnelle prospective de grande envergure portant sur 88.000 personnes montre que l’Ivermectine est efficace ; plus la dose est élevée, plus elle est efficace.
Pour accéder à l’étude sur Research Gate : cliquer ici.
Voici un extrait d’un des tableaux sur les taux d’hospitalisation dans un groupe apparié de 283 patients :
Il y a eu 0 hospitalisation due au COVID dans le groupe des utilisateurs réguliers d’Ivermectine, contre 10 dans le groupe des utilisateurs irréguliers.
Comment l’OMS réagit-elle ?
Ils l’ignorent bien sûr !
L’OMS n’a pas mis à jour sa directive de traitement pour l’Ivermectine depuis plus d’un an. Les nouvelles études sont ignorées car elles sont établies sur des groupes de patients relativement petits.
Celle-ci était en revanche plus importante puisqu’elle concernait la population entière d’une petite ville (les 223’128 habitants d’Itajaí).
Cette étude ne justifie pas à leurs yeux la modification de leurs directives de traitement. L’ivermectine est à éviter, sauf dans le cadre d’un essai clinique :
Données de l’étude sur l’ivermectine
Voici les données des études sur l’ivermectine provenant de c19early.com. Voyez-vous un schéma récurrent dans les études ? Une mortalité plus faible dans 46 études. Pouvez-vous citer un médicament pour lequel 46 études ont montré un bénéfice en termes de mortalité et qui s’est avéré par la suite dangereux pour les patients ? Bien sûr que non ! Le niveau de preuve est extraordinairement cohérent.
Voici les données sur lesquelles l’OMS s’est appuyée pour décider de ne pas utiliser l’ivermectine :
Si on vous proposait un tel médicament, la plupart des gens le prendraient. Mais l’OMS dit en gros que vous devez courir dans la direction opposée !
Voici ce que l’OMS recommande de prendre à la place (Molnupiravir, Sotrovimab) :
Voici les données pour deux des médicaments qu’ils recommandent, le Molnupiravir.
et le sotrovimab :
Voici comment les trois médicaments se comparent (l’Ivermectine par rapport aux deux médicaments recommandés par l’OMS) :
Vous voyez ? Ils recommandent les médicaments les moins efficaces et vous disent de ne pas utiliser le médicament le plus efficace.
Le NIH recommande d’éviter l’Ivermectine
La FDA recommande d’éviter l’ivermectine.
Résumé
L’OMS recommande de prendre les médicaments les moins efficaces et d’éviter de prendre l’un des médicaments les plus efficaces.
C’est ainsi que fonctionne la science de nos jours.
Commentaire du traducteur :
Ce situation proprement scandaleuse donne raison hélas à l’alerte publiée par le British Medical Journal en novembre 2020 :
La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.
La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.
Et tous celles et ceux qui, dans des positions d’autorités, ont cautionné une dérive aussi monstrueuse se sont rendus coupables, que cela leur plaise ou non, d’homicide – au moins par négligence d’assumer honnêtement et courageusement leurs responsabilités.
Cet article permet aussi d’identifier une substance naturelle très efficace, méconnue dans le cadre du combat contre le covid : L’huile de Nigelle (Nigella Sativa) !