Les autorités ne respectent même plus les dates de péremption.
Au début, on nous a expliqué que l’ARNm était très fragile et qu’il fallait le conserver à des températures inférieures à -80 °C puis les super-congélateurs ont disparu, ce qui n’a pas empêché le gouvernement de dépenser des millions d’euros pour s’en procurer.
Aujourd’hui on apprend que la date de péremption peut être dépassée de plusieurs mois contrairement à toute pratique et usage pharmaceutiques depuis des décennies. C’est encore une fois la démonstration factuelle et limpide de la gigantesque mascarade covidiste.
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