Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.
« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.
L’initiative un eu un effet boomerang.
Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :
“Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”
Dr Jay Bhattacharya
Les 9 exemples de désinformation sont :
- Sur dénombrement de la COVID-19
- Remise en question de l’immunité naturelle
- Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
- Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
- Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
- Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
- Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
- Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
- L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable
Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».
Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.
« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande[1]
28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire
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Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.
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“Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern
À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?
À quand une AFP objective ?
En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).[2]
En voici malheureusement un nouvel exemple.
Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.
Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.
N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain[3]. Lourd, mais très instructif travail :
“Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.
Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.
Les mensonges révélés sont stupéfiants.
Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :
que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».
Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]
Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»
[4]
Mais aussi entre autres découvertes :
“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).
Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.
Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.
Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.
Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !
Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.
Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.
Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.
Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !
Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus[5], 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.
Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.
Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.
Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux[6] ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !
Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.
Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.
Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.
Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.
Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier
Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.
Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %[7][8][9] sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.
Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.
La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron
Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.
Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !
Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves
Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees[10] qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.
Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.
Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.
Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !
L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.
Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :
Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :
Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?
Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.
Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.
Dr Gérard Delépine
Notes :
[1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be)
[3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?
[4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide
[6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.
[9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php
[10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/
La source originale de cet article est Mondialisation.ca