Le terme de programmation serait plus approprié que celui de prédiction qui implique que ceux qui l’annoncent n’y ont pas part. Les événements montrent qu’il n’y a de place ni pour le hasard ni pour le caractère prédictif d’une épidémie non déclarée à l’époque (2021) où le rapport de NTI (Nuclear Threat Initiative) a été rédigé. La question qui se pose est la suivante : fabriquent-ils les épidémies pour imposer un mode de gouvernance mondial ? Dans les faits, plusieurs éléments valident ce postulat.
Le courrier des Stratèges a récemment évoqué la variole du singe en posant la question d’une épidémie inattendue et potentiellement créée. Des cas ont été signalés en Espagne, au Portugal, en Angleterre, en France, en Allemagne, au Canada, aux Etats unis, en Suède, aux Pays-Bas, au Royaume Uni… auprès de personnes qui n’ont pas voyagé en zone endémique, ce qui pose évidemment la question de la traçabilité de cette nouvelle épidémie, d’autant que les cas notifiés ne semblent pas avoir été en lien avec d’autres personnes infectées par la variole du singe.
« Tous les cas récents, à l’exception d’un seul, n’ont pas d’antécédents de voyage pertinents dans des régions où la variole du singe est endémique », a déclaré Hans Kluge, le directeur Europe de l’OMS.
Ce même responsable indique que l’Europe devrait s’attendre à une vague de cas de variole du singe dans les mois à venir : « Alors que nous entrons dans la saison estivale… avec des rassemblements de masse, des festivals et des fêtes, je crains que la transmission [de la variole du singe] ne s’accélère ».
Gates et NTI avaient prédit une épidémie de variole
Pourrait-il s’agir d’une attaque terroriste ? C’est bien ce que Bill Gates avait annoncé en novembre 2021 tout en précisant que « Les épidémies causées par le bioterrorisme pourraient être pires que celles qui se produisent naturellement ». Bill Gates a l’art de développer un discours toujours bienveillant et toujours au profit de son business, qu’il s’agisse d’informatique (auparavant) ou de vaccination. Il n’a pas oublié d’inciter à la vaccination contre la variole, maladie éradiquée dans les années 80.
C’est Nuclear Threat Initiative – par ailleurs financé par la fondation Gates – qui a produit en 2021 un rapport sur les catastrophes biologiques et bactériologiques indiquant qu’une épidémie de variole du singe pouvait surgir le 15 mai 2022 (cf. image ci-dessous issue du rapport). Cette grande précision dénoncée par le média Nouveau Monde serait la preuve d’une planification et d’une propagation volontaire d’une nouvelle épidémie. Le but : faire peur aux citoyens et les amener à la vaccination.
Comment penser que ce raisonnement serait complotiste ? Il est d’abord improbable de prévoir ce type d’épidémie, pas davantage que la CIA dans son rapport de 2009 qui faisait état d’une épidémie à venir du type SRAS au départ de Wuhan. Ce rapport initialement issu du National Intelligence Council (NIC) a suscité de nombreuses suspicions justifiées sur les origines du Sars-Cov 2. Le déni et la manipulation des données par l’Etat major de l’armée américaine sur les effets indésirables de la vaccination contre le Sars Cov-2, renforce l’idée d’une guerre bactériologique contre les populations pour favoriser la mise en place d’une gouvernance mondiale au profit d’une caste dominante (incluant les chefs d’Etat) dont le but est de priver les Etats de leur souveraineté.
Sommes-nous repartis pour une nouvelle épidémie ?
Seule la presse subventionnée continue de publier une désinformation devenue chronique. C’est le cas sur le contenu des sérums vaccinaux contre Covid qui contiennent du graphène à l’encontre des annonces « fact checking » et c’est le cas avec cette nouvelle épidémie de variole du singe.
Les auteurs de Covid 19 : la grande réinitialisation (Klaus Schwab, fondateur, et Thierry Malleret, qui en a été le directeur) évoquent l’épidémie : « elle représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ». En réalité les auteurs font la promotion du monde unique, celui qu’ils construisent et gouvernent comme le dénonce Philippe Herlin à propos de ce livre : « Le programme est tout tracé, il faut confiner et attendre pieusement le vaccin ».
La vaccination est une finalité intermédiaire (destinée à injecter du matériel nanotechnologique), non un moyen. Dans tous les scenarios catastrophes sur les agents pathogènes prédits par ces gens, on ne trouve quasiment que des maladies à vaccin. Le but est de vacciner. Pour « graphéniser » les populations et inoculer des nanotechnologies découvertes dans les produits injectés ?
Le dernier variant du Sars-Cov 2 – Omicron – est moins pathogène, certains Etats ont levé les restrictions sanitaires, c’est une perte de contrôle pour la caste. L’apparition de nouvelles épidémies est d’abord un enjeu stratégique. Le vaccin contre la variole du singe a déjà été acheté par les Etats-Unis à une société de biotechnologie danoise, Bavarian Nordic, spécialisée sur la recherche de vaccins à ARNm contre la variole, Ebola ou encore le Sars-Cov 2. Le vaccin Jynneos est un vaccin atténué mais cela ne signifie pas qu’il soit dispensé de graphène et de nanotechnologies. Pourquoi est-il fabriqué par une société de biotechnologies ?
La variole du singe provoque « une létalité de 2 à 3%, inférieure à celle de la variole humaine (30%) sauf s’ils ont introduit un gain de fonction, mais 3%, c’est 100 fois plus que le Covid », rappelle le Pr Péronne. Et beaucoup plus si l’on considère que les décès par comorbidité ont été abusivement enregistrés comme décès du Covid. Comme lui – en tant que spécialiste des maladies infectieuses et de l‘Afrique – il me semble douteux d’observer une apparition soudaine et simultanée des cas aux 4 coins de la planète sans traçabilité d’un départ épidémique. L’essentiel est – semble-t-il – de disposer des vaccins et de vacciner, ce qui ne devrait pas tarder à être proposé. En annonçant les épidémies à l’avance, les protagonistes espèrent gagner la confiance des citoyens, qui, naïvement et par manque de connaissances, pensent que si Gates, la CIA ou l’OMS savent anticiper les épidémies c’est qu’ils sont compétents. Grave erreur…
Source : Le Courrier des Stratèges