Pablo Campra, docteur en chimie et diplômé en biologie, rattaché à l’université d’Alméria, a réalisé une étude indépendante sur la composition des vaccins – sans lien avec son université. Sa double compétence disciplinaire et le matériel dont il dispose lui ont permis de mettre en évidence dans les sérums un ensemble d’éléments qui correspond à un réseau de nanosenseurs sans fil.
Cet article a pour but d’expliquer ce que l’on découvre dans les vaccins. Par « on » il faut entendre notamment le Dr Pablo Campra, attaché universitaire, même si d’autres chercheurs chimistes et/ou biologistes ont également confirmé ce que Campra annonce dans un document mis en ligne fin novembre 2021 : la présence de nano capteurs, de nano routeurs ou de nano antennes.
La méthode utilisée par Campra repose sur une observation de différents échantillons de vaccins à ARNm (Pfizer-BioNtech, Janssen) contre le Covid. Les sérums sont choisis aléatoirement et l’observation microscopique avec champ clair ou sombre exploite des grossissements entre 100x et 600x.
Des nanotechnologies dans Pfizer et Janssen
La plupart de ces objets apparaissent après séchage à température ambiante des échantillons, et restent « enfermés » dans l’hydrogel présent dans les sérums. Voici quelques images issues de ce rapport :
Si l’article précédemment cité ne donne pas d’indications sur la caractérisation des objets. D’autres équipes ou chercheurs ont investigué différents travaux pour la reconnaissance des objets observés. L’intervention de chimistes, mais aussi de cristallographistes, de spécialistes de nano télécommunication ou de nano et bio-informatique ont été nécessaires. Les recherches se poursuivent pour comprendre la mise en réseau des différentes unités et leur finalité dans les vaccins.
Campra indique qu’à sa connaissance – et à la mienne également – aucun de ces objets, qu’il s’agisse de cristaux minéraux ou de nanotechnologies – n’ont été signalés par les fabricants dans la composition des vaccins. En réalité – comme expliqué dans un article précédent, la convention d’Oviedo n’a pas légiféré sur l’obligation d’indiquer dans les produits médicaux la présence de nanotechnologies, il existe donc un vide juridique caractérisé à l’avantage de l’industrie pharmaceutique et au détriment des citoyens invités à se faire vacciner sans réelle connaissance des contenus qui leur sont injectés. Le principe en santé publique d’un consentement libre et éclairé est ainsi bafoué.
Quelle est la fonction des nanotechnologies dans les vaccins contre Covid ?
Alors que viennent faire des nano routeurs dans un vaccin ? Lors d’un récent article, je me suis fait insulter par un lecteur en qualifiant la vaccination contre Covid de projet transhumaniste, je me suis dit que je manquais de pédagogie. La présence d’oxyde de graphène dans les vaccins avait déjà été abordée au Courrier des Stratèges et le rôle de ce matériau est important pour le fonctionnement de ce qui s’apparente à un réseau de nano-communications sans fil intracorporel.
Il existe un lien étroit entre les points quantique de graphène observés dans les vaccins et les nano routeurs ou nano capteurs qui participent à un nanoréseau de communication. Ces dispositifs existent dans la littérature scientifique ; Akyildiz et al. montrent que l’interconnexion de centaines ou de milliers de nanocapteurs et de nanoactionneurs, situés à l’intérieur du corps humain est acquise. Un nano réseau introduit par la vaccination est présent dans tout le corps, y compris dans le cerveau. Un autre scientifique, Mik Andersen, a réalisé un travail remarquable, son blog est régulièrement attaqué et indisponible, voici ce qu’il dit à propos du nano réseau introduit par les vaccins : « Il permet de contrôler en temps réel les neurotransmetteurs responsables de la transmission des informations dans le système nerveux, qui sont donc responsables des stimuli, du désir, du plaisir, de l’apprentissage, du conditionnement, de la dépendance, de la douleur, des sentiments, de l’inhibition, entre autres ».
Un système de contrôle des individus ? Est-ce bien raisonnable diront certains ? Cela est réaliste d’un point de vue technologique, un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la commission européenne ou encore par Google est en mesure de suivre 7 milliards d’individus vaccinés et « équipés » de nanotechnologies.
Quant à la recherche vaccinale, la prise de parole en pleine crise du Covid, le 3 juin 2020, au cours du Healthy Life Forum à St Petersbourg par Natalia Bieloziorova, directrice du Centre de recherche et de développement de l’Institut des vaccins de Saint-Pétersbourg, en dit long à propos du développement des plateformes de vaccination (en Russie) : « Les vaccins, dans le Centre de l’Institut de recherche de Saint-Pétersbourg, sont développés sur la base de trois plateformes : d’ADN modifié, de protéines recombinées et de nanotechnologies ». Concernant la modification de l’ADN avec les vaccins contre Covid, nous renvoyons le lecteur ici.