Nous avons évoqué la semaine dernière les travaux de la Haute Autorité de Santé sur la vaccination des enfants par les pharmaciens et les infirmiers. Très en verve, la Haute Autorité de Santé est à la manoeuvre pour assembler peu à peu les pièces du puzzle de la vaccination obligatoire qui se prépare : elle travaille parallèlement à la mise en place d’un « système d’aide à la décision » en matière vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’un flicage numérique des personnes pour s’assurer qu’elles sont ou non vaccinées. L’expression pudique de « système d’aide à la décision » signifie simplement que l’assurance maladie pourra identifier les personnes qui ne sont pas vaccinées et, au besoin, les sanctionner.
La vaccination obligatoire, y compris celle des enfants, avance à pas de loup, mais elle avance continument, et selon toute vraisemblance inexorablement dans l’esprit de ses promoteurs. Et, dans cette affaire, ce sont les idolatres de la vaccination qui sont aux manettes, avec la Haute Autorité de Santé en poste de commandement avancé, chargé de piloter les opérations “militaires” dans cette guerre imaginaire contre les virus.
Vers un système d’aide à la décision vaccinale
A la demande de la Direction Générale de la Santé, la HAS prépare donc le déploiement d’une nouvelle arme dans l’arsenal de la guerre vaccinale : un “système d’aide à la décision”, qui sera capable d’utiliser les données stockées dans le futur carnet de santé électronique et de faire la chasse aux récalcitrants.
Voici dans quels termes ce dispositif est décrit :
La mise en place d’un carnet de vaccination électronique (CVE) national est une des « mesures vaccination » du Plan Priorité Prévention 2018-2022.
Pour la DGS, les objectifs du CVE national sont :
1. « De partager les données relatives à la vaccination : le carnet de vaccination partagé doit être tenu à jour au fur et à mesure des rendez-vous vaccinaux depuis la naissance. Ce carnet de vaccination est alimenté par une base de données vaccinales dit référentiel vaccin.
2. De permettre l’accès aux recommandations vaccinales à jour et personnalisées pour l’usager (via des Apps santé par exemple), et contextualisées afin de constituer une aide à la décision des professionnels de santé (via leur logiciel métier et dans le cours de la consultation).
3. De fournir des informations relatives à la couverture vaccinale à partir des données extraites des dossiers patients (tenus à jour par les professionnels de santé), permettant la production d’indicateurs de santé publique à visée de pilotage. »
Le lecteur retiendra l’usage de tous ces mots qui en disent long sur le monde d’après : “carnet de vaccination électronique”, “partager les données relatives à la vaccination”, “depuis la naissance”, “base de données vaccinales”, “recommandations vaccinales à jour et personnalisées”, “indicateurs de santé publique à visée de pilotage”.
L’idéologie du vaccin est en guerre, et ses adeptes ont décidé de mettre nos libertés en coupe réglée par une utilisation intensive d’Internet et des outils de flicage numérique.
Au demeurant, la Haute Autorité de Santé décrit de façon limpide les objectifs de cette course à l’armement digital :
Pour le ministère de la santé, « la mise en place d’un carnet de vaccination électronique pourrait constituer un des leviers d’amélioration de la couverture vaccinale de la population française dans la mesure où il permettrait un meilleur suivi de la vaccination aussi bien au niveau individuel qu’au niveau national. »
Fliquer numériquement pour imposer les vaccins : un projet à la chinoise comme les amis du totalitarisme les aiment.
Big Pharma a pris le contrôle de nos vies
Ce genre de note de cadrage, dont les résultats sont attendus, dans le cas qui nous occupe, pour la fin de l’année 2022, en dit long sur le pouvoir d’influence acquis par l’industrie du vaccin structurée par Bill Gates depuis 10 ans.
Dans la pratique, la décision publique est désormais phagocytée par l’industrie de santé, qui impose ses calendriers longs destinés à dégager la rentabilité nécessaire pour produire des vaccins et rémunérer des actionnaires avaricieux.
Nous avons évoqué hier le poids déjà acquis par Mc Kinsey, allié solide de Pfizer et de Gates, dans l’entourage d’Elisabeth Borne.
Progressivement, on comprend que cette clique a trouvé suffisamment d’idiots utiles dans les rouages de l’Etat pour porter avec zèle la croyance millénariste selon laquelle nous vacciner tous sauvera l’humanité.
Résister au projet de flicage numérique par Big Pharma
Face à cette montée en puissance de la religion (et de l’intolérance) vaccinale, les résistants ont intérêt à se pencher attentivement sur la question de l’objection de conscience vaccinale, que l’association Rester Libre promeut, et sur laquelle des actions concrètes seront prochainement réactivées.
En outre, il est important de refuser autant que vous le pouvez d’entrer dans le dispositif de “mon espace santé”, cheval de Troie de ce flicage numérique.
Nous vous tiendrons bien entendu informés des actions de résistance à mener contre ces projets totalitaires.
Source : Le Courrier des Stratèges