Nous avons beaucoup de retours à SosMaires sur la délinquance actuelle de certains élus en infraction avec l’article 121-3 duCode Pénal voire 223-1.
A ne pas vouloir se soucier de la résilience alimentaire locale de leurs administrés, ils commettent des fautes lourdes, des délits.
Lorsqu’on enquête comme le fait En Toute Franchise Fédération, on découvre des ententes illicites. Ces connivences locales pénalement condamnables sont au détriment de la sécurité des administrés.
VOTRE RÉSILIENCE EST UN DROIT. SURTOUT VOUS AVEZ LE DROIT DE LA CRÉER.
Les fêtes de la résilience, comme il existait la fête de la moisson et autres fêtes de récolte(s) sont un moyen de sortir des griffes de la corruption qui met les citoyens en danger.
CULTIVER ENSEMBLE, RÉCOLTER ENSEMBLE, CUISINER ENSEMBLE, CÉLÉBRER ENSEMBLE, C’EST LA CLÉ.
Les esprits corrompus, hors la loi, ne peuvent rien contre vos sourires lors de ces fêtes.
La loi, c’est la force des humains conscients. Quand plus grand nombre se fout de la loi, les corrompus la manipulent au gré de leur intérêts personnels. Quand la force du nombre veut que la loi s’applique la corruption est mise hors d’état de nuire (trop d’électeurs comprennent…)
ALORS FAÎTES DES FÊTES DE LA RÉSILIENCE, CRÉEZ LES, LES PLANS COMMUNAUX DE SAUVEGARDE NE SONT PAS À JOUR, LES DICRIM ENCORE MOINS, LA SENSIBILISATION DES POPULATIONS AUX CRISES MAJEURS EST INEXISTANTE, VOS FÊTES DE LA RÉSILIENCE SONT DONC UN ÉTAT DE NÉCESSITÉ.
Source : Sosmaires
Voir aussi :