Nous avons récemment évoqué la création d’une partie du génome du Sars-Cov 2 par Moderna. Et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la clef qui permet au coronavirus d’infecter les êtres humains (site unique de clivage de la protéase furine sur la protéine spike). Le média Nexus a fait le choix d’enquêter auprès de Moderna pour demander une réponse sur le brevet déposé par le laboratoire en 2016 et qui montre que cette industrie n’est pas étrangère à la création du Sars-Cov 2 avant même que ne soit déclaré l’épidémie en janvier 2020.
Le brevet de Moderna évoqué dans nos colonnes et montrant son intervention indirecte dans la création du Sars-Cov 2 soulève des interrogations légitimes. La publication scientifique originale est sans détours même si les auteurs n’écartent pas la possibilité que le Sars-Cov 2 ait naturellement évolué vers une forme transmissible à l’humain. Dailymail rapporte que cette probabilité est de 1 sur 3000 milliards, donc que Moderna est bien à l’origine de cette création.
Moderna ne répond pas
Nexus rappelle que Stephane Blancel, PDG de Moderna, n’a pas répondu à la question de la journaliste de Fox Business lorsque celle-ci demandait pourquoi une séquence brevetée de sa société se retrouverait dans l’ARN du Sars-CoV 2.
Nexus après avoir contacté Moderna en France et aux Etats-Unis n’a pas reçu de réponse de l’entreprise reconnaissant que son brevet de 2016 porte sur une séquence du génome du Sars-Cov 2. Et de conclure que « les médias mainstream français ne semblent pas s’intéresser à cette question cruciale. Seuls les médias alternatifs le font ».
Des candidats vaccins conçus en quelques heures
Il est intéressant de rappeler que Moderna avait conçu son candidat vaccin – celui qui a été injecté à des centaines de millions de personnes – en seulement 2 jours et surtout juste après la communication à l’OMS par la Chine de l’agent pathogène (Sars-Cov 2). Comme BioNtech (Pfizer), Moderna se flattait d’avoir créer son vaccin en seulement 48 heures. Si l’on en croit le New York Time, cette prouesse n’en serait pas une, car la technologie à ARNm permettrait cela. Bien sûr, les essais cliniques réalisés en quelques mois au lieu de 5 ans n’ont pas gêné les journalistes ni l’opinion publique qu’il semble plus aisé de manipuler si l’on a pris soin de lui faire peur en amont. Préparer une vaccination de masse nécessiterait d’abord une manipulation de masse, avant la prouesse technologique, puisque selon le même journal le vaccin était déjà disponible grâce aux recherches effectuées des années plus tôt sur le MERS; ce dernier étant très proche du Sars-Cov 2. Le plus long serait de conditionner le vaccin, de le produire et de le distribuer.
Alors si c’est aussi facile de concevoir un vaccin à ARNm, le lecteur pourrait-il se demander pourquoi Sanofi – après un an et demi de travail pour développer un vaccin à ARNm – a jeté l’éponge fin septembre 2021 alors que l’Agence Européenne du Médicament avait sanctuarisé des financements importants pour acheter ce vaccin et que le BARDA (US) avait déjà versé 226 millions de dollars. Le vaccin Sanofi – annoncé à grand coup de presse – et qui devait se conserver au frigo contrairement à ses concurrents … a disparu. Sans autre explication que la difficulté à stabiliser le produit ou encore une arrivée trop tardive sur le marché. Ces deux arguments sont non recevables car le laboratoire basait précisément son succès sur la stabilité de son produit (conservation au frigo). Enfin, le marché n’est pas saturé car les producteurs de vaccins travaillent depuis fin 2021 à la sortie d’un nouveau produit ciblant Omicron.
Sanofi pèse 43 milliards de dollars, soit la 7 ou 8ème position mondiale (avant l’enrichissement extravagant de certains laboratoires avec les vaccins covid) ; associé à la Biotech Translate Bio, n’avait-il pas les moyens de faire ce que d’autres ont fait en quelques heures ? C’est une histoire à dormir debout.
De la création de virus à la commercialisation des vaccins
Albert Bourla, le PDG de Pfizer, dans un entretien sur la chaine CNBC aux USA explique comment son laboratoire travaille à la création d’un nouveau vaccin contre Omicron à partir de pseudovirus créés en laboratoire : « Les données, que nous avons reçues, sont des données que nous avons obtenues à partir de ce que nous appelons un pseudovirus. Il s’agit d’un virus que nous avons élaboré, dans nos laboratoires, et il est identique au virus Omicron ». Il est toujours intéressant d’apprendre par ceux qui orientent régulièrement l’opinion publique, qu’ils ont la capacité de créer des virus et qu’ils ne se gênent pas pour le faire.
Ces gens – directeurs et autres PDG des laboratoires qui commercialisent les « vaccins » contre Covid – avaient annoncé une efficacité à plus de 90%, on sait maintenant que ces données sont fausses (essais cliniques biaisés, efficacité instable…). Ils nous avaient également assuré de l’innocuité de leurs produits mais ont tous inscrits dans les contrats une clause de non responsabilité sur les effets indésirables. D’ailleurs, le président de la Banque mondiale, David Malpass, explique san broncher, que les « vaccins » ne seront pas accessibles aux pays (du Sud) qui refusent la clause de non responsabilité des laboratoires sur les effets secondaires. Après un an et demi de vaccination, ces derniers sont manifestes même si tout est fait pour dénigrer toute relation de cause à effet entre vaccin et morbi-mortalité.
Le mensonge semble avoir un bel avenir devant lui tout comme les laboratoires pharmaceutiques qui continuent de mettre en danger la vie des populations.
Source : Le Courrier des Stratèges