Un coup d’État silencieux est déjà en cours depuis 2 ans ….(enfin en fait au final depuis 50 ans ce n’est juste que son aboutissement….)….., et on sait que JURIDIQUEMENT, maintenant que l’État français n’existe plus, la Constitution n’étant plus respectée, et il est sous influence étrangère, car il est en transition vers ‘autre chose‘.
Et cette arrestation vise aussi le comité CSAPE qui avait déposé une plainte visant l’INSERM et la France pour leur possible participation dans la création du SARS-CoV-2 à Wuhan et la participation à un programme génomique entre autres…..
Si Remy Daillet et ses collaborateurs agissent dans ce sens, ils ONT RAISON, alors avant de vous livrer à la presse mainstream je vous donne quelques clefs de lecture données par un ami. Je rappelle aussi TOUTES les autres plaintes en cours concernant les mêmes motifs, ou d’autres motifs.
Car la justice ne se limite pas à la France, comme vous le savez le Grand Jury de Reiner Fuellmich s’est tenu récemment et Maître Virginie de Araujo-Recchia qui a été arrétée chez elle devant ses enfants, en fait parti.
Donc, tout ceci est beaucoup plus sérieux que ne veut vous le faire croire le Parisien, ces gens avaient peut être des documents confidentiels en leur possession qui implique le gouvernement ou Mc Kinsey. comme nous avons les preuves de l’implication des États-Unis à Wuhan ou en Ukraine et dans 336 biolabs à travers la planète…
Et le but vraisemblable de ces recherches devrait toutes et tous vous concerner….
Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation : nos gouvernants ont-ils trahi la France ?
Le 22 mars 2022, une plainte a été déposée devant le Pôle financier du Tribunal judiciaire de Paris par plusieurs plaignants, parmi lesquels l’association http://BonSens.org et le Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens (CSAPE).
La plainte vise, entre autres : Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel ; Jean Castex, Premier ministre ; Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé ; Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la fonction publique ; Victor Fabius, directeur associé chez McKinsey & Company France ; Karim Tadjeddine et Thomas London, directeurs associés chez McKinsey & Company France ; la SAS McKinsey & Company ; Mohamed Jalil Bensouda, président en exercice de McKinsey & Company France ; Clarisse Magnin, représentante en France de la société McKinsey & Company inc. ; Jérôme Salomon, directeur général de la santé ; Alain Fischer, coordonner la stratégie vaccinale de l’État contre la pandémie de covid-19 ; Laetitia Buffet, responsable de la task force interministérielle vaccination covid-19 ; Bernard Celli, responsable de la task force interministérielle vaccination covid-19. Charge à la justice d’éventuellement compléter la liste.
https://francesoir.fr/opinions-entre
« Rémy Daillet est soupçonné d’avoir monté une organisation paramilitaire clandestine pour s’attaquernotamment au palais de l’Élysée. » LP/Frédéric Dugit
Les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont interpellé mardi matin cinq hommes et deux femmes dans le cadre de l’enquête sur «l’opération Azur». Ce projet, fantasmé par le gourou Rémy Daillet, visait à renverser le pouvoir avec une organisation paramilitaire.
Une avocate en exercice, un ancien policier, un ancien militaire, d’anciens Gilets jaunes… Ce nouveau coup de filet antiterroriste dans la mouvance conspirationniste, le QAnon français, réserve des surprises quant aux profils des cibles visées. Selon des sources proches de l’enquête, sept suspects — cinq hommes et deux femmes âgés de 36 à 62 ans — ont été placés en garde à vue ce mardi 23 mars dans la matinée par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) sur commission rogatoire des juges antiterroristes chargés du dossier sur Rémy Daillet.
Ces sept suspects ont été interpellés à Paris et en province et sont entendus pour des chefs « d’association de malfaiteurs terroriste criminelle » et « provocation à la commission d’acte de terrorisme ».
Tous sont ciblés pour leurs liens avec Rémy Daillet, un ancien cadre du MoDem devenu idole des milieux complotistes, et leur connaissance de son projet secret de coup d’État baptisé « Opération Azur ». Depuis la Malaisie où il était réfugié avant son extradition en France, le gourou de 56 ans est en effet soupçonné d’avoir monté une organisation paramilitaire clandestine sur l’ensemble de la France, avec des cellules régionales cloisonnées, afin de préparer un renversement populaire visant à faire tomber les institutions et préparer la prise du pouvoir par le peuple.
Parmi ces activistes, une avocate du barreau de Paris
Les suspects placés en garde à vue participaient activement aux échanges sur les messageries chiffrées du groupuscule. Les enquêteurs cherchent à savoir s’ils ont simplement émis une sympathie intellectuelle pour les idées de Rémy Daillet ou s’ils ont pleinement adhéré au projet d’action violente. Le recours à la force aurait été clairement envisagé dans les échanges et certains participants cherchaient à se procurer des armes. « Il est évident qu’il faudra forcer, écrivait ainsi France Royale, pseudonyme de Rémy Daillet, à ses lieutenants. Jusqu’au moment où l’adversaire peut ouvrir le feu. À ce moment-là, nos troupes d’assaut ont toute licence pour répliquer, l’ordre d’ouvrir le feu peut être donné. »
Parmi les activistes, figure une avocate du barreau de Paris. Les magistrats ont dû demander l’aval du bâtonnier de Paris afin de procéder à une perquisition dans ses bureaux professionnels. D’anciens membres des forces de l’ordre et de sécurité sont également entendus. Une dizaine de personnes sont déjà mises en examen dans ce dossier tentaculaire.
Source : Crashdebug & Leparisien.fr via Twitter